Wewantsounds poursuit sa série de rééditions Akiko Yano avec l‘album culte Ai Ga Nakucha Ne enregistré en 1982 et coproduit par Ryuichi Sakamoto. L’album a été enregistré à Londres avec le groupe Japan et à Tokyo avec Yellow Magic Orchestra et a été mixé par Steve Nye et Shinichi Tanaka. Ai Ga Nakucha Ne(« Cela doit être l’amour » en japonais) est le sixième album studio d’Akiko Yano.
Projet du musicien compositeur libanais Radwan Ghazi Moumneh et du réalisteur Erin Weisgerber, JERUSALEMN IN MY HEART mélange expérimentations musicales et performances vidéos depuis 2005.
Pour cet album sur le label Constellation ils invitent de prestigieux invités internationaux issus des scènes indie/experimental/electronica pour des créations sonores hors formats mélangeants expérimentations, drones et chants en arabe.
Sur ce nouvel album des infatigables MERIDIAN BROTHERS paru le 17 septembre 2021, Eblis Alvarez s’est associé au Conjunto Media Luna.
Ensemble, ils se sont fixés une mission : rechercher l’essence même de la musique colombienne des Caraïbes par le biais de sa forme d’expression la plus traditionnelle : accordéon, guacharaca, caja, congas, basse électrique et voix.
Découverte tardivement à l’occasion de la parution quasi-simultanée de trois de ses disques chez Piano Piano records, la musique de Sven Wunder est juste magnifique.
Sa musique instrumentale est un incroyable mélange de culture orientale, indienne, japonaise, de psychédélique, d’hippie, de jazz, de funk, de library music, d’une BO de film, de groove, pour au final ressembler à un disque oublié ou inconnu sorti dans les années 70!
Découverte tardivement à l’occasion de la parution simultanée de trois de ses disques chez Piano Piano records, la musique de Sven Wunder est juste magnifique. Impossible de résister au talent de l’artiste multi instrumentiste, avec en avant les sonorités du saz turc.
Sa musique instrumentale est un incroyable mélange de culture orientale, indienne, japonaise, de psychédélique, d’hippie, de jazz, de funk, de library music, d’une BO de film, de groove, pour au final ressembler à un disque oublié ou inconnu sorti dans les années 70!
JOAO SELVA revient avec un deuxième album, véritable hymne à la créolité et au tropicalisme, porté par des sonorités funk, jazz ou encore disco. Un carnet de voyages exubérant où l’on retrouve la pétillante Flavia Coelho et le talentueux producteur multi instrumentiste Patchworks (Voilaaa, The Dynamics, David Walters, Mr President, Taggy Matcher).
Ce premier volume regroupe une sélection de remixes du label COMET RECORDS. Entre Electro & Afrobeat avec notamment Tony Allen , Chateau Flight, Cinematic Orchestra, Doctor L etc..
Dans son nouvel opus Jdid (nouveau, neuf en arabe), qui paraît le 18 octobre 2019, le groupe amplifie le dialogue entre les rives Nord, Sud & Est de la Méditerranée (la rive Nord s’étendant, dans le cas présent, aux berges de la Tamise, de la Spree et de l’Hudson…).
Acid Arab y emmène son vocabulaire dancefloor en voyage, avec la participation d’invités triés sur le volet.
Musique de France est le premier album du groupe français de musique electro-musique du monde Acid Arab paru le 14 octobre 2016 sur le label indépendant belge Crammed Discs.
Un superbe album d’Akiko Yano et l’un de ses plus funky, mettant en avant ses incontournables talents de chanteuse et d’auteur-compositeur. Enregistré à Tokyo et à New York, l’album présente une superbe sélection des meilleurs musiciens des deux villes, dont Haruomi Hosono, Shigeru Suzuki, Tatsuo Hayashi, Rick Marotta et Will Lee. Il voit Yano mélanger de la pop japonaise avec du funk et une touche d’électronique, jouant un large éventail de claviers programmés par le magicien du synthé YMO Hideki Matsutake.
« Le combo turco-néerlandais renoue avec son cocktail sophistiqué et jubilatoire de chansons turques traditionnelles, de folk rock psychédélique et de groove sur l’album Gece.»
ALBUM NOMINÉ AUX GRAMMY 2019 – BEST WORLD MUSIC ALBUM
Altin Gün revient avec un sublime troisième album qui élargit son exploration du rock anatolien et du psyché turque avec des excursions synth-pop 80s rêveuses.
Le groupe d’Amsterdam s’est bâtit une solide réputation pour son habileté à mélanger passé et présent pour concevoir un son pop psychédélique des plus brillants.
