Version vinyle de For Peace And Liberty – In Paris, Dec 1972, première sortie du Black Artist Group, quintet de jazz formé à la fin des 60s à Saint-Louis, depuis 1973. Enregistré en 1972 à Paris, l’enregistrement voit le groupe donner une performance incandescente de 35 minutes mêlant free jazz, soundscapes éthérés et grooves funk.
Sorti en partenariat avec le groupe et l’INA, l’album comprend un son remasterisé à partir des bandes originales, un livret de 20 pages incluant des textes du groupe, des notes de pochette de Benjamin Looker, expert du Black Artist Group et des photos inédites du photographe culte Philippe Gras.
Neu ! a été enregistré en quatre jours à Hambourg en 1972 avec le producteur Conrad Plank, et ses harmonies statiques et agressives ainsi que son son presque (mais pas tout à fait) robotique ont une résonance qui résonne encore aujourd’hui.
Réédition de l’album légendaire de Janko Nilovic, samplé par Dr Dre, Pop Smoke … et bien d’autres !
Cet album enregistré en 1972 avec une quarantaine de musiciens constituant la crème des orchestres de studio de l’époque, reste une pièce maîtresse de l’œuvre du compositeur.
Réédition de l’unique album des Impressions sur lequel on trouve au chant Leroy Hutson, suite au départ de Curtis Mayfield. Très demandé, cet album est repressé dans son gatefold originel.
Cette réédition exclusive vous permet de redécouvrir ‘People & Love’ dans toute sa splendeur, capturant l’essence même du talent artistique de Johnny Lytle. Pour les amateurs de vinyle et les passionnés de jazz, cette collection Jazz Dispensary est une véritable invitation à explorer l’œuvre d’un maître du vibraphone.
La réédition du premier album de l’actrice japonaise culte Meiko Kaji sorti pour le label Teichiku en 1972.
Un superbe mélange de kayokyoku (pop japonaise), de musique traditionnelle Enka, de rock psyché et de groove cinématographique. Produit par deux producteurs chevronnés de Teichiku, Yorifumi Ito et Kenji Nakajima. Pochette originale gatefold et OBI, audio remasterisé et un livret 2 pages avec des notes de pochette de Hashim Kotaro Bharoocha.
BIO : Paris, le 13 mai 1968. C’est la grève générale. Un dernier avion quitte précipitamment le tarmac jonché de bidons en flammes. A bord, trois musiciens de jazz se demandent s’ils pourront rentrer chez eux un jour. Mais pour l’heure ils ont surtout hâte d’arriver à Madagascar où les…
BIO : Mai 1972, la vague de colère et de soif de liberté qui a secoué le monde entier en 1968 connaît une réplique à Madagascar. La jeunesse malgache en profite pour s’exiler en quête de meilleures perspectives d’avenir. Plusieurs d’entre eux, tous musiciens de jazz souvent poly-instrumentistes, traînent leur…
Tantôt audacieux, tantôt psychédélique, parfois cinématographique et souvent doux, Nancy & Lee Again révèle à chaque morceau une alchimie naturelle et intemporelle entre deux artistes qui resteront influents pour des générations à venir.
Cette édition du 50e anniversaire contient l’album original et une sélection nouvellement créée d’extraits des bandes originales de la session. Comprend un livret de huit pages contenant des photos rares, des souvenirs et un essai contenant des interviews de ceux qui étaient là à l’époque.
Un effort remarquable qui se révèle de plus en plus à chaque écoute, cet enregistrement a résisté à l’épreuve du temps et fait incontestablement partie des trois meilleurs enregistrements de la longue et riche carrière de Keith Jarrett.
En 1972, Frank Zappa expérimente le concept d’Electric Orchestra’, qui donne lieu aux albums Waka/Jawaka et The Grand Wazoo. Afin de célébrer le 50e anniversaire de cette expérience, retrouvez ces opus édités en format vinyle simple.
Bien connus des diggers The Whatnauts ont émergé de Baltimore à la fin des années 1960 avant d’enregistrer une poignée d’albums furieusement soul-funk.
Whatnauts On The Rocks, leur troisième LP paru sur Stang Records en 1972, contient l’archi-samplé “Why Can’t People Be Colors Too?”, aux côtés des irrépressibles “Only People can Save The World” et “I’m So Glad I’ve Found You”, featuring Linda Jones. A l’initiative du label Playoff Records, Whatnauts On The Rocks sera réédité en vinyle simple remasterisé le 18 novembre, agrémenté d’un morceau bonus : “Help Is On the Way” , un titre de 1981 samplé par De La Soul.
