Un album caractéristique de Tortoise est celui qui traverse une encyclopédie de styles et de points de référence, un document où les intersections musicales et le dialogue se produisent à un moment donné dans le temps.
Le troisième LP de Tortoise, TNT, a été écrit et enregistré pendant un intervalle de 10 mois en 1997. Ce calendrier d’écriture/production plus long que d’habitude a été délibérément entrepris par le groupe dans l’espoir de créer un vaste, diversifié, mais thématiquement offre cohérente. Un disque magnifique devenu un classique.
Le premier album éponyme de Tortoise intègre de nombreux styles et influences musicaux et les combine en un son très distinct. Si distincts que quelque temps après la sortie de ce disque, ils ont été reconnus comme les leaders d’un nouveau mouvement musical.
D’une homogénéité et d’une constance remarquable, PostHuman vient compléter avec brio les pérégrinations au cœur de l’étrange de ces artisans précieux du psychédélisme. (source Mowno)
» Turnstile a toujours eu le feu sacré, en dépit des critiques des puristes, et même s’il ne suffit pas d’ajouter de la pop et de la reverb pour cartonner, les étoiles s’alignent au-dessus de cette œuvre tubesque et irrésistible, conçue avec le cœur, et qui permet à Turnstile de garder la lumière braquée sur eux. Glow On Baby. » (source Goute Mes Disques)
Longtemps épuisé de partout au format vinyle, l’album classique de Tyler, The Creator, « Wolf » est de retour. L’album est pressé sur deux disques vinyles de couleur rose, présentés dans une pochette à rabats avec des pochettes intérieures imprimées et un insert de 30×30 cm. Le pack comprend également un autocollant surdimensionné du visage de Tyler.
Des punks cauchemardesques futuristes dans une course hallucinatoire à travers des rues vides ; en colère et intenses, étroitement enroulés et synchronisés.
Fondé à New York en 2005 par Veronica Vasicka, le label Minimal Waves fut dès le début consacré à la remastérisation et à la rééditions de productions Minimal Waves obscures, et éditées de manière limitée en version vinyle, parfois digitale.
La nouvelle édition unique et limitée du 20e anniversaire de Soul Jazz Records, un pressage vinyle coloré + un code de téléchargement, exclusivement pour le Record Store Day 2023, de l’album New York Noise de Soul Jazz Records : Dance Music from The New York Underground 1978-82.
La musique de Studio One dans les années 1970 a propulsé le label vers de nouveaux sommets.Le nouveau style de mixage disco a réuni de nombreux domaines du reggae : racines, amoureux, disco et dub, tous réunis sous une forme étendue, re-version de succès classiques, expérimentation de nouvelles technologies de studio, sur-doublage, syn-drums et plus encore.Cet album « Studio One Disco Mix » comprend de nombreux morceaux classiques recherchés qui n’ont jamais été publiés qu’en très petites quantités, dont beaucoup n’étaient pas disponibles depuis leur sortie originale.
BIO : You Can’t Sit Down: Cameo Parkway Dance Crazes 1958 -1964, features recordings with a corresponding dance to go along with each catchy tune. Artists like Bobby Rydell, The Orlons, The Dovells, Dee Dee Sharp, The Applejacks along with Chubby Checker are featured in this collection. Seven Top 10 hits including The Orlons’, “The…
Principalement enregistré à New York, avec un séjour au Mexique au printemps, Contra est frais, joyeux et ne ressemble à rien d’autre, mais il est immédiatement reconnaissable comme le son de Vampire Weekend. Comprend le premier single « Horchata ».
Pour célébrer le 10e anniversaire de la sortie de cet album si spécial et pour souligner la convergence de son travail présent et passé, elle a demandé à des artistes qu’elle admire de participer à une réédition élargie, où chaque artiste reprendrait une chanson différente d’Epic.
Les 13 chansons de World’s Most Stressed Out Gardener ont été récoltées avec le même esprit : à l’état brut et naturel, au moment de leur conception. Ce septième album écrit, interprété, enregistré et mixé par Chad dans son studio Yoko Eno à Calgary, au Canada, et masterisé par Ryan Morey à Montréal, est une récolte psychédélique exceptionnelle.
