Andrea Laszlo de Simone, est l’une des grandes révélations de 2020 avec son album Immensità, plébiscité par Le Monde, Libération, Vanity Fair, Elle, etc. Il a atteint le Top 3 des albums de l’année dans lesInrockuptibles et certains titres de l’album font partie des morceaux les plus diffusés par France inter en 2020.
En 2017, il sort avec 42 Records l’album Uomo Donna, en collaboration avec l’ingénieur du son piémontais Giuseppe Lo Bue que le label Ekleroshock réédite à présent.
Réédition de cet album en quartet de Yusef Lateef, paru en 1965 sur le label Impulse. pMastering analogique à partir des bandes originales, pressage vinyl 180 grammes chez Third Man records.
Sur ce disque Lateef joue du saxophone d’une manière vraiment magistrale, tantôt avec un ton vif et impulsif et maintenant avec une élégance raffinée avec des harmoniques orientales.
The Miseducation of Lauryn Hill est le premier et le seul album studio de Lauryn Hill sorti le 25 août 1998 sur le label Ruffhouse. L’album fut nommé dix fois aux Grammy Awards en 1999 et gagna cinq prix, dont celui du meilleur album de l’année. En date de 2008, l’album s’est vendu à plus de 18 millions de copies à travers le monde.
Décrit comme un mélange de dance-punk, new wave, post-punk, synthpop et art rock, American Dream est un album abouti qui a été salué par la presse spécialisée à sa sortie.
Il s’agit d’un excellent faux album live, avec le groupe live, joué en direct, mais pas devant des gens ou quoi que ce soit d’autre. Dans l’esprit de « Peel Sessions », on y retrouve de nombreuses chansons favorites du LCD comme All My Friends, Us V. Them, I Can Change, et Daft Punk Is Playing At My House.
Après une poignée de singles dance-punk qui ont fait parler d’eux sur DFA Records, le producteur et cofondateur du label James Murphy a sorti le premier album complet éponyme sous la bannière LCD Soundsystem en 2005.
Deux ans après le premier album éponyme de LCD Soundsystem, qui a fait se ruer les indie-scenesters sur le dancefloor, le groupe dirigé par le producteur de dance-rock James Murphy sert un nouveau cocktail de punk, de dance et de funk avec Sound of Silver. Les synthés analogiques, les lignes de basse, les guitares et les excursions de falsetto de Murphy constituent une fois de plus la base à laquelle s’ajoutent des éléments nouveaux et étranges, comme les voix fortement chorales qui suggèrent un masquage à l’envers dans le morceau d’ouverture « Get Innocuous » et les harmoniques captivantes que la claviériste Nancy Whang fait rebondir sur les voix de Murphy sur « Someone Great ». Si cet album a sa propre version de « Daft Punk Is Playing at My House », c’est bien « North American Scum », une tempête contagieuse qui rejette l’Europe comme un endroit où « les bâtiments sont vieux et où il y a beaucoup de mimes ». De telles lignes sont la preuve que la musique de LCD préfère se ridiculiser elle-même plutôt que de tomber dans le genre de prétention et de nostalgie qu’elle ne cesse de dénoncer.