« East of Any Place », qui est sorti le 1er décembre chez Habibi Funk, est un trésor de chansons découvertes en même temps que l’album 2021 de Roger Fakhr, « Fine Anyway ».
Après avoir travaillé avec Ahmed sur le tube 12″ « Subhana » (Habibi012), Habibi Funk est de retour avec un album complet axé sur les sorties d’Ahmed du milieu des années 2000.
Hesnawi crafts restless grooves with evident buttressing from a reggae foundation. Highlighted across the LP is how Hesnawi essentially pioneered such an effortless synthesis between traditional Libyan music and Jamaican reggae stylings, plus the endlessly disparate funk, jazz, and disco accents which firmly situate Hesnawi in a league of his own.
Après la sortie de son récente l’EP « Tayara Warak » en 2022, « Marzipan » est un voyage sonore qui cherche à capturer toute l’étendue du talent de Megarbane. En tant que compositeur et producteur, Megarbane vante une musicalité extrêmement polyvalente, parfois volatile – son catalogue de plus de 100 projets (y compris des groupes légendaires comme Cosmic Analog Ensemble, Free Association Syndicate, Monumental Detail, etc…) présente un vaste domaine de direction sonore.
Les auditeurs passionnés de Habibi Funk connaissent peut-être le compositeur/producteur libyen Najib Alhoush, dont le morceau « Ya Aen Daly », la reprise de « Stayin Alive » des Bee Gee, a été inclus dans leur seconde compilation.
Enregistré en 2008 dans son home studio à Benghazi en Libye, Ahmed Ben Ali s’est librement inspiré d’un poème libyen d’AbdelKader Bouhedma pour produire le titre “Subhana”. Une instru reggae incroyable agrémentée de notes et de chants orientaux pour un résultat surprenant — si ce titre vous laisse de marbre, veuillez consulter immédiatement votre médecin.
20eme parution du label Habibi Funk ! Il s’agit de l’unique album solo de Maha, notamment chanteuse au sein du Cairo Jazz Band, enregistré à l’origine en 1979 et paru seulement en K7.
Sharhabil Ahmed est né en 1935 et il est à l’origine de la scène Jazz soudanaise. Son objectif était de moderniser la musique soudanaise en la mélangeant à des influences et des instruments occidentaux, ce qui était totalement inédit à l’époque. La musique de Sharhabil ressemble ainsi à une combinaison unique de surf, rock’n’roll, funk, musique Congolaise et des harmonies d’Afrique de l’Est.