INDIE & ALTERNATIVE
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28,90€
The Black Keys reviennent avec un 10ème album studio intitulé Delta Kream. Retour aux sources du Blues le long des rives du Mississipi pour le duo auréolé de 6 Grammys. Composé de 11 titres il puise dans l’héritage blues laissé par John Lee Hooker, Junior Kimbrough et propose un hommage appuyé à travers 11 titres à ces artistes qui ont fait l’histoire de ce genre musical et qui ont accompagné Dan Auerbach et Patrick Carney depuis leurs débuts.
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27,50€
Même si leur côté excentrique et décalé reste toujours aussi présent, black midi surprendra son auditoire en empruntant ce virage beaucoup plus maîtrisé et calculé. Il en résulte une calvacade musicale où le groupe londonien mettra l’accent sur l’impact émotionnel des compositions et pour cela, ils méritent de marquer leur territoire un peu plus.
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21,00€
Perdu dans des contrées indéfinies en quête de rédemption, Will Oldham conte l’amour jamais rencontré. L’homme est-il si imparfait pour ne pas mériter l’attention de son adorée ? Son mal-être de ce monde est-il si grand qu’il effraie ?
Cette fois encore au travers de Bonnie ‘Prince’ Billy, l’homme de Palace nous invite à partager ses peines avec pudeur et nonchalance. Point de fureur ici, si ce n’est celle des mots et de sentiments enfouis. Une guitare et une voix suffisent même si Marty Slayton lui fait magnifiquement écho tout au long de Master & Everyone. Déroulant paisiblement son country folk, l’ami Oldham exhume les douleurs secrètes que l’on n’ose affronter par simple peur, celle de se voir tels que nous sommes.
Murmures et sentiments. (Source XSlience.net)
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En cours de réapprovisionnement
35,90€SORTIE LE 11.11.2022
Le sixième album de Bright Eyes sorti en 2005. Les chansons véhiculent la polarité et l’agitation de l’époque. L’album fait l’objet d’une réédition dans le cadre du projet du groupe de ressortir ses neufs albums accompagnés d’EP “compagnons”.
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En cours de réapprovisionnement
23,90€SORTIE LE 11.11.2022
Le cinquième album de Bright Eyes sorti en 2005. Des morceaux à la douceur analogique passée à travers un filtre de nihilisme et de détachement propre à l’époque agitée à laquelle il correspond. L’album fait l’objet d’une réédition dans le cadre du projet du groupe de ressortir ses neufs albums accompagnés d’EP « compagnons ».
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51,90€SORTIE LE 26 MAI 2023
Pour célébrer les 20 ans de l’album, le groupe a annoncé une réédition spéciale deluxe et comprendra pour la première fois l’enregistrement studio de la version emblématique de Love « Alone Again Or », sortie lors de la campagne initiale, mais jamais en vinyle.
De plus, la réédition deluxe comprendra un album live bonus « More Cowboys in Sweden » comprenant dix chansons de « Feast of Wire » enregistrées en public au China Theatre de Stockholm en 2003.
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30,90€
SORTIE LE 08.11.19
Ghosteen est le 17eme album de Nick Cave and The Bad Seeds après Skeleton Tree en 2016 et sortira via Ghosteen Ltd. L’album a été enregistré en 2018 et début 2019 à Woodshed, Malibu, Nightbird à Los Angeles, Retreat à Brighton et Candybomber à Berlin. Il a été mixé par Nick Cave, Warren Ellis, Lance Powell et Andrew Dominik à Conway, Los Angeles.
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28,50€
Nous sommes en 1992 quand Henry’s Dream -septième album de Nick Cave et de ses mauvaises graines- voit le jour. Deux ans après The Good Son (1990, Mute), sur lequel le chanteur australien semblait apaisé et amoureux, Henry’s Dream débarque comme son exact contraire: violent, viscéral, noir et particulièrement Rock ‘n’ Roll.
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En cours de réapprovisionnement
30,90€Après le sublime Ghosteen, Nick Cave continue d’explorer toutes les faces de la solitude en réinvestissant dans les moindres angles de sa discographie. Comme pour mieux symboliser ce confinement passé qui en annonçait d’autres, l’australien se tient seul face à son piano dans une salle immense avec pour seul interlocuteur le silence qui lui renvoie des visions déformées de lui. Encore une oeuvre cathartique pour Nick Cave, magistral !
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31,90€
No More Shall We Part est le onzième album studio de NICK CAVE AND THE BAD SEEDS, paru en avril 2001, quatre ans après The Boatman’s Call, qui avait été particulièrement encensé par la critique. Avant de commencer à travailler sur cet album, NICK CAVE s’était éclipsé quelque temps de la scène publique afin de régler ses problèmes de dépendance à l’héroïne et à l’alcool, entre 1999 et 2000.