BIO : Cet album de l’auteur, compositeur et interprète nigérian Burna Boy représente l’aboutissement non seulement de sa propre carrière, mais de tout un mouvement de musiques de club du continent africain où il est déjà considéré comme une mégastar. Le chanteur revendique une « afro-fusion », rencontre des rythmes pop nigérians…
BIO : Unlike his last LP, the Dictaphone presents here its brightest side. True DIY art at its peak! Played, recorded, mixed all alone Jeremie Morin gives a unique blend of DIY synth, post-punk, krautrock, acid folk, polyrhythm. 10 tracks – 30 mn Truly wonderful!
Beautiful Vinyl Hunter, premier album de Ashley Henry, rassemble les influences qui ont structuré le rapport à la musique de cet enfant de la diaspora jamaïcaine du South London : jazz, hip-hop, broken-beat. Le titre lui-même reflète son rapport affectif aux disques.
« Ma musique est le reflet de la personne que je suis – Londres dans toute sa splendeur et sa mixité – mais aussi l’immigrant en moi ayant des racines musicales qui remontent aux années 1600. C’est pourquoi ma musique traverse les genres et les générations. »
«Timbuktu» de Cheickh Tidiane Seck, pianiste malien, figure légendaire de la scène musicale africaine, est un disque en forme d’hommage au compositeur et pianiste américain Randy Weston. Cheikh Tidiane Seck y reprend à sa façon des thèmes composés par ce géant américain. Passant avec la même élégance du Piano acoustique au Fender rhodes et à L’orgue Hammond, il invite notamment Adk Al Malik et Manu Dibango sur certains titres.
Premier album du projet ou l’on retrouve la section rythmique des mythiques Fugazi. Univers musical Instrumental entre post rock, noise avec une guitare prédominante donnant également parfois quelques accents plus métal.
Premier Album sous le nom de SUDAN ARCHIVES de Brittney Parks incroyable violoniste, compositrice, chanteuse. Une fusion musicale neo-soul, rythmes ouest-africains, hip-hop, trip-hop, jazz… créant un univers musical inédit et luxuriant. Intense.
Excellente pépite entre indie-rock et classic rock west coast sixties ! The Young Sinclairs est un des trésors cachés de la scène indépendante US. Out of the Box est leur sixième album depuis 2007, et bénéficie d’une parution française grâce au label hyper actif Requiem pour un Twister.
Un univers musical super cool aux accents Indie/Neo-sixties quelque part entre Allah-Las, The Coral et Triptides.
2019, Red Rocks Amphitheater : Les Flaming Lips interprètent leur mythique album en compagnie de l’orchestre symphonique du Colorado, double album live épique.
Un album sorti en Octobre 2019 sur le label franco japonais 180G & Disk Union. Xenia est une artiste brésilienne qui propose une relecture moderne et contemporaine d’un double héritage Afro-Brésilien.Déja repérée pour une sessions COLORS et nominée aux Latin Awards, quelque part en Flavia Coelho & Rosalia.
Enregistré en seulement six mois, le troisième album de Frank carter & The Rattlesnakes marque leur apogée avec des titres coup de poing et coup de cœur. Avec à la barre Cam Backwood et au mixage Alan Moulder, le projet voit le co-auteur Dean Richardson prendre son envol.
« Let Love » de l’acteur, artiste, activiste, rappeur et écrivain Common, paru en 2019 avec la participation de A-Trak, BJ the Chicago Kid, Leikeli47etc..
Le retour de Duo parisien actuel le plus cool mélangeant afrofunk & Pop dans un esprit proche de VOILAA ou VAUDOU GAME… Après le coup d’essai de « remets t’es qui ? « les revoici avec un double album très abouti rempli de pépites avec un titre clin d’oeil …
Excellent double album d’un collectif anglais contemporain entre NU JAZZ & HIP HOP/NU SOUL avec quelques invités prestigieux de la scène urbaine UK : Loyle Carner, Kokoroko & Jorja Smith. Coolitude !
