Description
Après une récente hibernation nomade, LA Priest donne de ses nouvelles avec l’annonce de GENE, son deuxième album.
GENE arrive quatre ans après que l’iconoclaste connu sous les divers noms de Sam Eastgate, Sam Dust et LA Priest ait ravi le monde avec la pop cosmique de son premier album Inji, premier LP pour Domino et première sortie solo suite au démantèlement de son précédent projet, Late Of The Pier.
GENE suit également le projet Soft Hair paru en 2016 pour lequel Sam s’était associé à Connan Mockasin pour un album culte devenu instantanément un classique.
GENE, l’album, tire son nom d’une toute nouvelle boîte à rythmes analogique que Sam a imaginée et construite seul. Travaillant en solitaire pendant plus de deux ans en Californie, au Pays de Galles et sur la côte sud de l’Angleterre, soudant le fer à la main, Sam a développé les composants internes de GENE en utilisant des dizaines de circuits électriques qu’il a lui-même fabriqués. La création est venue après une recherche d’une alternative à la structure et à la rigueur des boîtes à rythmes standard. Ses motifs rythmiques uniques sont le point central de l’album, teinté de tons pastoraux luxuriants, associés à l’influence de ses changements d’environnements.
Résultat d’un profond effort de réflexion, le disque offre un billet aller simple dans une dimension entièrement propre à Sam.
GENE est à ce jour la réalisation la plus aboutie de sa vision. Ces chansons sont en quête de sens, explorant les limites des capacités de leur créateur.
S’ouvrant sur le groove moelleux de « Beginning », l’album se déploie et scintille à travers « Rubber Sky » et « What Moves? » jusqu’à l’intermède mélancolique de « Sudden Thing » et le bruit gigantesque de la pièce maîtresse « Monochrome », prenant un virage serré dans son dernier tiers vers une atmosphère plus sombre et mystique.
