Sleeve Records et Dig This Way se sont associés pour mettre en lumière l’histoire et les morceaux de ce groupe emblématique de l’afro-funk psychédélique du Nigeria oriental du début des années 70.
Version vinyle vert de Horizon Unlimited, la réédition Numero Group de l’album sorti en 1979 des Lijadu Sisters, duo nigérian des années 70 qui a influencé des générations entières d’artistes mais n’a jamais bénéficié de la reconnaissance et du respect adéquats. L’afro funk insurgé que leur deuxième cousin Fela s’est efforcé de créer, c’est une musique pleine d’âme, psychédélique, féministe et révolutionnaire. Inclus la première transcription des paroles en yoruba et en anglais, les crédits corrigés de l’album, la pochette d’origine et d’autres bonus.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
«Blufunk is a fact !» le 1er album culte de Keziah Jones (1992) , incluant «Rythm is love». La toute première réédition Vinyle. Avec le master vinyle et l’ artwork d’ origine. Inclus le CD.
Fela’s definition of mental blindness is a person who, with his eyes wide-open, misses his direction and keeps turning round in circles without ever getting to his destination. Ikoyi Blindness refers to the Nigerian elite class who choose wrong professions because it provides them status in society rather than job…
Overtake Don Overtake Overtake was the penultimate album of newly recorded studio material released by Fela before he passed in 1997. Like its immediate predecessor, Beasts Of No Nation (also 1989), and its followup, Underground System (1992), the album finds Fela continuing to campaign for human rights and social change despite the relentless beatings, jailings and general harassment he had received from successive military regimes since the start of the 1970s
This edition of Original Sufferhead is a major event. With the release of box set #5, and now on this reissue, the title track of this magnificent album is presented in its full-length, 25 minutes 24 seconds glory. While preparing the master disc for the box set, our engineer Jedi,…
« Wakar Alhazai Kano / Mus’en Sofoa », le premier album du Tabansi Studio Band, est composé de quatre titres incroyables qui sont restés pratiquement inconnus jusqu’à aujourd’hui. Cet album est la magie de l’afrobeat !
Après la sortie du premier album de Baba Commandant « Juguya » en 2014 sur le puissant label Sublime Frequencies, Mawimbi est fier de présenter « Wasso », l’un des meilleurs morceaux de l’album, dans une toute nouvelle forme de mixage, ainsi que des remixes électroniques mortels de Loya et Mr.
Personnage excentrique et mystérieux de la scène underground de Ouagadougou, Baba Commandant a débuté comme danseur traditionnel Bobo, avant de s’engager dans une riche carrière musicale et de rejoindre la star burkinabé Victor Démé comme l’un de ses musiciens de tournée. Influencé par Fela Kuti, King Sunny Adé et Moussa Doumbia, Baba Commandant joue du dozo n’goni, un instrument associé aux chasseurs traditionnels Donso, jetant un pont entre les différentes générations et couches de la société burkinabé.
Omara « Bombino » Moctar, guitariste et héros du folklore touareg, connaît bien la vie nomade. Être constamment sur la route pour sa musique tout en se déplaçant perpétuellement dans la région sahélienne de l’Afrique est la norme. Aussi, lorsque la pandémie a stoppé net le monde, Bombino s’est retrouvé dans un espace inconnu : être à un seul endroit. Pour donner vie aux chansons, Bombino a travaillé en étroite collaboration avec le producteur et mixeur gallois David Wrench (David Byrne, Frank Ocean, Caribou, Goldfrapp, Erasure, The xx, Sampha), avec ses coéquipiers dans un studio à Casablanca pendant dix jours pour enregistrer l’album. Les dix chansons qui composent ‘Sahel’ abordent des thèmes aussi variés que le sort des Touaregs, la douleur d’un amour perdu ou les folies de la jeunesse.
Omara « Bombino » Moctar, guitariste et héros du folklore touareg, connaît bien la vie nomade. Être constamment sur la route pour sa musique tout en se déplaçant perpétuellement dans la région sahélienne de l’Afrique est la norme. Aussi, lorsque la pandémie a stoppé net le monde, Bombino s’est retrouvé dans un espace inconnu : être à un seul endroit. Pour donner vie aux chansons, Bombino a travaillé en étroite collaboration avec le producteur et mixeur gallois David Wrench (David Byrne, Frank Ocean, Caribou, Goldfrapp, Erasure, The xx, Sampha), avec ses coéquipiers dans un studio à Casablanca pendant dix jours pour enregistrer l’album. Les dix chansons qui composent ‘Sahel’ abordent des thèmes aussi variés que le sort des Touaregs, la douleur d’un amour perdu ou les folies de la jeunesse.
