Ana Frango Elétrico est la voix la plus effervescente et la plus innovante de la nouvelle vague brésilienne. Avec déjà deux albums acclamés par la critique et une série de productions primées à leur actif, Ana présentera le 20 octobre son travail le plus confiant et le plus abouti à ce jour : Me Chama De Gato Que Eu Sou Sua / Call Me They That I’m Yours.
5 years after his last and 3rd album, Lucas Arruda finally presents his long awaited new LP, Ominira. Since the release of his first album on Favorite Recordings (Sambadi / 2013), Lucas Arruda has clearly established himself as one of the most talented contemporary artist and composer from Brazil. His…
Le disque est co-produit par le musicien et producteur brésilien Pupillo (batteur de Nação Zumbi) et le multi-instrumentiste américain Adrian Younge (cofondateur de Jazz Is Dead). On y trouve du boléro, du rap, des échos de musique soul. L’auteure y réaffirme son intrépidité, son attachement à son époque, à la complexité et à la beauté du travail créatif, en gardant toujours à l’horizon la diversité de la musique brésilienne.
Réédition officielle de ce rare LP de funk brésilien de Cry Babies (formation précoce du Banda Black Rio), sorti initialement en 1969, reprenant des titres emblématiques du funk-soul américain à la sauce brésilienne (James Brown, The Isley Brothers et Kool & The Gang…)
Un album fondamental pour le jazz et la bossa nova. Astrud Weinert, à la voix si chaleureuse et si sensuellement mélancolique, est née au Brésil d’un père allemand et d’une mère brésilienne en 1940 et à grandi à Rio. Elle épouse en 1959 le fameux Joao Gilberto, le « père de la bossa nova » et le suit aux Etats-Unis en 1963. Elle rencontrera alors le saxophoniste Stan Getz. Leur collaboration produira d’absolus chefs d’oeuvre, indémodables, dont la présente compilation est un excellent panorama.
« WAVE » bénéficie de l’orchestration et des arrangements veloutés de Claus Ogerman et de l’accompagnement de jazzmen de renom, notamment de Ron Carter à la contrebasse. Les amateurs de trombone au son caressant seront à la fête avec TRISTE, LAMENTO, DIALOGO et l’irrésistible LOOK TO THE SKY.
A écouter les soirs d’été, quand il fait doux, en rêvant de voyages et de tropiques…
Près de 25 ans après avoir découvert la musique de Milton Nascimento, la bassiste-contrebassiste et figure emblématique du jazz contemporain Esperanza Spalding concrétise son rêve dans ‘Milton + esperanza’.
Milieu des années 1960 à Rio, Brésil. Baden Powell, guitariste métis de talent et Vinìcius de Moraes, Blanc à l’écriture acérée, collaborent. Un symbole fort dans un pays encore traversé par de très fortes tensions raciales à l’époque tout comme aujourd’hui. Powell parle de son acolyte comme du « Blanc le plus noir du Brésil ». Vinìcius de Moraes, poète, privilégié tout droit sorti des quartiers chics, et Powell, issu d’une famille démunie, produisent ensemble plusieurs titres, dont l’un des plus beaux standards de la musique brésilienne : « Berimbau ».
Sur cet album de 1970 enregistré à Los Angeles, Donato s’éloigne de ses racines bossa nova brésiliennes, incorporant un mélange éclectique et électrique de funk, de fusion et de pop psychédélique. Le résultat est un ensemble groovy piloté par un Fender Rhodes, mis en valeur par « The Frog » et « Lunar Tune ». La série Verve By Request comprend un vinyle de 180 grammes, pressé chez Third Man à Detroit.
Look To The Rainbow (1966) est l’un des joyaux du catalogue d’Astrud Gilberto et du canon de la bossa nova. Vinyle 180g LP, Pressé chez Third Man à Detroit.
Le deuxième album de Gilberto Gil regorge de certaines des meilleures chansons de sa carrière ; des extravagances pop jubilatoires comme « Domingo No Parque », « Pega a Voga, Cabeludo » et « Frevo Rasgado » qui étaient également inspirées par l’irrésistible et cuivrée grandiloquente du Carnaval et par le rock & roll intelligent d’Amérique et de Grande-Bretagne.
Ce disque comprend l’intégralité du contenu de son album Brazil’s Brilliant João Gilberto, qui a reçu une note de cinq étoiles sur AllMusic, ainsi que plusieurs de ses plus grands succès de ses premières années. 23 PISTES!
Figure emblématique de la Bossa Nova et de la scène jazz brésilienne, Milito a participé à de nombreuses sessions dirigées par des stars telles que Nara Leão, Maria Bethânia, Vinicius de Mores, Gilberto Gil, Jorge Ben, Elis Regina, Sérgio Mendes, Chico Buarque et Marcos Valle, parmi beaucoup d’autres.