Partisan Records rééditera le premier album de Cymande, remasterisé aux studios Abbey Road et disponible pour la première fois sur un vinyle orange translucide.
Réédition coffret vinyle 50eme anniversaire : Un « classique parmi les classiques » et, pour Neil Young, le disque de tous les records. En 1972, encore à l’orée d’une (très longue) carrière solo entamée deux ans plus tôt, le loup solitaire de Toronto ne se doute pas qu’en signant ce « Harvest » de légende, il va définitivement entrer dans les grandes pages de l’histoire du rock.
Réédition par le label Wewantsounds de l’album éponyme sorti en 1972 sur All Platinum Record, cette pépite funky emmenée par le chanteur et guitariste Michael Watson est une véritable rareté entourée de mystère. Réédité dans sa pochette originale et remasterisé par Colorsound Studio, l’album comprend un encart de 2 pages avec de nouvelles notes de pochette du journaliste anglais Charles Waring.
Buddy Guy & Junior Wells play the blues est pourtant une des plus belles réussites du genre et vous fera goûter au blues de la Nouvelle-Orléans, de Géorgie, de Chicago, … Malheureusement pas très connu, l’album bénéficie également des apparitions de Dr. John, Eric Clapton et de quelques musiciens du J. Geils Band.
Force monumentale de la soul, Willie Hutch est surtout connu pour avoir enregistré deux des meilleures bandes originales de Blaxploitation, The Mack et Foxy Brown. Souvent négligé, son deuxième album Season For Love (1970) est un incontournable pour tous les fans de deep soul et est recherché par les collectionneurs de différents horizons depuis des décennies. A
BIO : Blacula is a 1972 American blaxploitation horror film directed by William Crain. The movie stars William Marshall in the title role about an 18th-century African prince named Mamuwalde, who is turned into a vampire (and later locked in a coffin) by Count Dracula in the Count’s castle in…
Avec Hunky Dory, l’ancien David Jones désormais David Bowie assume totalement ses ambitions bigarrées, et met surtout l’accent sur la complexité et la pluralité de son style : look androgyne, attitudes scandaleuses, arrangements complexes, pratique intense de la métaphore et vénération pour les grandes icônes de la marge (Bob Dylan et Andy Warhol sont clairement cités). Musicalement, la richesse est déjà optimale avec d’incroyables mélodies, un feu d’artifice de guitares signé Mick Ronson (Queen Bitch), une omniprésence du piano (Oh! You Pretty Things, Life On Mars?) et des cordes léchées (Quicksand). Moins métallique que le précédent album The Man Who Sold The World, Hunky Dory ose l’atmosphère cabaret décadente, le folk baroque et la pop sophistiquée. Le plus beau kaléidoscope de son auteur ?
Dorian Gray en devenir, mutant en herbe à la recherche de lui-même, David Bowie en 1969 est avant tout un folkeux transcendant guidé par ses maîtres Bob Dylan, Nick Drake et Syd Barrett. Inspiré par Kubrick et son odyssée spéciale, le caméléon se glisse dans sa première peau, celle d’un cosmonaute bouclé battant douze cordes et la chamade, tel un envoyé spatial. Le producteur Tony Visconti est déjà de la partie et ordonne cet album de folk-rock acide avec tact et générosité (« Letter To Hermione », « An Occasional Dream ») tout en sachant pertinemment bien que l’implacable est à venir.
The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars, souvent abrégé en Ziggy Stardust, est le cinquième album studio de l’auteur-compositeur-interprète britannique David Bowie. Il est généralement considéré comme son chef-d’œuvre.
Il s’agit d’un concept album à la trame assez vague. Bowie y incarne Ziggy Stardust, rock-star androgyne extraterrestre envoyée sur Terre avant une apocalypse imminente. Après un succès fulgurant au sein de son groupe les Spiders from Mars, Ziggy tombe en disgrâce, dévoré par son ego. De grandes thématiques qui domineront l’œuvre de Bowie s’y concrétisent : l’espace et les créatures extra-terrestres comme métaphores des sommets et de la solitude de la « staritude », l’androgynie, la dissociation de la personnalité, etc.
Enregistré en 1972, ce jazz–rock presque agressif est une énorme influence dans le catalogue KPM. Suite de thèmes, montages, séquences… on est dans un film …