Une invitation aux musiques multiculturelles réunies autour des îles des Caraïbes. D’Haïti aux Bahamas en passant par les Antilles françaises ce voyage explore les rythmes traditionnels de Soca, Calypso ou Biguine. Des musiciens comme Gordon Henderson, Max Cilla ou le groupe Skah Shah ont su utiliser les influences Soul, Funk et Disco pour créer un groove unique aux multiples visages.
Petit pays, je t’aime beaucoup” : la musique et la voix de Cesária Évora incarnent l’atmosphère et l’histoire du Cap Vert, mais aussi celle d’un genre musical dont elle a été l’ambassadrice : la morna.
Mdou Moctar et son groupe présentent les EP ‘Niger’, une compilation en deux volumes de titres enregistrés au Niger : un retour aux sources pour le quatuor dont les débuts se sont faits sur des cassettes et mixtapes enregistrées ça et là dans les longs trajets en bus qui sillonnent le pays. Au programmee, démos et versions live et alternatives de morceaux tirés de leur discographie.
Mdou Moctar et son groupe présentent les EP ‘Niger’, une compilation en deux volumes de titres enregistrés au Niger : un retour aux sources pour le quatuor dont les débuts se sont faits sur des cassettes et mixtapes enregistrées ça et là dans les longs trajets en bus qui sillonnent le pays. Au programme, démos et versions live et alternatives de morceaux tirés de leur discographie.
Version vinyle de Aşk, le cinquième album d’Altin Gün en cinq ans. Le disque, un retour au son folk-rock anatolien des années 70, dégage une énergie contagieuse digne des concerts du groupe et met en valeur leur palette sonore, faite de groove pop psychédélique turc, de disco sci-fi et d’acid folk rêveur.
Après la superbe compilation de Doing It In Lagos : Boogie, Pop & Disco in 1980s Nigeria en 2016, Soundway Records présente la première et unique réédition sous licence officielle du très convoité premier album de Steve Monite, avec le single ‘Only You’ que l’on ne présente plus et qui a été repris par Frank Ocean,Theophilus London ou encore Tame Impala.
Le nouvel album du guitariste et auteur-compositeur-interprète brésilien Rogê et le premier pour le nouveau label du producteur américain Thomas Brenneck (The Budos Band, Menahan Street Band). Un album réalisé de manière traditionnelle qui explore les thèmes de la nature, des racines indiennes et africaines du Brésil et de l’endurance en période de conflit.
BIO : Moroccan Jajouka master Bachir Attar meets American experimental musician Elliot Shrap for a live jam of drum machines and traditional Moroccan instruments in 1990. Bachir Attar’s Career spans five decades and represents the transcendental sounds of Jajouka, a small Moroccan village situated between Fes and Tangier, known for…
Enregistré en 2008 dans son home studio à Benghazi en Libye, Ahmed Ben Ali s’est librement inspiré d’un poème libyen d’AbdelKader Bouhedma pour produire le titre “Subhana”. Une instru reggae incroyable agrémentée de notes et de chants orientaux pour un résultat surprenant — si ce titre vous laisse de marbre, veuillez consulter immédiatement votre médecin.
Big Band Bossa Nova est un album de 1962 du saxophoniste Stan Getz avec le Gary McFarland Orchestra. L’album a été arrangé et dirigé par Gary McFarland et produit par Creed Taylor pour Verve Records. C’était le deuxième album de bossa nova de Getz pour Verve après Jazz Samba, sa collaboration très réussie avec le guitariste Charlie Byrd.
“Mawood” est l’un des classiques de Hafez, composé par le légendaire Baligh Hamdi. Né en Basse-Égypte en 1929, Abdel Halim Hafez a connu une carrière stratosphérique seulement écourtée par sa disparition en 1977 à l’âge de 48 ans. Il fut l’un des géants de la musique égyptienne et sa popularité n’a cessé de croître depuis sa mort. Aux côtés d’Oum Kalthoum, Warda, Farid el Atrache et Mohammed Abdel Wahab, Hafez a révolutionné la musique égyptienne.
Réédition très soignée par le label Souma Records de cet enregistrement de Oum Kalsoum en 1970. Pochette sublime, livret détaillé et qualité sonore au rendez-vous.
After the success of the track SHIDAA, taken from the last album of K.O.G (Kweku of Ghana) – Zone 6 Agege, the DJ and producer Captain Planet decides to rework it in his own way! Between dancehall rhythm and avant-garde electronics, the song of K.O.G is going wild with bonus reverb and echo effects in between ! The atmospheric notes of the keyboard of Captain Planet are combined to let us enter his afro-futurist universe. Efficient, dancing, energetic, this remix will make us shake all summer long, perfect to go from warm-up to a compact dancefloor!
