Le troisième album jusqu’ici inédit en vinyle du Bill Fay Group. Enregistré entre 1978 et 1981, il rassemble les qualités du early rock, la complexité de l’improvisation jazz, et la magie folk chère à Bill Fay. Inclut des photographies rares et inédites de la session d’enregistrement originale et une reprise de Marlon Williams.
‘Big Anonymous’ est le nouvel album de la fascinante multi-instrumentiste, chanteuse et compositrice suédoise El Perro del Mar. Depuis 2006, Sarah Assbring nous hypnotise avec sa voix angélique et ses instrumentations pop, électronique influencées par le DooWop, les ballades mystiques, les bandes originales de film etc… Sur ‘Big Anonymous’, elle explore de nouvelles voies quasi mystiques la rapprochant de FEVER RAY ou même ZOLA JESUS. Avec ce disque, elle va là où peu osent s’aventurer : dialogues avec les morts, réflexions sur sa propre mortalité et sur les ténèbres intérieures dont elle a hérité. C’est gothique, crépusculaire, lunatique et magnifique. Au final, c’est fascinant et profondément intime.
Le premier album chanté de la religieuse, compositrice et pianiste éthiopienne bien-aimée Emahoy Tsege Mariam Gebru.
Ces chansons, enregistrées entre 1977 et 1985, sont différentes des autres sorties de l’artiste, riches du son des oiseaux à la fenêtre, du grincement du banc de piano. Les textes d’Emahoy, chantés en amharique, sont poétiques et lourds du poids de l’exil. Sa voix, délicate et sincère, suit les contours mélodiques de son piano. Livret de 16 pages en couleurs.
Version vinyle seaglass swirl noir de A Trip To The Moon, le quatrième album de Ghost Funk Orchestra, le groupe new-yorkais formé autour du producteur Seth Applebaum. De belles compositions et une attitude garage rock avec des guitares fuzzy et reverb et des cuivres arrangés à la manière d’un big band.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
PATCH « A TRIP TO THE MOON » OFFERT DANS LA LIMITE DES STOCKS DISPONIBLES
Look To The Rainbow (1966) est l’un des joyaux du catalogue d’Astrud Gilberto et du canon de la bossa nova. Vinyle 180g LP, Pressé chez Third Man à Detroit.
DOG BEACH est un album de pop orchestrale indie explorant les thèmes du désir, du passage à l’âge adulte, de l’amour subconscient, des souvenirs et des réflexions personnelles. Avec cet album, Merryn Jeann se présente fièrement comme une artiste incarnant une fragilité ludique et un vibrant sentiment d’émerveillement.
Deux sublimes partitions inédites de Basil Kirchin sur Trunk Records. En fait, il s’agit de musiques inédites provenant des imprévisibles et légèrement chaotiques “Kirchin Tape Archive” (pas de tracklist, pas de liste de musiciens, pas de noms de noms de chanteurs, pas de dates ou quoi que ce soit…).
Illustré dans une superbe pochette fidèle style des OST des années 1960.
Version vinyle vert de Zero Grace, le deuxième album de l’auteur-compositeur-interprète anglais Liam Bailey sur Big Crown Records. Produit par Leon Michels (El Michels Affair), le disque s’appuie davantage sur le côté auteur-compositeur-interprète en étant d’une honnêteté impulsive et sans réserve.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Les Disques du Crepuscule présentent une anthologie unique du groupe postpunk-funk bruxellois Marine, dont on se souvient avec émotion du premier single « Life In Reverse » en 1981, et qui revient aujourd’hui avec une série de nouveaux titres studio. avec une série de nouveaux titres studio.
La réédition du premier album de l’actrice japonaise culte Meiko Kaji sorti pour le label Teichiku en 1972.
Un superbe mélange de kayokyoku (pop japonaise), de musique traditionnelle Enka, de rock psyché et de groove cinématographique. Produit par deux producteurs chevronnés de Teichiku, Yorifumi Ito et Kenji Nakajima. Pochette originale gatefold et OBI, audio remasterisé et un livret 2 pages avec des notes de pochette de Hashim Kotaro Bharoocha.
Les onze musiciens venus d’Allemagne vêtus de leurs célèbres vestes rouges dévoilent l’arrivée de leur quatrième album studio EMPOR, ainsi qu’une nouvelle tournée EMPOR 2024. Avec son mélange explosif de techno hypnotique entraînante et de musique de fanfare expressive, MEUTE séduit un public de plus en plus large depuis 2016.
Un album très « MGMT MGMT » que le groupe décrit comme « un groupe de chansons sur l’amour et le changement, avant tout ». Les descriptions du groupe incluent : audacieux, savoureux, ludique, sincère, optimiste, perspicace. Loss Of Life a été produit par MGMT et Patrick Wimberly (Solange, Lil Yachty, MGMT), et mixé et produit par Dave Fridmann (Flaming Lips, Interpol, Spoon).
Un album très « MGMT MGMT » que le groupe décrit comme « un groupe de chansons sur l’amour et le changement, avant tout ». Les descriptions du groupe incluent : audacieux, savoureux, ludique, sincère, optimiste, perspicace. Loss Of Life a été produit par MGMT et Patrick Wimberly (Solange, Lil Yachty, MGMT), et mixé et produit par Dave Fridmann (Flaming Lips, Interpol, Spoon).
