Des grooves de synthétiseur et de boîte à rythmes, rappelant les légendes de la Nouvelle Vague néerlandaise fusionnant des tubes pop et des rythmes dansants infectieux à des ballades par ailleurs pensives.
Le troisième album du quatuor hollandais Yīn Yīn. L’album est un kaléidoscope de sons et d’influences, occupant un no man’s land entre Khruangbin et Kraftwerk, la surf music et le psychédélisme d’Asie du Sud-Est, la Stax soul et le disco mutant des années 80, la city pop et le folk instrumental japonais (sōkyoku).
En 2019 on avait adoré leur premier opus chez Bongo Joe Records « The rabbit that hunts tiger » revoici le groupe néerlandais psychédélico/disco/asian/garage avec un tout nouvel album qui appelle au voyage intergalactique !
DES SONORITES MÊLANT ÉLECTRO, POP EXPÉRIMENTALE, ITALO DISCO ET MUSIQUES ASIATIQUES
Quoi de plus idéal que de se plonger dans les 60’s ? Et pas avec n’importe qui, avec Jacco Gardner. Le multi-instrumentiste hollandais s’est fait remarquer avec un premier album surprenant du nom de Cabinet Of Curiosities en 2013 aux saveurs de pop baroque psychédélique des 60’s. A mi-chemin entre Syd Barrett et Brian Wilson, celui qui semble coincé dans cette décennie nous revient en pleine forme avec un second opus nommé Hypnophobia.