Artiste multi-talents repoussant constamment les frontières du jazz, Avishai Cohen vient de publier « 1970 » chez Sony.
Produit par Jay Newland (Norah Jones, Gregory Porter, Ayo, Melody Gardot…), cet album voit Avishai chanter tout au long de l’album (en anglais et en hébreu) en plus de jouer du piano et de ses instruments de prédilection, contrebasse et basse électrique.
Nouvel E.P. particulièrement réussi de l’australien, sur les pas de son premier album Honey Bones, Dope Lemon nous offre de nouveaux morceaux ensoleillés & groov. Si vous aimez Beck, Metronomy, Eels.
A peine une année après le très acclamé Into the Silence, premier album pour ECM, le trompettiste Avishai Cohen propose avec Cross My Palm With Silver un programme de nouvelles compositions qui met en avant un quartet de haute-volée.
À l’occasion du centenaire de la naissance du génial pianiste et compositeur Thelonious Monk, cet album du pianiste français lui est entièrement dédié.
Le tout premier album « A peu près » de la chanteuse Pomme en version vinyle. Par la suite énorme succès de son deuxième album « Les Failles » cachées salué par la critique et célébré par l’obtention d’une victoire de la musique.
Prmier album produit par Jeff Bhasker et co-écrit par Harry Styles, avec Alex Salibian, Tyler Johnson et Kid Harpoon sur la production additionnelle du titre.
Baptiste Trotignon et Yosvany Terry présentent « Ancestral Memories ». Née du partage des cultures de ces deux musiciens, cette création inédite propose une musique irriguée des traditions musicales des deux artistes. Un jazz du XXIème siècle qui combine rythme et énergie, tradition et modernité.
Prévu pour paraître à l occasion de son 60e anniversaire, ‘Blue Maqams’ apparaît par bien des aspects comme le disque des célébrations pour Anouar Brahem. Enregistré aux studios Avatar de New York en mai 2017 sous la direction artistique de Manfred Eicher, il présente le grand maître tunisien de l oud associé à trois brillants improvisateurs : les ‘Maqams’ qu évoquent le titre de l album se réfèrent au système modal de la musique arabe traditionnelle une sorte d équivalent aux ‘genres de bleu’ (kind of blue) qu affectionnent les musiciens de jazz.
La musique de Malik Djoudi, c’est un peu une couverture chaude et confortable qui nous envelopperait. Les boucles éléctro qui n’en finissent pas, les beats simples et groove, et les nappes de réverb, le tout produit un effet quelque peu hypnotique sur le corps. La voix elle, prend sans cesse de la hauteur, et renforce l’état de léthargie dans lequel l’artiste nous plonge.
Jeune prodige élevé en quelques années au rang de fer de lance de la scène française, le premier album de FKJ – French Kiwi Juice – est un concentré d’énergies positives, entre imparables lignes de basses funky et rythmiques électroniques endiablées. Tantôt atmosphérique, tantôt sensuel, usant de sa propre voix ou de sample, de synthés ou d’instruments acoustiques, c’est un panel de grooves d’une richesse rare !
SORTIE INITIALEMENT PREVUE LE 25.03.22, REPOUSSEE AU 01.04.22
Réédition du premier album de Bédouine, merveille folk paru initialement en 2017 sur l’excellent label de Matthew E. White Spacebomb records. Très beau disque rapidement épuisé à sa sortie. Une pépite folk acoustique évoquant à la fois Joni Mitchell, Karen Dalton ou Natalie Prass également signée sur Spacebomb.
Avec son premier album solo Ya Nass (2013), Yasmine Hamdan exposait sa vision personnelle et moderne de la pop en langue arabe. Dans Al Jamilat (“les magnifiques”, au féminin), elle poursuit son exploration musicale, et interroge au passage le monde arabe et les mutations qui y sont à l’œuvre.