Un album très « MGMT MGMT » que le groupe décrit comme « un groupe de chansons sur l’amour et le changement, avant tout ». Les descriptions du groupe incluent : audacieux, savoureux, ludique, sincère, optimiste, perspicace. Loss Of Life a été produit par MGMT et Patrick Wimberly (Solange, Lil Yachty, MGMT), et mixé et produit par Dave Fridmann (Flaming Lips, Interpol, Spoon).
EDITION LIMITEE DISQUAIRE INDEPEDANTS, VINYLE COULEUR « BLUE JAY OPAQUE »
Le groupe légendaire de Ridgewood, New Jersey, revient avec un sixième album studio intitulé Daniel.
Enregistré aux studios RCA à Nashville avec le producteur Daniel Tashian (co‐producteur/co‐auteur de l’album Golden Hour de Kacey Musgraves), Daniel sonne comme un classique de Real Estate avec les touches subtiles d’un producteur ayant baigné dans la pop.
Après plusieurs jours d’enregistrement, le groupe discutait du titre de l’album quand quelqu’un a suggéré « Daniel », simplement parce que cela semblait amusant d’attribuer un nom humain à un disque. Était‐ce pour Daniel Tashian ? Peut‐être. Était‐ce un clin d’œil à « Tim » des Replacements ? Possible. Était‐ce le signe d’un groupe ayant existé suffisamment longtemps pour prendre sa musique au sérieux sans se prendre trop au sérieux ? Absolument.
Le groupe légendaire de Ridgewood, New Jersey, revient avec un sixième album studio intitulé Daniel.
Enregistré aux studios RCA à Nashville avec le producteur Daniel Tashian (co‐producteur/co‐auteur de l’album Golden Hour de Kacey Musgraves), Daniel sonne comme un classique de Real Estate avec les touches subtiles d’un producteur ayant baigné dans la pop.
Après plusieurs jours d’enregistrement, le groupe discutait du titre de l’album quand quelqu’un a suggéré « Daniel », simplement parce que cela semblait amusant d’attribuer un nom humain à un disque. Était‐ce pour Daniel Tashian ? Peut‐être. Était‐ce un clin d’œil à « Tim » des Replacements ? Possible. Était‐ce le signe d’un groupe ayant existé suffisamment longtemps pour prendre sa musique au sérieux sans se prendre trop au sérieux ? Absolument.
La musique expansive et kaléidoscopique de la berlinoise Maya Shenfeld est aussi lumineuse qu’exquise. De formation classique, Shenfeld est rapidement devenue l’une des voix les plus passionnantes et les plus vivantes de la musique contemporaine.
Après Timeless et sa sidérante réinterprétation moderne d’œuvres de figures de la musique classique, le producteur continue son exploration et s’épanouit en pratiquant une musique instrumentale qui le conduit à se sentir beaucoup plus proche de l’univers classique dans ce magistral Thylacine (and 74 musicians) où l’Angevin réussit la prouesse de réinventer l’exercice quand même bien fréquenté, ces dernières années, de mélanger la fureur électronique avec l’orthodoxie classique.
Au cours de l’été 1973, Piero Umiliani, dans son studio d’enregistrement futuriste de Rome, un peu comme Miles Davis pour son « Bitches Brew », a réuni un collectif extraordinaire de musiciens, anciens et nouveaux, pour qu’ils se mesurent à certaines de ses compositions. Outre la forte accentuation du backbeat, ce qui ressort le plus, c’est le timbre donné par ses « instruments électroniques », comme il aimait les appeler.
Axée sur la scène explosive du merengue típico 60’s et 70’s, une compilation influencée par des pionniers comme « Tatico » Henríquez et le Trio Reynoso.
Après la puissance sombre et expansive de leur premier album Image paru en 2018, le retour à un son plus minimal sur Several Others en 2021, The Great Calm, représente une réimagination et une refonte de leur son, même si ces nouveaux titres sont toujours résolument fidèles à leur style.
L’album de 16 chansons comprend des morceaux de 1975, enregistrés pendant les sessions de Zuma. Le disque tire son nom de Point Dume, le quartier de Malibu où Neil Young, Crazy Horse et le producteur David Briggs ont vécu, écrit et enregistré la musique (la plage de Zuma se trouve également dans ce quartier).
Le troisième album de Betty, publié à l’origine par Island Records en 1975, Enregistré avec le groupe de Betty, “Funk House” réédité par le label Light In The Attic.
La réédition du premier album de M. Ward, singer-songwriter et guitariste de Portland sorti à l’origine en 1999. Un album magnifique qui ne manquera pas de faire pâmer les aficionados de lo-fi et d’americana, sans parler des fans de M. Ward, anciens et nouveaux.
Le cinquième album de M. Ward sorti à l’origine en 2006. Ses chansons racontent des histoires de la vie, de l’amour et de la bonté humaine avec une grâce innée et particulière, aidée en partie par les amis très talentueux qui le rejoignent sur ce disque, comme Neko Case et Mike Mogis, ainsi que Jim James (My Morning Jacket), un vieux copain de tournée des Monsters of Folk.
L’un des albums les plus appréciés de la discographie de Merge, Transfiguration of Vincent est à la fois un excellent point de départ pour s’initier à M. Ward et une œuvre profonde et étonnamment réalisée à laquelle les auditeurs reviennent sans cesse depuis 20 ans.
Le quatrième album de M. Ward sorti à l’origine en 2005. Écouter l’ode de M. Ward aux beaux jours oubliés de la radio, c’est un peu comme prendre une grande bouffée d’air poussiéreux du Dust Bowl, mais son charme est ancré dans le sirotage d’une limonade d’été plutôt que dans l’obsession de la Grande Dépression.