L’artiste londonien, originaire de Calabar au Nigéria, est, très jeune, influencé par le hip-hop américain et le rap. À travers les rencontres et lieux qu’il a fréquentés tout au long de sa jeunesse, sa culture musicale se développe et se diversifie avec des découvertes telles que Radiohead et Fela Kuti. Le voici armé pour trouver sa propre voie et son propre son. Depuis, il compte à son actif des collaborations avec Joe Armon-Jones, Nubya Garcia, Pa Salieu, Little Simz. Il se lance désormais seul et arrive avec un premier album teinté de son hip-hop, de la soul, beaucoup, de l’afrobeat, des éléments electro, un équilibre sur le fil de ses influences et sur fond de textes parfois politiques, parfois très personnels. Cet album va vous faire du bien ! (source FIP)
L’un des albums les plus difficiles à trouver du maestro afro soul. Une session fantastique, initialement enregistrée aux USA et sortie au Nigeria en 1978. Une licence officielle de ce graal spirituel afro funk ! Un son Afro Funk monstre époustouflant, remasterisé par Carvery . Essentiel !
Après la superbe compilation de Doing It In Lagos : Boogie, Pop & Disco in 1980s Nigeria en 2016, Soundway Records présente la première et unique réédition sous licence officielle du très convoité premier album de Steve Monite, avec le single ‘Only You’ que l’on ne présente plus et qui a été repris par Frank Ocean,Theophilus London ou encore Tame Impala.
Un des albums salué comme l’un des plus mystérieux, des plus rares et des plus fascinants d’Afrique enfin réédité en version double vinyle.
L’album est accompagné d’un texte livret nourri et détaillé de Florent Mazzoleni, spécialiste des musiques urbaines africaines, parti à la recherche de la famille de Ferry Djimmy à travers le continent africain.
Fer de lance de l’afrofusion actuelle, le Nigérian livre un quatrième album habité par l’envie de faire rayonner sa musique sur le monde. Tout en conservant les bases qui ont fait son succès, il s’aventure désormais sur des territoires plus pop. Analyse d’un phénomène.
BIO : Cet album de l’auteur, compositeur et interprète nigérian Burna Boy représente l’aboutissement non seulement de sa propre carrière, mais de tout un mouvement de musiques de club du continent africain où il est déjà considéré comme une mégastar. Le chanteur revendique une « afro-fusion », rencontre des rythmes pop nigérians…
Sorti en 1982, l’album « Waka Juju » marque un retour de Manu Dibango à l’afrosound. On y entend des titres comme « Douala Serenade » ou « Ma Marie » hommage à sa femme aujourd’hui disparue, Marie dite «Coco».
Le musicien nigérian Fela Kuti est considéré comme le fondateur de l' »afrobeat ». Le label Knitting Factory propose désormais différentes œuvres de son back-catalogue en édition vinyle. « Beats Of No Nation » pèse 180 g et est accompagné d’un code de téléchargement.
Gentleman (1973) est le dernier des albums de transition de Fela du début des années 1970. Il a été suivi par Alagbon Close (1974), sur lequel il a réuni tous les ingrédients caractéristiques de l’afrobeat. Le titre de l’album peut être interprété littéralement ou comme une métaphore sur un sujet plus large.
En 1972, lorsque Music of Fela : Roforofo Fight est sorti (sur deux albums vinyles, Music of Fela Volume One et Volume Two), Fela était devenu l’un des musiciens les plus suivis d’Afrique de l’Ouest. Son public se compose des citadins pauvres de la région, des « sufferheads » vivant dans les bidonvilles autour des grandes villes, ainsi que d’un nombre croissant d’étudiants et de dissidents politiques. Fela défendait et chantait les problèmes des personnes opprimées et exploitées et dénonçait les élites dirigeantes qui les dominaient, avec leur corruption apparemment endémique et leur recours facile à la violence pour écraser la dissidence. Parce qu’il chantait généralement en anglais plutôt qu’en Yoruba et qu’il adoptait un point de vue de plus en plus panafricaniste, son message a trouvé un écho dans toute l’Afrique anglophone.
Crashes in Love est le premier album d’Onyeabor sorti en 1977. Il l’a en fait sorti deux fois. Comme pour la plupart des choses d’Onyeabor, l’histoire est un peu vague, mais il semble qu’il avait besoin de réprimer l’album et avait perdu les parties. C’est du moins l’histoire que nous avons entendue. Il s’agit de la première version et c’est ce que nous appelons la version « acoustique ». La dernière version a des pistes sonores quelque peu différentes de différentes longueurs qui ont également des instruments électroniques dessus. C’est William Onyeabor au saxo au fait, nous n’avons aucune idée de ce qu’il a joué d’autre. Certaines de ces chansons que vous avez déjà entendues sur notre compilation et d’autres seront nouvelles pour vous. Sortie originale 1977.
« Qui est William Onyeabor ? » Ainsi s’intitule l’enthousiasmante compilation publiée en 2013 consacrée à ce chanteur et musicien, illustre inconnu nigérian, qui vient de s’éteindre à 70 ans. A l’instar d’un de ses titres phares Atomic Bomb, scie hypnotique et sensuelle au rythme ensorcelant, l’enregistrement fit effectivement l’effet d’une petite bombe. Des titres d’un afrobeat à la fois minimal et visionnaire gravés, au crépuscule des années 70, par un pionnier bien singulier du synthétiseur. Et surtout nappé de mystère.