Version entièrement retravaillée, revue et remixée de l’album « Yes Lawd » de NXWORRIES par Anderson Paak. et KNXWLEDGE, créateurs du projet. Super cool smooth West-coast contemporary Hip-hop.
Harmony of Difference est un EP du saxophoniste de jazz Kamasi Washington sorti en 2017 sur le label Young Turks. Il s’agit d’un album-concept, une suite en 6 mouvements, créée dans le cadre de la biennale du Whitney Museum of American Art 2017, aux côtés d’une vidéo du cinéaste espagnol A.G. Rojas et de peintures signées Amani Washington, la sœur du saxophoniste2.
L’un de ces trésors cachés que l’on adore : très bel album pop folk sorti en 2017, à classer pas trop loin de Tunng, Sufjan Stevens ou Bill Calahan . Pas vraiment le groupe le plus en vue du Royaume-Uni, Colorama est virtuellement inconnu de ce côté-ci de la Manche. Fondé par Carwyn Ellis, musicien de studio, producteur et compagnon de route d’Edwyn Collins, des Pretenders et de Saint Etienne notamment.
Some Things Just Take Time rassemble des chansons pop délicates écrites et produites au cours des dix dernières années. Et, pour qui aime le songwriting classique, les mélodies subtiles, les arrangements élégants, c’est un bonheur rare.
Le quatuor français A shape a sorti son premier album Inlands via Jelodanti Records/Atypeek Music. A Shape réunit le guitariste Eric Pasquiet, la chanteuse Sasha Andrès (Heliogabale), le bassiste Mathieu Le Gouge, ainsi que le batteur Tanguy Delaire, et leur nouvel album a été enregistré en 2016 par l’ingénieur du son Johannes Buff et mixé par Lee Ranaldo de Sonic Youth. Jouant un style post-punk maussade qui pourrait rappeler un groupe de noise rock des années 80 comme celui de Ranaldo, A Shape donne sa propre tournure idiosyncratique au genre à travers une évaluation passionnée de sa méthodologie…
Une voix, un piano, des textes: voilà l’équation de celle qui s’impose aujourd’hui comme la ‘Petite Amie’ la plus trendy de la chanson française: Juliette Armanet.
Auteur-compositeur-interprète, la musicienne s’inscrit dans l’héritage de la « variété chic ». Ses refrains entêtants, ses paroles fines et ciselées, font d’elle la digne fille des grands de la chanson, de Sheller à Christophe, de Sanson à Tellier.
Le multi-instrumentiste parisien, ici auteur, producteur, musicien et interprète de son propre ouvrage, s’engage avec conviction dans ce projet d’album qui convie passionnément son goût immodéré pour les années 60. Et si « Tambourine » est d’abord un album de passionné où le plaisir de jouer et de composer se ressent sur chaque piste, sans d’autres enjeux d’ailleurs, on y retrouve surtout cette inestimable saveur d’antan, ce goût délicieux du revival pop et soul, qui semble décidément bien mieux tenir les années que les succès des années 2000.
Le morceau principal ‘Kerala’ a été le premier morceau que Green a enregistré pour le nouveau disque, en en créant une version approximative dans le bus de tournée tout en mixant à travers les États-Unis en 2014. C’est à la fois un morceau classique de la musique Bonobo et un développement, tous arpégés, cordes torsadées et superposées et rythme dancefloor chaotique. La musique se construit progressivement jusqu’à son introduction d’un échantillon du chanteur RnB Brandy, lui-même découpé et traité comme une texture supplémentaire, le tout assis dans un doux point d’euphorie édifiante qu’il est si habile à trouver.
Les joyaux classiques de la discographie de Carl Craig repensés dans des versions classiques révolutionnaires. Versus – le nouveau long player tant attendu du producteur techno de Detroit.
Si l’album est une nouvelle fois expérimental, les morceaux sont eux un peu plus mélodieux que ceux qu’on connaissait du groupe mais rappellent ce que THE FLAMING LIPS a fait de mieux dans The Soft Bulletin ou Yoshimi Battles The Pink Robots.