TRACKS: A1 The Mighty Diamonds: Jah Jah Bless The Dreadlocks A2 Jacob Miller: False Rasta A3 Horace Andy: Free Africa A4 Ken Boothe & Trinity: Fattie Bum Bum (Ain’t No Love) A5 The Ring Craft Posse: Cumberland A6 Wayne Jarrett: Mount Zion B1 Johnny Clarke: Don’t Know Who To Trust…
Bass : Robert Shakespear Drums : Sly Dunbar Lead Guitar : Earl « Chinna » Smith Rhythm Guitar : Willie Lindo, Boo Pe & Tony Chin Piano : Keith Sterling & Augustus Pablo Organ & Clarinet : Winston Wright Percussion : Sticky & Skully Horns : Tommy McCook
Sur l’album “1988” s’est entouré d’artistes venus d’univers très variés. Sur le titre « Monday », on retrouve ainsi le trio le plus en vue du moment L.E.J., en combinaison (pour le moins inédite) avec le pionnier du hip-hop hexagonal Akhenaton. On retrouve aussi une combinaison explosive avec le rappeur Biffty sur le morceau « Petit Boze ».
On retrouvera dans cet album le tube « Liquid Sunshine »,fruit de la collaboration avec Blundetto, qui a pu être entendu de nombreuses fois sur les ondes de Radio Nova.
Avec « 1988 », Biga Ranx propose un mélange de styles et d’influences toujours aussi unique et introspectif. Seul ou entouré d’invités prestigieux, le MC démontre encore une fois toute l’étendue de son talent et de sa créativité débordante.
BIO : The legendary Skatalites, alongside the later Studio One in-house bands – the Soul Vendors, Sound Dimension, Soul Defenders and Brentford Road All Stars – were as much a part of the classic Studio One sound as were the singers that they accompanied such as Alton Ellis, Horace Andy,…
BIO : More classic Reggae from Jamaica’s most important label ever! Following on from Studio One Rockers comes Studio One Soul which tracks the link between American Funk and Soul and Jamaican Reggae at the legendary Studio One Records. Curtis Mayfield,Aretha Franklin, Otis Redding, The Temptations, King Floyd, Booker T…
Paru originellement en 1997, le premier album de Finley Quaye trouva une résonance chez beaucoup.
Fusionnant dub, reggae, pop, trip-hop et rock indé, ce disque est unique en son genre. Cet album, devenu disque d’or en moins de 3 semaines et aujourd’hui multi-platine, inclut les tubes « Sunday Shinning » et « Even After All ».
BIO : (Record Store Day Exclusive) Legendary A&O 90’s album reissued in 2 volumes incl previously unreleased tracks!The vintage UK Dub sound: roots, spirituality and heavy basslines. Bass-music, play Loud! Incl « Jerusalem », « Stepping Up », « Promised Land », « Great Tribulations ».
En pleine forme a 71 ans, LA voix légendaire du dub jamaican revient avec un nouvel album ou il prend un grand plaisir à interpréter ses morceaux favoris des dernières décennies.. Une réussite !
A1. Jah Woosh – Woodpecker Sound A2. Machine Gun Hogg & Co. – Bed Bound Saga A3. Prince Far I & Creation Rebel – Quante Giubila A4. The Chicken Granny – Quit The Body A5. Alan Pellay – Parasitic Machine A6. London Underground – Dreams Are Better B1. Suns Of…
Le multi-instrumentiste et producteur Bruno « Patchworks » Hovart officie sur scène et en studio sous divers pseudos (Voilaaa, Mr President…) et dans divers groupes de rock, soul, funk, électro, musiques brésiliennes, jamaïcaines, africaines comme Da Break, The Dynamics, Uptown Funk Empire, Metropolitan Jazz Affair, João Selva …
Il publie aussi de beaux remixes sur Stix Records sous le nom de Taggy Matcher. Après le LP Singasong, il plonge à nouveau dans ses influences dub et reggae accompagné par plusieurs chanteuses et chanteurs.
Réédition par l’excellent label Staubgold : Pépite de dub analogique/expérimental avec des touches d’electronica réalisé par David Cunninghman, du groupe culte New Wave Flying LIzards.
Moins connu que King Tubby ou Lee Perry, Errol Brown qui a fait carrière avec le groupe HOT CHOCOLATE a également produit des disques de dub délicieux et bien roots sur TROJAN records dans les 70’s..