The Velvet Underground est le troisième album du groupe éponyme, souvent appelé « l’album au canapé » en référence à sa pochette.
En changeant de label (et de producteur : ils s’auto-produisent désormais), le Velvet change de style. Le groupe livre un album plus apaisé, avec de nombreuses ballades comme Candy Says ou Pale Blue Eyes. L’influence des membres de la Factory d’Andy Warhol se fait néanmoins encore sentir, au travers des photos de pochette (signées Billy Name) ou de la chanson sur l’actrice transgenre Candy Darling.
Après « Wakin On A Pretty Daze », son cinquième album qui avait figuré dans de nombreux tops de l’année 2013, Kurt Vile s’apprête à rajouter le dénommé « B’Lieve I’M Goin Down… » à une discographie sans faute et à asseoir encore un peu plus son statut de héros du rock indépendant américain et de digne héritier de Neil Young, Tom Petty ou Lou Reed.
Kurt Vile est de retour avec son premier disque en trois ans, l’éclectique et électrisant Bottle It In, qu’il a enregistré dans divers studios à travers l’Amérique pendant deux années très chargées, lors de sessions qui ponctuaient habituellement les fins de longues tournées ou de road trips familiaux. Chaque chanson, qu’il s’agisse d’une composition pop concise et accrocheuse ou d’une épopée de guitare tentaculaire, devient un voyage en soi, prenant des détours inattendus, des avenues mélodiques détournées ou des solos à ciel ouvert.
Désintoxiqué des addictifs War On Drugs, Kurt Vile signe un disque solo d’americana débridé, entre ascétisme bluegrass, rock rugueux et cafouillages électroniques lo-fi. Etonnante intrusion dans une musique située entre classicisme mélodique et errance sonore. Une re-révélation.
Ex membre des très bons War On Drugs, le songwriter de Philadelphie Kurt Vile poursuit sa carrière solo en 2011 avec un excellent album sous son nom, Smoke Ring For My Halo…
Les dix morceaux qui figurent sur cet opus réellement addictif – les écoutes s’enchainent comme par magie, révélant de multiples détails dans les arrangements et la qualité inaltérable de l’écriture – oscillent magistralement entre folk pop mélancolique avec arpèges de guitare sèche en apesanteur, rock farouchement indé lardé de riffs un peu plus musclés sur des six ou douze cordes électriques et psychédélisme planant truffés d’effets stratosphériques et de guitare slide
‘Alice’ est l’un des album de Tom Waits les plus distinctifs. On y retrouve sa voix identifiable entre mille, des ballades jazz, des reflexions sur la mort et le désir ainsi que cette nouvelle forme de création – le tout forme un ensemble étrange et exotique.
Foreign Affairs est le cinquième album studio du chanteur et auteur-compositeur Tom Waits, sorti le 13 septembre 1977 sur le label Asylum Records. Il a été produit par Bones Howe, et Bette Midler y chante en duo avec Waits sur « I Never Talk to Strangers ».
Heartattack and Vine est un album de Tom Waits sorti en 1980 sur le label Asylum Records. Tom Waits a dans un premier temps donné le titre White Spades à l’album, mais sa maison de disque n’a pas trouvé ce titre assez vendeur ; il dut changer le titre.
Seize morceaux où l’on retrouve Marc Ribot à la guitare et Les Claypool de Primus à la basse, pour ne citer qu’eux. Déjanté mais sincère et fort comme un vieux bourbon 15 ans d’âge ! » . Tom Waits en grande forme à la fin des années 90 reprends gout à une certaine électricité ! Irresistible
Nighthawks at the Diner est le troisième album de Tom Waits, sorti en 1975 sous Asylum Records. Le titre est inspiré d’un tableau de 1942 du peintre américain Edward Hopper intitulé Nighthawks mais généralement appelé Nighthawks at the Diner.
Real Gone est un album de Tom Waits sorti le 3 octobre 2004 en Europe et le 5 octobre 2004 aux États-Unis. Tom Waits a confié que c’est son épouse qui a eu l’idée du titre de l’album.