« La ñapa » (le rab en argot colombien) se présente comme un mini album de remixes et inédits survoltés. Surprenantes et efficaces, les relectures de ses titres par des producteurs triés sur le volet (Voilaaa, Futuro Pelo, Dafuniks, Dowdelin, etc…) côtoient de nouvelles compositions, dans le plus pur style afro caribéen, toujours aussi chaloupées, ensoleillées et puissantes.
Réédition de ce disque de neo-bossa paru en 2007 sur le label italien Schema records et qui est devenu un classique en son genre dans la lignée de Bebel Gilberto / Nouvelle Vague/Thievery Corporation/Quantic.
BIO : Far from the twin epicenters of New York and Miami, Carlos Ruiz and his Ebirac label were both feeling and generating the aftershocks of the mid-’70s salsa boom. Holed up in their own bustling Puerto Rican community center on Chicago’s west side, these third coast salseros plied their…
Une sélection tirée de la collection de cassettes de disco et boogie égyptien des années 80 du DJ Disco Arabesquo / des titres remasterisés par David Achour de Colorsound Studio disponibles sur vinyle pour la première fois / encart avec notes détaillées et illustrations originales publié par le label Wewantsounds
Un des albums salué comme l’un des plus mystérieux, des plus rares et des plus fascinants d’Afrique enfin réédité en version double vinyle.
L’album est accompagné d’un texte livret nourri et détaillé de Florent Mazzoleni, spécialiste des musiques urbaines africaines, parti à la recherche de la famille de Ferry Djimmy à travers le continent africain.
BIO : Formé en 1961 par les légendaires frères Pedro Jairo et Guillermo León Garcés, le groupe Los Golden Boys s’est rapidement hissé au sommet de la scène de musique tropicale colombienne en combinant les influences populaires du rock et du twist avec la cumbia, la gaita, le porro et…
Pépite 70’s oubliée : Avec un style qui n’appartient qu’à lui, Jon Lucien et sa voix baryton mélange R&B, pop, soft jazz à des rythmes caribéens et brésiliens.
Prévu pour paraître à l occasion de son 60e anniversaire, ‘Blue Maqams’ apparaît par bien des aspects comme le disque des célébrations pour Anouar Brahem. Enregistré aux studios Avatar de New York en mai 2017 sous la direction artistique de Manfred Eicher, il présente le grand maître tunisien de l oud associé à trois brillants improvisateurs : les ‘Maqams’ qu évoquent le titre de l album se réfèrent au système modal de la musique arabe traditionnelle une sorte d équivalent aux ‘genres de bleu’ (kind of blue) qu affectionnent les musiciens de jazz.
Reginald Omas Mamode IV est un beatmaker londonien d’origine mauricienne. En partie imaginé lors d’un voyage initiatique aux îles Mascareignes, Where We Going? est le troisième album de Reginald Omas Mamode IV. Accompagné de ses frères et de sa sœur, le compositeur électronique est parti à la recherche de quelques branches méconnues de son arbre généalogique et en a profité pour dessiner le squelette de son nouvel opus sur la route.
Sharhabil Ahmed est né en 1935 et il est à l’origine de la scène Jazz soudanaise. Son objectif était de moderniser la musique soudanaise en la mélangeant à des influences et des instruments occidentaux, ce qui était totalement inédit à l’époque. La musique de Sharhabil ressemble ainsi à une combinaison unique de surf, rock’n’roll, funk, musique Congolaise et des harmonies d’Afrique de l’Est.
Enregistré en 1990, Barzakh était le premier album ECM du maître tunisien du oud Anouar Brahem, et un album qui a immédiatement attiré l’attention de la presse et du public par sa grâce et son autorité.
Fer de lance de l’afrofusion actuelle, le Nigérian livre un quatrième album habité par l’envie de faire rayonner sa musique sur le monde. Tout en conservant les bases qui ont fait son succès, il s’aventure désormais sur des territoires plus pop. Analyse d’un phénomène.
En décembre 2013, Alain Pilot et sa « Bande Passante » sur RFI célèbrent les 80 ans de Manu Dibango en réunissant autour du grand maître de la musique africaine des invités prestigieux dont les ambassadeurs de l’Ethio-Jazz : Akalé Wubé.
