Description
Un hommage à l’un des plus grands auteurs-compositeurs et artistes de notre temps
– Comprend des reprises nouvellement enregistrées de Keith Richards, Joan Jett and the Blackhearts, Rufus Wainwright, Lucinda Williams, Maxim Ludwig & Angel Olsen, Rickie Lee Jones, Mary Gauthier, Bobby Rush, Automatic, The Afghan Whigs et Rosanne Cash.
– Édition spéciale Record Store Day pressée sur vinyle argenté et présentée dans une pochette argentée laminée.
– Le livret contient des notes du producteur de la compilation et ancien publiciste de Lou Reed, Bill Bentley, ainsi que des photos de Mick Rock et Timothy Greenfield-Sanders.
Il va sans dire que le légendaire Lou Reed était un véritable pionnier du rock ‘n’ roll. Depuis les débuts du Velvet Underground en 1967 jusqu’à la fin de sa vie, Reed a chanté la vérité avec son cœur. Il a vécu sa vie jusqu’au bout, et même plus. The Power of the Heart est un hommage à la liberté d’expression de Reed, avec des reprises couvrant ses années révolutionnaires avec les Velvets jusqu’à sa majestueuse carrière solo. Chaque morceau est une extension glorieuse de l’âme de l’animal du Rock ‘n’ Roll, toujours aventureux et avant-gardiste. The Power of the Heart : A Tribute to Lou Reed débute avec une légende à part entière, Keith Richards, qui réimagine le classique des Velvets, « I’m Waiting for the Man ». L’interprétation de Richards vous invite instantanément à monter à bord de ce voyage inoubliable. En revanche, « Perfect Day » est encore plus mélancolique que l’original, grâce au traitement de Rufus Wainwright, avec un jeu de doigts clairsemé et de douces harmonies. Joan Jett and the Blackhearts livrent une version de « I’m So Free » qui ferait se retourner Lou dans sa tombe. Il est passionnant d’entendre ces chansons réinterprétées et chantées par de tels poids lourds ; on peut même entendre Lucinda Williams canaliser l’esprit de Lou dans sa version de « Legendary Hearts ».
Parmi les autres titres remarquables, citons un duo punk et amoureux entre Angel Olsen et Maxim Ludwig sur « I Can’t Stand It », ainsi que la réinterprétation de « Walk on the Wild Side » par Rickie Lee Jones, à la fois fantaisiste et séduisante avec sa voix chuchotante, ses percussions dépouillées et son piano digne d’un salon de fin de soirée. Cet album hommage défie véritablement les genres, mais son fil conducteur, en fin de compte, est son cœur : une collection profondément réfléchie de chansons qui ont façonné une génération, chacune rendant hommage à un homme dont l’œuvre continue de chanter.