L’histoire de ce LP (initialement publié en coffret 10 », en 1975) commence juste pour soutenir ces séances d’initiation collectives. Chaque morceau est inspiré d’un élément I Ching (Montagne, Ciel, Terre, Eau, Lac, Vent) qui a représenté une source d’inspiration primaire pour Campadello. Le son onirique et occulte suggère non seulement l’atmosphère de cette expérience mais révèle encore les échos de la meilleure saison du rock brésilien et du Tropicalisme.
En huit titres exotiques, le combo Patchworks/Selva part à la source de la bossa-nova, la samba et autres musiques brésiliennes sur des réussites tropicales comme « Pessoas », « Felicidade » ou encore l’excellent et rythmé « Um Caroço ». L’ambiance chill est au rendez-vous et on ne peut pas s’en plaindre tant la voix suave du natif d’Ipanema caresse nos tympans et les morceaux comme « Se Foi », « Maria » ou encore le dernier morceau « Babado Forte » jouent avec nos sens naturellement.
Entre la production DIY reconnaissable entre mille de Patchworks et le savoir-faire de Joao Selva, ce Natureza est plus qu’un hommage à la musique brésilienne festive (les spectres de Jorge Ben et de Caetano Veloso) mais une extension de la tropicalia dont la flamme est ravivée. (source : les oreilles curieuses)
En retraçant une petite décennie dans la vie mouvementée d’Ebo Taylor, Life Stories explore la fusion des sons ghanéens traditionnels, de l’afrobeat de Fela Kuti, du jazz, de la soul et du funk. Un grand chaudron qui groove, délie les jambes et déride les visages fermés d’occidentaux. C’est rempli de cuivres, plein de bonnes vibes… Impossible de résister aux 15 minutes Aba Yaa et à cette référence majeure, même si pas la plus célèbre, de l’histoire du beat afro…
Le guitariste et chanteur brésilien Toquinho (de son vrai nom Antônio Pecci Filho) est né à Sao Paulo, au Brésil, dans les années 1940. Son premier single à succès majeur était « Que Maravilha », tel qu’il est présenté ici, qu’il a écrit avec Jorge Ben. Cet album contient également « Zana » et le très célèbre « Carolina Carol Bela », également écrit avec Ben. Toquinho a eu une carrière prolifique en publiant un grand nombre d’albums et en écrivant encore plus. Il a sorti de nombreux disques avec Vinicius De Moraes dans les années 70.
Cette compilation rassemble une poignée de ces enregistrements qui combinent des éléments de musique populaire régionale, Gambus islamique, Gamelan et Kroncong javanais et balinais, avec du jazz, de la musique et de l’instrumentation afro-latine, et des harmonies vocales influencées par le doo-wop américain interdit et le rock & roll. Les résultats sont un mélange unique de styles qui sont restés pour la plupart isolés du monde extérieur à l’Indonésie jusqu’à ce qu’une récente résurgence mondiale de l’intérêt pour la musique enregistrée de toutes formes ait jeté un nouvel éclairage sur ces enregistrements presque oubliés.
BIO : Less than a hundred miles inland from the capital city of Lima lies the great Peruvian jungle, an untamed land of impenetrable forests and endless winding rivers. In its isolated cities, cut off from the fashions of the capital, a unique style of music began to develop, inspired…
L’un des meilleurs albums de Ze à notre avis, sorti à l’origine par Continental Brazil en 1976 . « Estudando do Samba » (ou « Studying The Samba ») est une expérimentation en studio post-Tropicalia composée de couches de percussions hypnotiques, d’effets et d’échantillons qui déconstruisent la forme « samba ». Enregistré pendant ce qui était sans doute sa période la plus créative.
Dès la première écoute de Blue Camel, on entre instantanément dans les méandres d’un swing tranquille et coloré. Aux côtés du compositeur libanais Rabih Abou Khalil, virtuose du oud (luth arabe), se rencontrent le saxophoniste Charlie Mariano, le trompettiste Kenny Wheeler, le bassiste Steve Swallow et les percussionnistes Milton Cardona, Nabil Khaiat et Ramesh Shotham. Autant d’excellents musiciens qui nous font visiter, à travers une osmose sensuelle et profonde, des rythmes purement jazz à des escapades orientales envoûtantes. Transe sereine, recherche acoustique brillante, rencontre charismatique de musiciens d’horizons différents, Blue Camel est un album indispensable du jazz fusion et de la world actuelle. –David Loupias