Ce nouvel opus voit Lisa-Kaindé et Naomi affirmer leur identité musicale unique résultant du mélange captivant de la musique yoruba avec le jazz moderne, la pop, l’électronique, la soul et le hip-hop.
BIO : Sounds and stories celebrating Africa, our nature, nurture and future, a connection of beautiful energy with rest of the world. paru le 25 février 2022 Vocals : K.O.G Drums : Theo Goss Pass : Owen Burns Keys : Jasper Green Guitar : Ben Haskins, Tom Excell Sax :…
Le tandem belge revient pour dégainer l’un des albums wolrd-pop de 2022 : Topical Dancer. Le single Ceci n’est pas un cliché (hommage au grand René Magritte, figure de l’impressionnisme abstrait) joue la carte de l’humour méta en s’appropriant les codes les plus clichés de la musique pop. « I bet this song sounds real familiar » lance Adigéry, plus malicieuse que jamais.
BBE Music lance une nouvelle série de rééditions intitulée Eastern Heavens chapeautée par le DJ et chercheur en musique Ernesto Chahoud. Premier volet de cette série avec Dance Disco Belly, un album de 1979 signé du maestro libanais Ihsan Al-Munzer.
BIO : Cet album de l’auteur, compositeur et interprète nigérian Burna Boy représente l’aboutissement non seulement de sa propre carrière, mais de tout un mouvement de musiques de club du continent africain où il est déjà considéré comme une mégastar. Le chanteur revendique une « afro-fusion », rencontre des rythmes pop nigérians…
L’album Afrovision, de 1976, le prouve : après avoir fait sa marque en 1972, Manu Dibango brûle de montrer avec cet album la diversité de sa musique et sa capacité à suivre les courants et les tendances.
Bien entendu, une pièce disco était de rigueur sur tout album paru en 1976. Afrovision démarre donc avec le pétillant et percutant Big Blow. Comme pour dire « maintenant que vous avez eu ce que vous vouliez, suivez-moi ». il enchaîne avec le surprenant, et exempt de saxo, Streets of Dakar, avec ses percussions mélodiques, sa guitare slide qui miaule et son groove souple et élastique.
Sorti en 1982, l’album « Waka Juju » marque un retour de Manu Dibango à l’afrosound. On y entend des titres comme « Douala Serenade » ou « Ma Marie » hommage à sa femme aujourd’hui disparue, Marie dite «Coco».
Nouvel album complet consacré au travail de Hamid El Shaeri sur le SLAM égyptien! Hamid El Shaeri est l’artiste derrière la chanson la plus populaire de Habibi Funk à ce jour, « Ayonha », initialement réédité en 2017 sur la première Habibi Funk Compilation.
réédition par Dizonord d’un disque paru confidentiellement en 1983, une pépite world music oubliée. Ces musiciens montpellierains proposaient une fusion de musiques traditionnelles méditerranéennes, du Moyen Orient à L’italie en passant par L’Afrique du nord et les balkans.
« L’Égypte avait Oum Kalthoum, le Liban Fayrouz. La Palestine a désormais le Trio Joubran. »
Voilà plus de quinze ans que le Trio Joubran parcourt le monde, oud à la main comme un étendard à planter sur chaque scène. À leur actif, cinq albums et de multiples collaborations. La plus légendaire est retranscrite sur le disque « À l’ombre des mots », où leur musique se mêle aux mots et à la voix du poète Mahmoud Darwich, leur ami de toujours.
Groupe phare de la musique afro-cubaine « made in Sénégal« , Orchestra Baobab (« Gouy Gui » en wolof), est fondé en 1970 à Dakar sous l’impulsion de feu Oumar Barro Ndiaye (chef d’orchestre). Assisté par Cheikh Sidath Ly (guitare basse), le groupe se constitue autour du regretté chanteur Abdoulaye Mboup dit « AbLaye Mboup » ou « Laye Mboup » (1937-1975), figure emblématique de la chanson sénégalaise, Balla Sidibé (chant, batterie et timbales), Barthélémy Attisso (guitare solo) et du guitariste saint-louisien Mohamed Latfi Ben Geloun (guitare rythmique).
La double compilation « Pirate Choice » réunit 12 titres enregistrés initialement en 1982 par l’Orchestra Baobab, à Dakar, au Sénégal. Ses morceaux sont remasterisés en 1989 par John Hadden pour le label anglais World Circuit de Nick Gold…