Le nouvel album du guitariste et auteur-compositeur-interprète brésilien Rogê et le premier pour le nouveau label du producteur américain Thomas Brenneck (The Budos Band, Menahan Street Band). Un album réalisé de manière traditionnelle qui explore les thèmes de la nature, des racines indiennes et africaines du Brésil et de l’endurance en période de conflit.
Big Band Bossa Nova est un album de 1962 du saxophoniste Stan Getz avec le Gary McFarland Orchestra. L’album a été arrangé et dirigé par Gary McFarland et produit par Creed Taylor pour Verve Records. C’était le deuxième album de bossa nova de Getz pour Verve après Jazz Samba, sa collaboration très réussie avec le guitariste Charlie Byrd.
L’histoire de ce LP (initialement publié en coffret 10 », en 1975) commence juste pour soutenir ces séances d’initiation collectives. Chaque morceau est inspiré d’un élément I Ching (Montagne, Ciel, Terre, Eau, Lac, Vent) qui a représenté une source d’inspiration primaire pour Campadello. Le son onirique et occulte suggère non seulement l’atmosphère de cette expérience mais révèle encore les échos de la meilleure saison du rock brésilien et du Tropicalisme.
En huit titres exotiques, le combo Patchworks/Selva part à la source de la bossa-nova, la samba et autres musiques brésiliennes sur des réussites tropicales comme « Pessoas », « Felicidade » ou encore l’excellent et rythmé « Um Caroço ». L’ambiance chill est au rendez-vous et on ne peut pas s’en plaindre tant la voix suave du natif d’Ipanema caresse nos tympans et les morceaux comme « Se Foi », « Maria » ou encore le dernier morceau « Babado Forte » jouent avec nos sens naturellement.
Entre la production DIY reconnaissable entre mille de Patchworks et le savoir-faire de Joao Selva, ce Natureza est plus qu’un hommage à la musique brésilienne festive (les spectres de Jorge Ben et de Caetano Veloso) mais une extension de la tropicalia dont la flamme est ravivée. (source : les oreilles curieuses)
Le guitariste et chanteur brésilien Toquinho (de son vrai nom Antônio Pecci Filho) est né à Sao Paulo, au Brésil, dans les années 1940. Son premier single à succès majeur était « Que Maravilha », tel qu’il est présenté ici, qu’il a écrit avec Jorge Ben. Cet album contient également « Zana » et le très célèbre « Carolina Carol Bela », également écrit avec Ben. Toquinho a eu une carrière prolifique en publiant un grand nombre d’albums et en écrivant encore plus. Il a sorti de nombreux disques avec Vinicius De Moraes dans les années 70.
BIO : Less than a hundred miles inland from the capital city of Lima lies the great Peruvian jungle, an untamed land of impenetrable forests and endless winding rivers. In its isolated cities, cut off from the fashions of the capital, a unique style of music began to develop, inspired…
L’un des meilleurs albums de Ze à notre avis, sorti à l’origine par Continental Brazil en 1976 . « Estudando do Samba » (ou « Studying The Samba ») est une expérimentation en studio post-Tropicalia composée de couches de percussions hypnotiques, d’effets et d’échantillons qui déconstruisent la forme « samba ». Enregistré pendant ce qui était sans doute sa période la plus créative.
ÉDITION SPÉCIAL 25ÈME ANNIVERSAIRE LA RÉFÉRENCE ABSOLUE DE LA MUSIQUE CUBAINE disponible en DOUBLE-CD, DOUBLE-VINYLE (180 gr.) & BOX-SET collector. « Buena Vista Social Club » est à la fois le nom donné à ce groupe extraordinaire de musiciens et l’album, enregistré en sept jours seulement en 1996 dans les studios EGREM de La Havane, datant des années 1950.
