Sorti en 1969, huitième album du maître et premier de son tryptique (s’en suivront Mwandishi et Crossings) chez Warner Bros. Records, Fat Albert Rotunda est une première plongée pour l’artiste dans la fusion entre jazz et funk.
Sur son second album Hanni El Khatib, paru en 2013, arrive à convaincre par un songwritting solide. Dan Auerbach, leader des Black Keys n’a donc pas réalisé un « El Camino »bis mais un album efficace et éclectique qui n’a pas fini de faire parler de lui.
Nourri des diverses et multiples influences du Californien, Moonlight, paru en 2015, étonne par sa diversité. Plus personnel et fourni que son prédécesseur, ce troisième opus marque un nouveau point de départ dans la carrière d’un artiste qui a le don de toujours nous étonner.