Disque Culte ! « Cold Fact » est le premier album de l’auteur-compositeur-interprète Rodriguez. Il est sorti aux États-Unis en mars 1970. En 1976, plusieurs milliers d’exemplaires de « Cold Fact » ont été trouvés dans un entrepôt à New York et vendus en Australie en quelques semaines. En 1978, il s’est hissé au 23e rang des palmarès des albums australiens et est resté dans les palmarès pendant 55 semaines.
Coming from Reality est le second et dernier album studio du chanteur et auteur-compositeur-interprète américain Sixto Díaz Rodríguez, musicien de folk et folk psychédélique, sorti en 1971.
Nothing New est un album posthume d’enregistrements vocaux et de piano de Gil Scott-Heron publié par XL Recordings le 19 avril 2014 à l’occasion du Record Store Day. L’album consiste en de nouvelles versions dépouillées d’une sélection de chansons plus anciennes de Scott-Heron s’étendant de « Pieces of a Man » (1971) à « The Other Side » (1994). Il a été enregistré avec le producteur Richard Russell entre 2005 et 2009, lors des mêmes sessions qui ont abouti à l’album I’m New Here de 2010.
Merveilleux cinquième album du canadien, des arrangements acoustiques tout en finesse et des harmonies idéales qui font sans aucun doute de The Party l’album le plus agréable et étonnamment réjouissant de l’année 2016.
Sur le premier volume, Zooey Deschanel (She) et M. Ward (Him) créent un album distinctif et infiniment charmant. Non seulement un véhicule pour la voix impressionnante de Deschanel, Volume One voit le duo s’inspirer de sommités musicales telles que Dusty Springfield et The Zombies.
Bright Flight est le quatrième album studio du groupe de rock indépendant Silver Jews, sorti en 2001. »Tennessee » a été choisi comme titre d’un EP comprenant également « Long Long Gone », « I’m Gonna Love The Hell Out of You », et « Turn Your Guns Around ».
Aux commandes du Silver Jews sur cet album, si le capitaine du navire est bien sûr David Berman (textes, chant, guitare…), on retrouve pas moins de trois membres de Pavement : Steve Malkmus et l’incroyable section rythmique Bob Nastanovich et John Steve West. L’alternance des voix de Malkmus et Berman est parfaite, l’esprit rythmique et mélodique de Pavement habille au mieux cette série de chansons sans prétention.
Wednesday Morning, 3 A.M. est le premier album du duo Simon et Garfunkel, paru en 1964. Passé inaperçu à sa sortie, il fut réédité en 1966, après leurs premiers succès radiophoniques, et atteignit la trentième place du Billboard.
New Moon comprend 24 chansons totalement inédites, enregistrées entre 1995 et 1997, période la plus prolifique de la carrière d’ELLIOTT SMITH, époque à laquelle il enregistra son album éponyme ainsi que Either/Or. Sans conteste l’un des songwriters les plus doués de sa génération, ce boulimique de travail a laissé derrière lui quelques joyaux à découvrir.
Enregistré en direct, dans son intégralité, par Steve Albini dans son studio Electrical Audio à Chicago, Illinois, avec le même groupe qui a joué sur l’album live Mi Sei Apparaso Come Un Fantasma Italian, c’est l’album où les fans de Songs : Ohia opère un changement radical par rapport à l’univers dominant de la chambre à coucher des jeunes hommes blancs, solitaires, sensibles et surqualifiés, et trouve refuge dans les masses en étant adopté par les chauffeurs routiers, les filles de sororité et les joueurs de hockey du monde entier. En effet, il s’agit du premier album de Songs : Ohia avec plus d’une chanson qui pourrait être jouée dans un club de strip-tease ou un spectacle de camions monstres. Au milieu des slow jams mid-tempo, on trouve quelques-uns des morceaux les plus entraînants que Songs : Ohia ont enregistré.
Un disque sublime, qu’on connaisse ou pas le contexte derrière l’album. C’est parfois mystique, cryptique, mais c’est surtout extrêmement doux et tendre. C’est un disque de deuil pas sordide pour un sou. Et il est tellement bien fait que si on écoute la première piste, on a toujours envie de l’écouter jusqu’au bout.
