Rencontre pour un seul et unique album de Layne Staley d’Alice In Chains au chant, Mike McCready de Pearl Jam à la guitare, John Baker Saunders de The Walkabouts à la basse et Barrett Martin des Screaming Trees à la batterie, Mad Season était la main tendue de McCready à Staley pour l’éloigner de ses addictions le temps d’un disque. Si l’échec sanitaire de la manoeuvre sera total, « Above » obtiendra ses galons d’album culte à la force de titres mid-tempo ambiancés absolument sublimes.
Album remasterisé exclusivement pour cette édition.
Pressage double vinyle audiophile 180 grammes.
Inclus trois titres inédits.
Vous avez aimé Blue Lines ? Vous serez sûrement conquis par le second opus du groupe de Bristol, qui entérine magistralement l’essai avec cet album d’un génie sonore et mélodique remarquable, entre soul et hip-hop, avec des faux airs de reggae éthéré évoluant vers le jazz, des beats primitifs et répétitifs, le tout parsemé de délicates hybridations pianotées par Craig Armstrong. Protection fait aussi une large place à des invités, dont la délicatement sensuelle Tracey Thorn sur la chanson-titre et Better Things, la mutine Nicolette sur Three ou Sly, sans oublier le baroudeur Horace Andy sur le sublime Spying Glass.
Les véritables dieux de la musique underground stoner, les Melvins, ont sorti leur album Stoner Witch en 1994. L’album est l’une de leurs sorties les plus réussies et celle où leurs capacités musicales se font sentir dans la profondeur, les sons puissants et expérimentaux.
Quel est l’album le plus influent de l’histoire du rap U.S. ? Très certainement « Illmatic » de Nas sorti en 1994 et qui a laissé une empreinte indélébile dans l’histoire du rap américain.
Nirvana est la première compilation posthume du groupe américain de grunge Nirvana sorti le 29 octobre 2002 par le label DGC Records. C’est le troisième disque publié après la mort de Kurt Cobain en 1994.
Sorti en 1994, l’album Live de Nirvana, « MTV Unplugged in New York », a été enregistré lors de la tournée de promotion du troisième album du groupe, « In Utéro ». Le groupe participe à l’émission MTV Unplugged et réalise un concert qui sera diffusé en décembre 1993 et qui va permettre à l’album d’atteindre le million de ventes.
Cet album est considéré comme un des plus grands albums de Hip-Hop et il ressort aujourd’hui avec sa pochette d’origine.Inclus les singles « Juicy », « Big Poppa / Warning » et « One More Chance ».
Definitely Maybe est le premier album du groupe anglais Oasis sorti le 30 août 1994. Il a été pendant longtemps le « Fastest Debut Album Of All Time », à savoir le premier album le plus rapidement vendu à sa sortie, Definitely Maybe est considéré comme un classique de l’histoire du rock britannique, référence pour de nombreux groupes des années 2000.
Vitalogy, ou l’album de la révolte. En effet, si Pearl Jam a su très tôt se faire connaître et apprécier des amateurs de rock made in Seattle grâce à deux manifestes coup de poing, le groupe ne pouvait plus se permettre de réitérer une simple copie de Ten et de Vs s’il voulait réussir à rompre avec une ère grunge qui touchait à sa fin.
Le premier album de Portishead, sorti en 1994, est un chef-d’œuvre d’abattement et de désespoir. Ils ont inventé leur propre type de virtuosité, une virtuosité qui englobe la musicalité, la technologie et l’aura.
Aux commandes du Silver Jews sur cet album, si le capitaine du navire est bien sûr David Berman (textes, chant, guitare…), on retrouve pas moins de trois membres de Pavement : Steve Malkmus et l’incroyable section rythmique Bob Nastanovich et John Steve West. L’alternance des voix de Malkmus et Berman est parfaite, l’esprit rythmique et mélodique de Pavement habille au mieux cette série de chansons sans prétention.
Le premier album éponyme de Tortoise intègre de nombreux styles et influences musicaux et les combine en un son très distinct. Si distincts que quelque temps après la sortie de ce disque, ils ont été reconnus comme les leaders d’un nouveau mouvement musical.
En 1994, à sa sortie, le premier album éponyme de Weezer (dit « Blue Album ») fait clairement souffler un vent de fraîcheur sur l’Amérique des college-radios et du rock indépendant, endeuillée coup sur coup par le split des Pixies et la fin abjecte de l’épopée grunge.