Un album vinyle contenant 14 de ses plus belles faces pour Money Records de Los Angeles.
Bettye Swann a marqué un hit R&B avec ‘Don’t Wait Too Long’, son premier single accrocheur pour Money en 1965. Elle semblait avoir un bel avenir mais son suivi, le Motownesque ‘The Man That Said No’, n’a pas graphique, pas plus que le son plus dur « The Heartache Is Gone ». Cependant, la persévérance de Money a porté ses fruits lorsque l’auto-écrit « Make Me Yours » a appuyé sur tous les bons boutons et a passé deux semaines au sommet des charts R&B en 1967. La chanson a ensuite été reprise par Z.Z. Hill et Spencer Wiggins, devenant un classique établi de la soul.
L’ultime collection de northern soul de Numero Group. Des voix envoûtantes, des rythmes entraînants et des cordes sirupeuses… attendez-vous à un mélange de sons classiques inspirés de la Motown avec une touche britannique unique qui ne manquera pas de vous faire bouger.
Enrobés d’un climat aussi nostalgique que mystérieux, hantés par des voix d’enfants et des rires de nourrissons qui amplifient le sentiment de malaise et de tension, des thèmes adultes très arrangés et appuyés par des cuivres lorgnant les partitions de David Axelrod, quelque part entre la fausse bande originale et l’album d’illustration sonore. Une affaire déroutante à la première écoute, fascinante dès les suivantes.
Couronnée par la suite reine du Norfolk sound, Barbara Stant n’était qu’une adolescente lorsqu’elle a auditionné pour Noah Biggs, l’impresario du label Shiptown, en 1970. Une douzaine de faces ont été enregistrées tout au long de la décennie, une œuvre qui s’étend de la deep soul à la northern soul en passant par la sister funk. Arrivé en 1978, le disco est en pleine effervescence, Noah Biggs est mort et la carrière de Stant est en suspens. Il ne reste aujourd’hui que My Minds Holds Onto Yesterday.
Signé sur le label Broc Recordz, ce groupe allemand propose une soul contemporaine raffinée qui plaira aux amateurs de Monophonics, Durand Jones, El Michels Affair etc..
Réédition de « Prisoner of Love » initialement sorti en 1963 sous la référence de KING K-851, en mono, le neuvième album de James Brown au sommet de son art.
La collaboration remarquable entre le projet du producteur de soul cinématique El Michels Affair et le rappeur Black Thought, du groupe de hip-hop The Roots. Des morceaux de soul évocatrice samplés et re-samplés par Leon Michels sur lesquels Black Thought livre des couplets personnels et transparents.
Le tout premier disque d’Al Green. Enregistré à l’origine en 1967 alors que le chanteur n’avait que 21 ans et se présentant toujours comme « Al Greene ». Chansons écrites par les producteurs Palmer E. James et Curtis Rodger.
Version maxi vinyle swirl bleu de Friendship, le nouvel EP du groupe soul/funk australien. Un disque qui pousse le son de leur dernier album dans de nouvelles directions en s’appropriant une myriade d’énergies variées.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Enregistré avec George « Buzzy » Bragg et Herry Jensen (respectivement de Skull Snaps et Jimmy Castor Bunch) en une journée avec un minimum d’overdubs, Telling The Truth était, et restera, le moment le plus brillant et le plus inspiré de Willie Wright.
Album réédité en vinyle 180 grammes issu de la collection ultra-qualitative »Jazz Dispensary », bénéficiant d’ une masterisation à partir des bandes analogues originales.
Roi du blues aux côtés de Freddie et B.B. King, Albert King est indissociable de sa fidèle guitare et de profonde voix soul. Le chanteur guitariste a déjà signé plusieurs singles à succès lorsqu’il rejoint le légendaire label Stax Records, au milieu des années 60. Basée à Memphis, la célèbre enseigne offre à Albert King les services de ses auteurs-compositeurs pour ‘Born Under a Bad Sign’, son premier album pour Stax, sorti en août 1967.
