Au départ, il s’agissait d’un travail en solo d’Areski dans le studio de Jean-Pierre Chambard. Petit à petit, alors qu’Areski remplissait des cassettes de poèmes et de sketches improvisés, Brigitte s’est glissée dans le studio à la nuit tombée, ajoutant sa voix ici et là, ses chuchotements devenant ensuite des cris, alimentant le feu dans un embrasement total, un embrasement surréaliste.