Réédition de « Silvertones » l’album du mythique groupe vocal/reggae roots produit par Lee Scratch Perry en 1973, avec leur fameux tube « I’ll Take you home ».
4eme volume des excellents compilations DISCO REGGAE ou l’on retrouve des covers improbables de tube discos en version dubs/reggae dénichées par le label STIX/Favorite.
Le Jamaïcain Monty Alexander est une icône du piano jazz, avec des incursions régulières dans le répertoire reggae de son île natale. Ces enregistrements jamais parus ont été captés live en Floride à Fort Lauderdale au Bubba’s Jazz Restaurant le 6 août 1982.
Cet album classique de Trojan est aujourd’hui réédité en vinyle. Sorti à l’origine en 1969, « This Is Desmond Dekkar » comprend l’énorme succès « 007 ».
Les Israélites sont venus chauds dans les talons du hit international de Desmond Dekker du même nom. Telle était l’étendue du succès mondial de Dekker, l’album était une licence pour les entreprises qui entourent le monde, voyant un problème sur une variété d’impressions différentes et avec une gamme diversifiée de conceptions de manches. Pourtant, malgré la popularité du LP, il n’est pas disponible depuis sa sortie originale, il y a près d’un demi-siècle. Enfin, les fans de Reggae peuvent à nouveau posséder une toute nouvelle copie de cet album extrêmement populaire et significatif. Cette reproduction fidèle du numéro britannique d’origine a été mâchée à partir de la meilleure source analogue disponible et est pressée sur le vinyle de haute qualité.
La fusion entre reggae, dub et R&B qu’a confectionné Liam Bailey sur son disque se verra transformer par les mains expertes d’El Michels Affair avec tout le professionnalisme que l’on connaît. C’est ainsi que sa patte est finement exprimée sur « Amazing Woman » mais aussi sur « Angel Face » et « No One Else » où les accents rétro sont une fois de plus mis en avant. Par allleurs, la voix onirique de Liam Bailey se voit chargée de delays pour plus de sensations auditives.
Fabriqué sous l’œil méticuleux du cerveau/producteur de reggae ceinture noire Victor Axelrod (AKA Ticklah), Nothing More to Say est un chef-d’œuvre rocksteady qui n’a pas resurgi depuis l’âge d’or de Studio One. Cependant, vous ne trouverez aucune imitation ici – aucun des clichés faux jamaïcains des groupes de reggae moins importants. Comme tout ce qui concerne Daptone, ce disque est avant tout émouvant et honnête. A l’exception de deux reprises soul (toutes deux issues du catalogue Daptone : « Gotta Find a Way » de Bob & Gene et « Gonna Make Time » de Saun et Starr), le disque est peuplé de compositions originales de tout premier ordre. Elles sont tout simplement géniales chansons, et bien que leur traitement ici soit magistral, chacun d’eux a la substance mélodique et lyrique pour tenir sa place dans n’importe quel genre. « Till Then » invoque les hyper-rimes coquettes de Smokey Robinson, tandis que « Hey Brother » sonne comme s’il était tombé du bureau de Gamble and Huff, et « Purple » défie toute comparaison. Des premières caisses claires craquantes de « All My Tears » aux derniers échos palpitants de « Dispute », les rythmes meurtriers de Rich Terrana ( batterie,) et les frères Preet et Chuck Patel (basse et piano, respectivement) peuvent être entendus sans pitié vers l’oubli alors que Dan Klein verse sa poésie attachante sur le dessus comme une potion de fausset d’un autre monde. La combinaison est un costume d’anniversaire sonore brut , envoûtant, contagieux et surtout charmant. Ce disque sera longtemps chéri par les amoureux du reggae, les amoureux de la soul et les amoureux de l’amour.
Aux armes et cætera est le quatorzième album studio de Serge Gainsbourg, sorti le 13 mars 1979 chez le label Philips. Produit par Philippe Lerichomme et enregistré en douze jours en janvier 1979 au Dynamic Sounds Studio, à Kingston (Jamaïque) avec certains des meilleurs musiciens de reggae de l’île ainsi que les membres des I Threes, choristes de Bob Marley, marque une étape importante dans la carrière du chanteur. À l’époque de l’enregistrement, Gainsbourg avait une vingtaine d’années de métier derrière lui, mais son impact commercial s’avère limité, malgré l’énorme succès public de Je t’aime… moi non plus, en duo avec sa compagne de l’époque, Jane Birkin.