Version vinyle rouge de Through And Through, le deuxième album de la chanteuse, compositrice et productrice américaine Baby Rose. Une subtile fusion de nouveaux sons, du rock émouvant et du r&b entraînant au funk psychédélique, à la pop et aux ballades soul, qui accompagne le voyage spirituel de l’artiste.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Version vinyle bleu transparent swirl noir de Changing Light, le premier album de The Ironsides, groupe de musiciens californiens fondé, produit par et avec des membres de Monophonics. Le disque mêle des sons soul psyché classiques à de vastes arrangements orchestraux, rappelant la bande originale d’un film européen des années 60. Pour les fans de Monophonics, David Axelrod, The Rugged Nuggets, Adrian Quesada.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Si vous n’êtres pas bloqué dans un genre particulier, ce disque se ballade entre soul, county, blues, folk …. Un dépaysement verdoyant, qui sent la contemplation, la nature !
Connue comme la «Soul Queen of New Orleans», la chanteuse Irma Thomas (née en 1941) est sans doute la chanteuse soul la plus sous-estimée de tous les temps. Bien que sa voix et son expression musicale soient inégalées, elle n’a jamais atteint le même degré de renommée que ses contemporaines Aretha Franklin et Etta James. Néanmoins, ses 50 ans de carrière ont été très appréciés ces dernières années, et elle a même remporté un Grammy en 2007.
Compilation regroupant 25 ans de carrière du groupe. En s’appuyant sur le modèle original de Stax et d’Atlantic de la fin des années 60 et du début des années 70, les Dojo Cuts sont les champions incontestés du son soul.
Version vinyle turquoise de Glorious Game, la collaboration remarquable entre le projet du producteur de soul cinématique El Michels Affair et le rappeur Black Thought, du groupe de hip-hop The Roots. Des morceaux de soul évocatrice samplés et re-samplés par Leon Michels sur lesquels Black Thought livre des couplets personnels et transparents.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Version vinyle bleu de Wait ‘Til I Get Over, le premier album solo de l’auteur-compositeur et interprète soul Durand Jones, originaire de Louisiane. Sans The Indications, cet album est un disque vulnérable et personnel qui traite de sa relation à la vie religieuse, à sa mère, à son homosexualité, à sa valeur.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Réédition remasterisée du 1er album (1974) studio de George McCrae. Inclus « ROCK YOU BABY ». Elue chanson de l’année en 1974. Ainsi que 2 titres bonus.
The Meters est le premier album studio du groupe du même nom. C’est un album incontournable de la scène funk et qui contient beaucoup d’énergie et d’âme. L’organiste Art Neville a dirigé le quatuor composé du guitariste Leo Nocentelli, de la section rythmique du bassiste George Porter et du batteur Joseph « Zigaboo » Modeliste.
Un magnifique disque de folk/soul acoustique, produit par Adrian Sherwood, avec des arrangements soignés au service de la voix sublime de Jeb Loy Nichols, déja auteur de superbes disques chez le label Timmion.
L’album bénéficie de la contribution de Martin Duffy (Primal Scream/Felt) et d’Ivan « Celloman » Hussey, tout juste sorti de son travail sur les deux albums d’Horace Andy, Midnight Rocker et Midnight Scorchers, qui ont tous deux aussi bénéficiés de la contribution de Jeb Loy.
International Anthem présente Step on Step, un double LP d’enregistrements solo (entre 1960 et 1970) retrouvés par l’énigmatique producteur, arrangeur et compositeur Charles Stepney dans le sous-sol de sa maison de Chicago pendant les années précédant sa mort prématurée en 1976. Né à Chicago, Stepney est un arrangeur, producteur, multi-instrumentiste et auteur-compositeur.
Il est connu pour son travail avec Earth, Wind & Fire, Deniece Williams et Ramsey Lewis, et en tant que producteur pour Chess Records dans les années 1960, où il a été une force créative essentielle derrière les enregistrements séminaux de Rotary Connection, Minnie Riperton, Marlena Shaw, Muddy Waters, Howlin Wolf, Terry Callier, The Dells, The Emotions et bien d’autres.