Yol (« Route »), son troisième album dévoile une nouvelle palette sonore riche en surprises.
Popularisé notamment par sa chanson Tuyo utilisée au générique de la série Narcos, le brésilien unique et inclassable Rodrigo Amarante a choisi de prendre son temps pour peaufiner son second disque en solo, l’irradiant Drama qui vient confirmer tout le bien que l’on avait pensé de Cavalo en 2014.
L’album enregistré en 1996, Buena Vista Social Club, rencontre un tel succès que le groupe se produit sur scène au Théâtre royal Carré à Amsterdam en 1998, suivi de plusieurs concerts au Carnegie Hall de New York. Le cinéaste Wim Wenders réalise Buena Vista Social Club, un documentaire sur le groupe, en ajoutant les interviews, effectuées à La Havane, des différents musiciens.
Inclassable et atypique mélange de sonorités rock, chanson et world, « Glück Auf ! » est le chapitre 2 de la collaboration entre Rodolphe Burger et Érik Marchand, qui fait suite au projet « Before Bach » (2004)
Né en 1944 sur l’île de la Martinique, Max Cilla a œuvré toute sa vie pour que la flûte en bambou, jouée par ses ancêtres dans les champs, sorte de l’oubli relatif dans lequel elle était tombée au début du XXe siècle. Il est monté dans ses collines côtières natales pour les fabriquer selon les règles traditionnelles en vigueur en Inde. À partir d’un simple morceau de bois brut, il a fabriqué un instrument noble d’une grande importance historique qui a montré la voie à une jeune génération en quête d’identité. « C’est moi qui ai inventé le nom de la flûte des collines côtières », affirme le grand mystique. Fasciné par la musique cubaine et les rythmes latins, il compose et interprète ses propres chansons accompagnées des percussions traditionnelles de l’île. Il a enregistré et publié La Flute des Mornes Vol.1 en 1981. Max Cilla a joué avec Archie Shepp à Paris, a enregistré sur l’album Angola 74 de Bonga, a partagé la scène avec Tito Puente et Machito et continue à jouer aujourd’hui.
Zulu Rock est le troisième album de la chanteuse française Lizzy Mercier Descloux, sorti sur ZE Records en 1984 et enregistré au Satbel Studio, Johannesburg, Afrique du Sud. Son son s’inspire de la musique folk africaine mélangée à la pop française des années 80. Une version alternative de l’album s’intitulait « But Where Have The Gazelles Gone? »; un single en 1984).
Suite des fables acoustiques d’une méditerranée médiévale et imaginaire où Orient et Occident partageaient leurs sciences, leurs arts et leurs poésies. Sur son nouvel album, il a de nouveau sollicité son ami Malik Ziad, virtuose du oud et de la mandole, grand spécialiste des musiques gnawas, ainsi que son frère Karim, maître des percussions. Sans oublier, Luc Suarez, guitariste de son premier groupe, fidèle compagnon de route et orfèvre des arrangements du quatuor à cordes et la participation amicale de Ben Harper sur un très beau titre (en écoute sur cette page)
Enregistré à Beyrouth en 1983-84, l’album combine la voix superbe de la Diva aux orchestrations jazzy et funk de Ziad Rahbani, faisant de Maarifti Feek l’un des albums les plus demandés sur la scène funk arabe.
Enregistrée à Athènes dans le studio EMI en même temps qu’Abu Ali, les deux longs titres qui la composent sont en mode funk et disco faisant de cet album un vinyle très recherché des DJ et des diggers du monde entier.
Gentleman (1973) est le dernier des albums de transition de Fela du début des années 1970. Il a été suivi par Alagbon Close (1974), sur lequel il a réuni tous les ingrédients caractéristiques de l’afrobeat. Le titre de l’album peut être interprété littéralement ou comme une métaphore sur un sujet plus large.
En 1972, lorsque Music of Fela : Roforofo Fight est sorti (sur deux albums vinyles, Music of Fela Volume One et Volume Two), Fela était devenu l’un des musiciens les plus suivis d’Afrique de l’Ouest. Son public se compose des citadins pauvres de la région, des « sufferheads » vivant dans les bidonvilles autour des grandes villes, ainsi que d’un nombre croissant d’étudiants et de dissidents politiques. Fela défendait et chantait les problèmes des personnes opprimées et exploitées et dénonçait les élites dirigeantes qui les dominaient, avec leur corruption apparemment endémique et leur recours facile à la violence pour écraser la dissidence. Parce qu’il chantait généralement en anglais plutôt qu’en Yoruba et qu’il adoptait un point de vue de plus en plus panafricaniste, son message a trouvé un écho dans toute l’Afrique anglophone.