Deux frères. Deux guitares. Deux identités distinctes qui deviennent pourtant une seule et même âme quand ils jouent leur musique. Alejandro et Estevan sont les Hermanos Gutiérrez, un groupe instrumental unique en son genre qui prend ses racines dans le Sud-Ouest Américain et les sonorités d’Amérique latine.
Deux frères. Deux guitares. Deux identités distinctes qui deviennent pourtant une seule et même âme quand ils jouent leur musique. Alejandro et Estevan sont les Hermanos Gutiérrez, un groupe instrumental unique en son genre qui prend ses racines dans le Sud-Ouest Américain et les sonorités d’Amérique latine.
Il est Argentin. Mais est tombé dans le chaudron des musiques guinéennes lors d’un voyage… au Mexique. Entre la France, l’Afrique ou le Japon, le chanteur compose des mantras aux consonances latino-mandingues. Qui dessinent les contours d’un monde enchanté.
Le nouveau Triple-Album vinyle de l’infatigable Musicien/Dj français. Sous la conduite de GUTS, Dakar devient l’épicentre créatif d’une rencontre exceptionnelle entre des musiciens “All Stars“ de Cuba, d’Afrique et de France : les ESTRELLAS.
Le talentueux musicien/producteur brésilien Leonardo Marques de retour avec un quatrième disque, faisant suite à l’excellent « Early Bird » paru en 2019 sur le label 180GR.
BIO : Vinyl LP pressing. 2018 release. Mr. Bongo brings another Brazilian rarity to the masses with this sublime reissue of Tim Maia’s Disco Club. Recorded in 1978, it’s a latter-period gem from the larger than life legend, combining the glitz and glamor of disco’s heyday with Maia’s raw funk…
Produit par l’inépuisable Shawn Lee, cette petite merveille est une rencontre musicale entre la musique brésilienne et un certain classicisme Pop Britannique !
Les chiens ne faisant pas des chats, Bebel Gilberto a hérité de la finesse et de la légèreté musicale de son père, João Gilberto. Elle réussit à intégrer son héritage Bossa dans le nouveau siècle en modernisant le genre tout en lui conservant sa grâce originelle.
Une salsa entraînante et exigeante avec une chanteuse cubaine à la voix singulière ! Okuté, un ensemble rassemblant les meilleurs rumberos de La Havane, ramène ces constellations sonores à la surface, les tissant en quelque chose qui lui est intuitivement propre.
A la fin des années 90, Santana est toujours un monument de la musique mais cela fait bien des années qu’il n’a pas eu un tube… Le fameux Clive Davis, à la tête d’Arista lui propose de tenter un come back sur le devant de la scène avec cet album truffé de collaboration prestigieuses: Lauryn Hill, Dave Matthews, Cee-Lo, Eagle-Eye Cherry, Eric Clapton….
Après avoir collaboré sur Calypso Madame, Tom Stakhanov et MaAuLa Records ont de nouveau travaillé sur une compilation de titres chantés par des femmes. Tom voyageant très souvent en Colombie, y habitant même en ce moment pour une durée indéterminée, sa collection de vinyles de cumbia est impressionnante. Le label et lui ont sélectionné 14 titres datant de 1963 à 1983, retraçant le rôle, que l’on oublie souvent mais pourtant crucial, des femmes dans le genre musical sud américain qu’est la cumbia.
En 2010, Samy Ben Redjeb du label Analog Africa a demandé à Eamon Ore-Giron – alias DJ Lengua – s’il serait intéressé pour compiler un projet Latin. Ce dernier a proposé de l’articuler autour de la rebajada. « Rebajada” en espagnol signifie « réduire, abaisser ». Il s’agit essentiellement de sonideros mexicains (opérateurs de sound systems) qui ralentissent le rythme d’une cumbia pour créer une musique beaucoup plus efficace pour danser. La musique ralentie vous donne le temps de bien l’écouter, se révélant d’une manière rarement expérimentée auparavant, comme une expérience quasi psychédélique.