Composé comme un poème géographique, Michigan suit une expédition métaphysique à travers les idiosyncrasies de l’Amérique moyenne. S’inspirant d’anecdotes personnelles, de l’histoire régionale et de l’héritage de l’État, Stevens mélange les griefs sociaux et politiques avec des chansons sur les motoneiges, Henry Ford, les émeutes raciales de Détroit et l’amour.
Sufjan Stevens, l’un des plus grands auteurs-compositeurs-interprètes américains de sa génération,et son ami et collaborateur Angelo De Augustine dévoilent A Beginner’s Mind, un sublime album de folk multicolore et radieuse, à la familière et épurée. Une réussite !
« Hot Dreams » réédité en vinyle clair « fumé et marbré », numéroté à la main !
Trois ans après la sortie de « Creep On Creepin On », Taylor Kirk s’associe cette fois au guitariste Simon Trottier pour une production enregistrée en grande partie dans un musée de collections de vieux instruments. Un album tout bonnement sublime, qui évoquera le meilleur des « Tindersticks » ou encore un certain « Roy Orbison ».
Timber Timbre est un disque époustouflant qui capte l’attention de l’auditeur avec ce qui est là autant que ce qui ne l’est pas. La somme des parties, cependant, est quelque chose de fondé dans un endroit étrange où les descriptions de genre comme le blues, le country et le folk se croisent, devenant secondaires à la précision des ambiances évoquées.
EDITION LIMITEE REEDITION EN VINYLE MARBRE TRANSPARENT
Guitares acoustiques, section rythmique discrète, piano déposant notes et accords sur de petites chansons sans prétention qui pourtant nous envoûtent dans leur dépouillement. Un pedal-steel, un glockenspiel, un melodica nous font tendre l’oreille. Car c’est bien la force d’Emiliana, avec trois fois rien mais une voix inimitable, elle nous ensorcelle et nous force à rester avec elle, bien au chaud, lors des froids d’hiver ou des mélancoliques pluies d’automne. Une douceur à garder dans un coin de son coeur et de sa discothèque.
Pour célébrer le 10e anniversaire de la sortie de cet album si spécial et pour souligner la convergence de son travail présent et passé, elle a demandé à des artistes qu’elle admire de participer à une réédition élargie, où chaque artiste reprendrait une chanson différente d’Epic.
Une rétrospective complète de ses premiers enregistrements, avant l’album classique Just Another Diamond Day de 1970. Some Things… tente à la fois de tirer un trait sur le passé et de remettre les pendules à l’heure en ce qui concerne la disparité entre la façon dont Bunyan se considérait (et se considère toujours) et la façon dont le public la perçoit en tant qu’artiste.
Après « Wakin On A Pretty Daze », son cinquième album qui avait figuré dans de nombreux tops de l’année 2013, Kurt Vile s’apprête à rajouter le dénommé « B’Lieve I’M Goin Down… » à une discographie sans faute et à asseoir encore un peu plus son statut de héros du rock indépendant américain et de digne héritier de Neil Young, Tom Petty ou Lou Reed.
Kurt Vile est de retour avec son premier disque en trois ans, l’éclectique et électrisant Bottle It In, qu’il a enregistré dans divers studios à travers l’Amérique pendant deux années très chargées, lors de sessions qui ponctuaient habituellement les fins de longues tournées ou de road trips familiaux. Chaque chanson, qu’il s’agisse d’une composition pop concise et accrocheuse ou d’une épopée de guitare tentaculaire, devient un voyage en soi, prenant des détours inattendus, des avenues mélodiques détournées ou des solos à ciel ouvert.
Désintoxiqué des addictifs War On Drugs, Kurt Vile signe un disque solo d’americana débridé, entre ascétisme bluegrass, rock rugueux et cafouillages électroniques lo-fi. Etonnante intrusion dans une musique située entre classicisme mélodique et errance sonore. Une re-révélation.
Ex membre des très bons War On Drugs, le songwriter de Philadelphie Kurt Vile poursuit sa carrière solo en 2011 avec un excellent album sous son nom, Smoke Ring For My Halo…
Les dix morceaux qui figurent sur cet opus réellement addictif – les écoutes s’enchainent comme par magie, révélant de multiples détails dans les arrangements et la qualité inaltérable de l’écriture – oscillent magistralement entre folk pop mélancolique avec arpèges de guitare sèche en apesanteur, rock farouchement indé lardé de riffs un peu plus musclés sur des six ou douze cordes électriques et psychédélisme planant truffés d’effets stratosphériques et de guitare slide