La version Vinyle de la compilation des hits du poids lourd de la pop mainstream contemporaine. Porté par ses plus gros hits : ‘Save your tears’, ‘Blinding lights’, ‘In your eyes’, ‘Starboy’ ou encore ‘I feel it coming’.
Troisième album foisonnant et multidirectionnel pour un Matthew E. White qui, a composé ses nouvelles chansons depuis son home studio en Virginie selon une méthode assez étonnante… un vrai régal !
Tout au long des 8 morceaux qui composent l’album d’Aboukir, les guitares psychédéliques et textes aériens s’entremêlent au blues des lignes de basses et des notes de Rhodes, faisant la part belle aux séquences instrumentales sur chacune des chansons.
Altin Gün revient avec un sublime troisième album qui élargit son exploration du rock anatolien et du psyché turque avec des excursions synth-pop 80s rêveuses.
Le groupe d’Amsterdam s’est bâtit une solide réputation pour son habileté à mélanger passé et présent pour concevoir un son pop psychédélique des plus brillants.
Yol (« Route »), son troisième album dévoile une nouvelle palette sonore riche en surprises.
Popularisé notamment par sa chanson Tuyo utilisée au générique de la série Narcos, le brésilien unique et inclassable Rodrigo Amarante a choisi de prendre son temps pour peaufiner son second disque en solo, l’irradiant Drama qui vient confirmer tout le bien que l’on avait pensé de Cavalo en 2014.
« HER » est la musique du film composée par Arcade Fire et Owen Pallett pour le film Her de 2013, réalisé par Spike Jonze et avec Joaquin Phoenix et Scarlett Johansson.
La partition n’a été officiellement rendue publique qu’en mars 2021. Il a été nominé pour la meilleure musique originale à la 86e cérémonie des Oscars.
Ces mélodies sont l’œuvre d’Arthur Larregle aka Arthur Satàn. Arthur, c’est le guitariste du combo électrique qui sait si bien délivrer de bons décibels de Bordeaux (et Turin) J. C. Satàn. Un premier disque solo très réussi sous influences sixties parfaitement digérées !
‘Escapades’, est le premier album solo de Gaspard Augé (Justice). L’artiste nous présente un album instrumental et cinématographique de 12 titres au format pop, prolongeant certaines inspirations pour les illustres compositeurs de musiques de films tels Ennio Morricone ou encore Vladimir Cosma.
Des projets parallèles des membres de Slowdive, ceux de Christian Savill, le discret guitariste gaucher ne sont sans doute pas les plus connus. Pourtant, depuis le single d’Eternal sur Sarah records en 1990, projet immédiatement mis de côté pour se consacrer à un Slowdive en plein décollage, puis l’aventure Monster Movie durant leur long break (6 albums et 4 EP, quand même), il n’a jamais manqué l’occasion de montrer qu’il avait du talent à revendre et que le son et les compositions de Slowdive ne devaient pas tout aux seuls Rachel Goswell et Neil Halstead. Malheureusement, c’est sans doute parce que Graveface, son label américain, demeure confidentiel de ce côté de l’Atlantique qu’il est toujours passé sous les principaux radars prescripteurs.
The Black Keys reviennent avec un 10ème album studio intitulé Delta Kream. Retour aux sources du Blues le long des rives du Mississipi pour le duo auréolé de 6 Grammys. Composé de 11 titres il puise dans l’héritage blues laissé par John Lee Hooker, Junior Kimbrough et propose un hommage appuyé à travers 11 titres à ces artistes qui ont fait l’histoire de ce genre musical et qui ont accompagné Dan Auerbach et Patrick Carney depuis leurs débuts.
Même si leur côté excentrique et décalé reste toujours aussi présent, black midi surprendra son auditoire en empruntant ce virage beaucoup plus maîtrisé et calculé. Il en résulte une calvacade musicale où le groupe londonien mettra l’accent sur l’impact émotionnel des compositions et pour cela, ils méritent de marquer leur territoire un peu plus.