Minas « Num Dia Azul » est une sublime tranche de bossa nova de la presse privée qui rencontre la perfection de la MPB jazzy. Chaleureuse et bouillonnante de jeunesse, la musique est à la fois souple, mais aussi lisse et serrée. L’album est sorti en 1983 et reflète la grande musique de Rio de l’époque. Pourtant, « Num Dia Azul » n’a pas été enregistré à Rio, mais aux États-Unis.
Les Voies de l’Oyapock est le fruit d’un voyage réalisé par No Tongues et ses associé. e.s à l’été 2018 sur l’Oyapock, fleuve frontière entre le Brésil et la Guyane. Voyage à la rencontres des peuples Teko et Wayâpi des villages amérindiens de Camopi et de Trois Sauts.
Version double vinyle bleu de <atrás/além>, le chef-d’œuvre DIY de pop brésilienne moderne du groupe O Terno (Tim Bernardes, Guilherme « Peixe » D’Almeida et Gabriel « Biel » Basile), sorti en 2019. Une réédition essentielle de leur quatrième album, qui sonne à la fois rétro dans sa texture analogique et sa production minimaliste, mais contemporain dans l’écriture et le style vocal de Tim, qui doit autant à Robin Pecknold (Fleet Foxes) et Grizzly Bear qu’à Milton Nascimento, Caetano Veloso ou John Lennon.
Maria Rita, de son vrai nom Maria Rita Mariano, est une chanteuse brésilienne. Elle est née à São Paulo le 9 septembre 1977 . Fille de la chanteuse Elis Regina et du compositeur César Camargo Mariano, elle commence sa carrière dans la chanson à l’âge de 24 ans.
Roots est le sixième album studio du groupe de metal brésilien Sepultura, sorti le 20 février 1996 chez Roadrunner Records. Il s’agit du dernier album du groupe réalisé avec Max Cavalera.
Cette édition présente l’intégralité de l’album original In the Brazilian Bag ! qui le réunit au piano en compagnie du saxophoniste alto américain Bud Shank, de la guitariste Rosinha de Valença, de Sebastião Neto à la basse et de Chico Batera à la batterie.
Longtemps épuisé, Mexican Summer poursuit son exploration de la vision musicale de Sessa avec cette édition spéciale du cinquième anniversaire sur vinyle blanc splatter rose et violet.
Todos Os Olhos est l’un des disques les plus célèbres et les plus emblématiques de la musique brésilienne. Tom Zé y présente, avec beaucoup de courage, une manière différente de lutter contre la dictature militaire de son pays.
BIO : Joao Gilberto Brazil’s Brilliant on 180g Import LP Featuring 3 Bonus Tracks Recorded During the Same Period But Not Included on the Original Album! The benchmark 1961 album Brazil’s Brilliant not only introduced U.S. audiences to the illustrious Joao Gilberto and Antonio Carlos Jobim duo but ultimately bossa…
Le nouvel album du guitariste et auteur-compositeur-interprète brésilien Rogê et le premier pour le nouveau label du producteur américain Thomas Brenneck (The Budos Band, Menahan Street Band). Un album réalisé de manière traditionnelle qui explore les thèmes de la nature, des racines indiennes et africaines du Brésil et de l’endurance en période de conflit.
L’histoire de ce LP (initialement publié en coffret 10 », en 1975) commence juste pour soutenir ces séances d’initiation collectives. Chaque morceau est inspiré d’un élément I Ching (Montagne, Ciel, Terre, Eau, Lac, Vent) qui a représenté une source d’inspiration primaire pour Campadello. Le son onirique et occulte suggère non seulement l’atmosphère de cette expérience mais révèle encore les échos de la meilleure saison du rock brésilien et du Tropicalisme.
En huit titres exotiques, le combo Patchworks/Selva part à la source de la bossa-nova, la samba et autres musiques brésiliennes sur des réussites tropicales comme « Pessoas », « Felicidade » ou encore l’excellent et rythmé « Um Caroço ». L’ambiance chill est au rendez-vous et on ne peut pas s’en plaindre tant la voix suave du natif d’Ipanema caresse nos tympans et les morceaux comme « Se Foi », « Maria » ou encore le dernier morceau « Babado Forte » jouent avec nos sens naturellement.
Entre la production DIY reconnaissable entre mille de Patchworks et le savoir-faire de Joao Selva, ce Natureza est plus qu’un hommage à la musique brésilienne festive (les spectres de Jorge Ben et de Caetano Veloso) mais une extension de la tropicalia dont la flamme est ravivée. (source : les oreilles curieuses)