Un album fondamental pour le jazz et la bossa nova. Astrud Weinert, à la voix si chaleureuse et si sensuellement mélancolique, est née au Brésil d’un père allemand et d’une mère brésilienne en 1940 et à grandi à Rio. Elle épouse en 1959 le fameux Joao Gilberto, le « père de la bossa nova » et le suit aux Etats-Unis en 1963. Elle rencontrera alors le saxophoniste Stan Getz. Leur collaboration produira d’absolus chefs d’oeuvre, indémodables, dont la présente compilation est un excellent panorama.
Après le succès fulgurant de The Sidewinder en 1964, le trompettiste Lee Morgan a continué sur sa lancée en 1965 avec des albums tels que The Gigolo, avec Wayne Shorter, Harold Mabern, Bob Cranshaw et Billy Higgins.
A1: Ne Soit Pas Si Bête A2: Penses A Moi A3: N’Ecoute Pas Les Idoles A4: Laisse Tomber Les Filles A5: Poupée De Cire, Poupée De Son A6: Attends Ou Vas-T’En A7: Nous Ne Sommes Pas Des Anges B1: Baby Bop B2: Les Sucettes B3: Cet Air Là B4: Bébé…
L’Infinity de Lee Morgan, qui a été enregistré en 1965 mais n’est sorti qu’en 1981, montre que le grand trompettiste dirige un quintette robuste composé du saxophoniste Jackie McLean, du pianiste Larry Willis, du bassiste Reggie Workman et du batteur Billy Higgins, aux confins de la tradition hard bop et au-delà.
Cette édition vinyle stéréo de Tone Poet a été produite par Joe Harley, masterisée par Kevin Gray à partir des bandes originales analogiques, pressée sur un vinyle de 180 g chez RTI et emballée dans une pochette de luxe à rabat.
Le légendaire récital Chopin enregistré à Abbey Road en 1965 par une Martha Argerich âgée de 24 ans l’est à plus d’un titre. Il fut enregistré après le Concours international Frédéric Chopin de Varsovie durant lequel la maîtrise exceptionnelle de l’instrument et la sensibilité remarquable de la jeune argentine lui firent remporter trois prix : le premier prix, le prix du public et celui de la meilleure interprétation des Mazurkas, le public l’accueillant par des ovations debout.
Encore une très belle sortie de la série Tone Poet du label Blue Note.
Chet Baker et Art Pepper ont poursuivi leur collaboration fructueuse avec l’album Picture of Heath de Pacific Jazz en 1956 (initialement publié sous le nom de Playboys). Le sextet de la session était composé des meilleurs talents de la scène jazz de la côte ouest, dont Phil Urso, Carl Perkins, Curtis Counce et Larance Marable.
Cette édition vinyle mono Tone Poet series a été produite par Joe Harley, masterisée par Kevin Gray à partir des bandes originales analogiques, pressée sur un vinyle 180g chez RTI.
Cette édition Blue Note Classic Vinyl est stéréo, entièrement analogique, masterisée par Kevin Gray à partir des bandes originales, et pressée sur un vinyle 180g chez Optimal.
Réédition d’une merveille d’un obscur groupe de la scene Northwest garage américaine des sixties. Un garage psychédélique savoureux dans la veine de Electric Prunes, Music Machine, 13th Floor Elevators etc..
Saxophoniste atypique, Archie Shepp n’est pas seulement un talentueux musicien de Jazz, il est aussi un acteur engagé pour la cause Afro-Américaine. « Fire Music »(1965) fait écho à l’assassinat de Malcom X, dont la mémoire est à l’honneur sur le morceau ‘Malcom, Malcom, Semper Malcom’. A noter l’étonnante reprise du classique ‘Girl From Ipanema’.
Cette réédition de ce classique de chez IMPULSE est en vinyle 180 grammes, un véritable chef d’oeuvre du Free Jazz.
Enregistré en février 1965, cet opus propose un trio différent de celui de 1964, en intégrant Chuck Israëls (Contrebasse) et Larry Bunker (Batterie). Sur cet album, Evans et ses camarades de jeu proposent, une fois n’est pas coutume, un coup de génie en continuant d’associer classicisme et innovation. Retrouvez les mythiques ‘Israël’ et ‘Round Midnight’ sur cette réédition vinyle 180 grammes pour laquelle les masters ont été retravaillés avec les techniques audiophiles des séries « Acoustic sounds » de Verve.
Ne vous laissez pas tromper par les faux applaudissements ajoutés en post-prodution il ne s’agit pas d’un concert mais d’une excellente session studio en quartet enregsitrée par la diva soul en 1965. Elle s’essaye avec brio au répertoire jazz:swing standards sortant de l’univers Soul ou elle est habituée.
EALZ ! Records & le tout nouveau label A.D.S s’associent pour rendre hommage au mystérieux bluesman et producteur : Cleo Page.
Né en Louisiane, ce musicien basé à Los Angeles a travaillé avec le grand Johnny Otis, traîné dans les clubs de Central Avenue et peut-être jammé avec les meilleurs bluesmen de la côte ouest comme Jessie Allen, Pete « guitar » Lewis, Jimmy Nolen, Lafayette Thomas. Quelque part entre les premiers enregistrements électriques de Howlin’ Wolf et… Black Diamond Heavies !
12 titres rares probablement enregistrés entre la fin des années 60 et le début des années 70. Cette toute nouvelle version comprend le morceau ultra-rare « Black Man part. 1 & 2 ».
Matériel réédité ici pour la première fois dans un LP vinyle à la pochette sublime au design arty/artisanal à trois volets et un vinyle 7 pouces bonus
L’Institut National de l’Audiovisuel (Ina) édite pour la première fois des inédits d’artistes sur vinyle et s’associe à Diggers Factory pour lancer ses collections « 33 tours avec l’Ina » et « 45 tours avec l’Ina ». Les pépites conservées par l’Ina sont pour la toute première fois accessibles au grand public et aux collectionneurs en édition limitée, pour une expérience musicale unique.
1965, John Coltrane publie un album extrêmement avant-gardiste tout en restant accessible au profane. « A Love Supreme », un disque devenu un classique incontournable du jazz des années 60.
Réédition de cet album en quartet de Yusef Lateef, paru en 1965 sur le label Impulse. pMastering analogique à partir des bandes originales, pressage vinyl 180 grammes chez Third Man records.
Publié en 1965, Sings Soul Ballads est le second album du légendaire soulman Otis Redding.Avec le soutien du groupe maison du label Stax : Booker T. Jones, Steve Cropper, Donald ‘Duck’ Dunn et Al Jackson Jr.
The Angry Young Them est le premier album du groupe éponyme, sorti le 11 juin 1965. Le groupe enregistre l’album à Londres en juin 1964. Six des chansons de l’album sont des originaux de Van Morrison, dont le célèbre hymne du groupe Gloria. Une autre chanson de l’album, Mystic Eyes, est une création spontanée du groupe «juste en train de se promener » selon les mots de Morrison et après sept minutes de jeu instrumental, il a spontanément ajouté les paroles d’une chanson sur laquelle il travaillait.
Roger Daltrey a raconté que le premier album des Who avait été enregistré en un seul après-midi. En fait, bien que les chansons aient été enregistrées rapidement, la création de l’album fut longue et difficile. À ce moment, le guitariste Pete Townshend écrivait beaucoup de chansons. D’après le biographe John Atkins, Townshend avait aussi composé pour l’album les chansons Do the Strip, Things Have Changed et Kill My Appetite, mais elles furent rejetées par le groupe et n’ont pas été enregistrées.