Ce n’est pas seulement un compositeur-dandy : Bertrand Burgalat, figure de la pop française qui a mis en musique Michel Houellebecq ou Valérie Lemercier, gère son label, dirige le Snep et milite activement en faveur des diabétiques. Il fait son retour en solo le 11 juin 2021 avec l’album « Rêve capital ».
Inclassable et atypique mélange de sonorités rock, chanson et world, « Glück Auf ! » est le chapitre 2 de la collaboration entre Rodolphe Burger et Érik Marchand, qui fait suite au projet « Before Bach » (2004)
Nick Cave plus prolifique que jamais revient avec un album composé en duo avec son inoxydable complice Warren Ellis, figure des Bad Seeds et de Grinderman.
Pour la première fois d’ailleurs, ce n’est pas pour l’écriture d’une bande originale que les deux musiciens sont rentrés en studio mais bel et bien pour composer leur propre bande-son d’une époque tourmentée.
« Un disque brutal, mais très beau, niché dans une catastrophe collective », d’après Nick Cave cité par un communiqué.
« Ils n’ont donné de sens à rien. Ils baignent dans leur monde, ils sont traversés par leur monde… » Si Gaspar Claus évoquait, à travers ces mots, une île habitée par une communauté hédoniste, il est difficile de ne pas y retrouver un écho à son dernier projet. Oscillant à travers les genres et les sonorités, tout en conservant une certaine platitude
Beaucoup de musiciens rêvent de faire un disque avec un orchestre symphonique, mais peu peuvent se permettre d’en faire une réalité. Grâce à une extraordinaire capacité à composer des mélodies qui s’enracinent dans l’esprit de ses auditeurs et parce qu’il a, pendant des années, patiemment interprété ces compositions sur scène au point qu’elles font pratiquement partie de lui, Avishai Cohen était bien placé pour exécuter une telle ambition.
« Lorsque vous écoutez ce disque, vous avez l’impression d’embrasser un voyage, d’entrer dans mon monde, d’une manière plus profonde et plus dense », dit-il.
Comett, derrière lequel on retrouve Alexandre Canola, sort avec « The Ghost Inside Me » son 4ème album. Et donne à son indie-folk une ampleur supplémentaire. Approfondissant ce qui faisait déjà le charme des précédents disques. Cette musique hybride, dansante et mélancolique, à cheval entre la froideur synthétique et la chaleur organique.
Huit ans après son premier album, Darkside, le projet collaboratif du du producteur de musique électronique Nicolas Jaar et du compositeur Dave Harrington, renaît de ses cendres.
La fusion entre reggae, dub et R&B qu’a confectionné Liam Bailey sur son disque se verra transformer par les mains expertes d’El Michels Affair avec tout le professionnalisme que l’on connaît. C’est ainsi que sa patte est finement exprimée sur « Amazing Woman » mais aussi sur « Angel Face » et « No One Else » où les accents rétro sont une fois de plus mis en avant. Par allleurs, la voix onirique de Liam Bailey se voit chargée de delays pour plus de sensations auditives.
Suite des fables acoustiques d’une méditerranée médiévale et imaginaire où Orient et Occident partageaient leurs sciences, leurs arts et leurs poésies. Sur son nouvel album, il a de nouveau sollicité son ami Malik Ziad, virtuose du oud et de la mandole, grand spécialiste des musiques gnawas, ainsi que son frère Karim, maître des percussions. Sans oublier, Luc Suarez, guitariste de son premier groupe, fidèle compagnon de route et orfèvre des arrangements du quatuor à cordes et la participation amicale de Ben Harper sur un très beau titre (en écoute sur cette page)
Eighth album for the English rock band from Sunderland, formed by brothers David and Peter Brewis. With Flat White Moon Field Music paint the pop fresco par excellence of the pandemic era. 12 tracks that make up the most essential, direct and scratchy of their works.
Promises est un extraordinaire album collaboratif entre l’artiste britannique Floating Points et le titan du saxophone Pharoah Sanders. L’album met également en vedette le groupe londonien The London Symphony Orchestra. La couverture de l’album est réalisée par l’artiste plasticienne américaine Julie Mehretu. Cinq ans après sa création,
Promises sortira sur Luaka Bop, le label du new-yorkais David Byrne (leader du groupe Talking Heads).