Deux ans après leur premier album, Girl Ray décide d’effectuer un virage musical sans pour autant trahir ses origines. Fini les explorations vers la pop psychédélique des années 1960 à la Britpop des années 1990 sur ce nouveau disque, les londoniennes virent dans des sonorités ElectroPop/Nu SOUL/soul/.
Doron Segal est un pianiste-compositeur israélien installé à Berlin et très actif dans la scène dowtempo & Nu Jazz notamment au sein de Aver & Move 78 ou il joue du Fender Rhodes, ainsi que dans nombreux projets gravitant autour de l’excellent label Village Live Records.
Dans son nouvel opus Jdid (nouveau, neuf en arabe), qui paraît le 18 octobre 2019, le groupe amplifie le dialogue entre les rives Nord, Sud & Est de la Méditerranée (la rive Nord s’étendant, dans le cas présent, aux berges de la Tamise, de la Spree et de l’Hudson…).
Acid Arab y emmène son vocabulaire dancefloor en voyage, avec la participation d’invités triés sur le volet.
« Le combo turco-néerlandais renoue avec son cocktail sophistiqué et jubilatoire de chansons turques traditionnelles, de folk rock psychédélique et de groove sur l’album Gece.»
ALBUM NOMINÉ AUX GRAMMY 2019 – BEST WORLD MUSIC ALBUM
Six ans. C’est le nombre d’années qui séparent LP5 — sorti aujourd’hui -, de Krieg Und Frieden (Music for Theatre), le dernier album de Sascha Ring sous le nom Apparat. Entre temps, le Berlinois ne chôme pas : il signe avec Moderat, le groupe qu’il a composé avec Gernot Bronsert et Sebastian Szary de Modeselektor, deux albums soufflant du bon et du moins bon, se laissant parfois aller à une pop électronique simpliste. Mais comme ses compatriotes et anciens collaborateurs musicaux, il se relance désormais dans le bain pour un grand retour solo.
Le 22 octobre 2019, suite à l’invitation de MTV Australie, Courtney Barnett a donné un concert unique et très spécial dans sa ville natale de Melbourne. Cette session « Unplugged » a présenté Courtney Barnett comme jamais on ne l’avait entendu auparavant, chaleureuse, vulnérable et émue. Dans la cour extérieure du bar Howler, sous une guirlande de lumières et une canopée de fleurs, Courtney a interprété huit chansons émouvantes devant un public restreint dont notamment « Depreston », « Avant Gardener » et « Sunday Roast ». Accompagnée par son groupe habituel Dave Mudie et Bones Sloane, elle a également fait appel à la violoncelliste Lucy Waldron.
Quelques mois après la sortie de l’excellent U.F.O.F., le quatuor américain est de retour avec Two Hands, deuxième album cette année pour Big Thief.
Une fois de plus, le groupe produit une musique indie de toute beauté, entre folk et rock, aux textes poétiques à souhait, entre douleur et douceur.
U.F.O.F. a été enregistré dans l’ouest rural de Washington aux Bear Creek Studios. Dans une grande pièce ressemblant à une cabine, le groupe a installé son équipement pour enregistrer en direct avec l’ingénieur Dom Monks et le producteur Andrew Sarlo, qui était également à l’origine de leurs albums précédents. Ayant déjà vécu ces chansons en tournée, ils étaient détendus et prêts à expérimenter. La matière première est arrivée rapidement. Certaines chansons ont été écrites quelques heures seulement avant l’enregistrement et se sont étirées instantanément, première prise, voix et tout.
Trois ans après le virage musical de 22, A Million, Bon Iver aka Justin Vernon revient avec un quatrième opus, i,i. Un titre assez mystérieux pour un album censé clôturer un cycle de saisons. For Emma, Long Ago symbolisait l’hiver, Bon Iver le printemps, 22, A Million l’été (ah bon ?) et ce i,i l’automne. Autant les deux premiers ont donné un renouveau à la folk atmosphérique, autant les deux derniers servent une saveur électronique.