Pour la première fois en vinyle le greatest hits Rotten Apples des Smashing Pumpkins, avec les tubes ‘Today’, ‘Bullet with Butterfly Wings’, ‘1979’, ‘Tonight, Tonight’ et bien d’autres encore !
L’un des albums les plus groovy de Dorothy Ashby dans les années 60 – un ensemble où son travail de jazz à la harpe, déjà excellent, est soutenu par les arrangements soul de Chicago de Richard Evans – le tout dans un mélange qui se situe quelque part dans le territoire des Soulful Strings, mais encore plus groovy !
Edition limitée en double vinyle blanc de IV, le quatrième album studio du groupe canadien de jazz hip-hop instrumental BadBadNotGood. Il est sorti initialement le 8 juillet 2016.
Grande prêtresse de la nu soul, Erykah Badu marque la culture urbainear sa voix singulière et son attachement aux racines de la musique afro-américaine. Véritable génie du groove et des ambiances jazzy, l’artiste va impacter durablement le genre, oscillant entre hip hop, jazz et soul.
Longtemps indisponible en vinyle, cette édition quintessentielle comprend le premier album éponyme de Joan Baez. Sorti en octobre 1960 sur le label Vanguard, l’album est devenu disque d’or (et est resté dans le classement des meilleures ventes pendant plus de deux ans).
Sorti en 2004, ‘Medulla’ propose de faire la voix un instrument de musique aussi bien harmonique que rythmique. Entourée de pointures comme Robert Wyatt (Soft Machine), Mike Patton ou encore de Rhazel (Human Beat Box des Roots).
Enregistré à New York en octobre 1962, ‘Caravan’, le premier album d’Art Blakey & The Jazz Messengers pour le label Riverside, constitue un monument du hard bop.
Pour les amateurs de musique africaine des années 1970, une appréciation complète de la production du continent est incomplète sans le son pop-jazz de l’Afrique du Sud qui fournit un contrepoint régional à l’expérimentation funk de l’Afrique de l’Ouest. Réédité pour la toute première fois, Bra Sello revient en 2023 avec des éditions limitées d’Afrodelic utilisant les bandes originales de la collection As-Shams/The Sun.
Cette édition présente l’intégralité de l’album True Blue de Brooks, l’une de ses œuvres les plus remarquables, avec Freddie Hubbard (avec qui Brooks avait enregistré l’album Open Sesame la semaine précédente, le 19 juin) et Duke Jordan. Brooks n’enregistrera plus jamais après le milieu de l’année 1961.
C’est en 1967 que Mel Brown signe chez Impulse et sort son premier opus comme leader avec « Chicken Fat ». Véritable carrefour entre le Blues du Mississipi et le Rythm’n’blues naissant de Memphis, cet opus est un véritable coup de maitre et certainement un des albums les plus puissant du maitre.
Oscar Peterson et Buddy De Franco sonnent fabuleusement bien ensemble sur ce recueil de mélodies de Gershwin très agréables à écouter. Le trio d’Oscar Peterson est un soutien idéal pour le maestro Buddy.
les Butthole Surfers ont annoncé leur première série de rééditions en collaboration avec Matador Records, ce qui ne manquera pas de faire bondir beaucoup de gens qui pensaient avoir une bonne maîtrise des domaines les plus éloignés de la scène indie-rock des années 80.
Butthole Surfers ont annoncé leur première série de rééditions en collaboration avec Matador Records, ce qui ne manquera pas de faire bondir beaucoup de gens qui pensaient avoir une bonne maîtrise des domaines les plus éloignés de la scène indie-rock des années 80.
les Butthole Surfers ont annoncé leur première série de rééditions en collaboration avec Matador Records, ce qui ne manquera pas de faire bondir beaucoup de gens qui pensaient avoir une bonne maîtrise des domaines les plus éloignés de la scène indie-rock des années 80.
Pilier du mouvement hard-bop avec Horace Silver et Art Blakey, Donald Byrd a toujours expérimenté de nouvelles manières de voir le jazz. En 1963, il enregistre pour Blue note records une pièce atypique, A New Perspective sous-titré Band & Voices, mélange de jazz et gospel à la limite de la musique de film, intégrant des voix et des instrumentations plus complexes. Le fameux “Cristo Redendor” marque cette envie d’aller vers de nouveaux horizons.
Le saxophoniste alto et arrangeur Gigi Gryce et le trompettiste Donald Byrd du Jazz Lab Quintet, groupe novateur mais malheureusement éphémère, ont enregistré plusieurs faces en 1957, dont sept sont publiées sur cet excellent album Columbia (une poignée d’autres titres ont été réalisés collectivement pour Riverside, Verve et RCA).
L’album classique « Cannonball Adderley Quintet in Chicago » dans son intégralité. Ce disque présente Cannonball et John Coltrane partageant le devant de la scène à une époque où les deux saxophonistes étaient membres du Sextuor de Miles Davis.
TRACKLISTING : I Walk The Line Get Rhythm So Doggone Lonesome Luther’s Boogie (Luther Played The Boogie) Two Timin’ Woman Rock Island Line I Got Stripes Big River Country Boy Come In Stranger Thanks A Lot The Ways Of A Woman In Love
Cette édition contient, pour la première fois sur vinyle, le splendide concert de Ray Charles au Newport Jazz Festival en 1960, enregistré deux ans après sa première apparition au festival (le concert de 1958 publié sur le LP Atlantic Ray Charles at Newport). Au moment où ce concert de 1960 a eu lieu, Charles avait déjà quitté le label Atlantic, de sorte que le concert n’a pas été publié sur un LP à l’origine.
Version vinyle violet de 11-11-11, la réédition du deuxième album de Charlie Bereal, artiste et producteur qui a collaboré avec les plus grands du hip-hop et du r’n’b de notre époque (JAY-Z, Aaliyah, Snoop Dogg et Missy Elliot, pour n’en citer que quelques-uns). Une approche flexible de jam combinée à la production magistrale de Charlie, a donné naissance à un mélange psychédélique de R&B original, qui évoque Sly and the Family Stone ou Funkadelic.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Enregistré en direct par Impulse ! lors d’un gala de charité donné au Carnegie Hall au profit de l’Integratal Yoga Institute en 1971, cet incroyable ensemble n’a jamais connu de sortie commerciale jusqu’à présent.
90 minutes de musique inédite de ce groupe ont été découverte récemment à la Bibliothèque Publique de NYC offrant une plongée vertigineuse dans la puissante musique de ce quintet éphémère.
Les Angevins de Cut The Navel String, acteurs au sein de la grande écurie Roadrunner Records dans les années 90 (Sepultura, Machine Head, Type O Negative), ressortent un 6 titres inédits (enregistrés en 1993 !) intitulé The black box session by Peter Deimel .
Pour commémorer les dix ans de la mort de Daniel Darc, une réédition de onze raretés datant des sessions de Crève-cœur paraîtra en vinyle sous le titre Une parenthèse enchantée.
Betty Davis retrouve Carlos Morales, l’ancien guitariste de Funk House, et fait appel à des vétérans de l’industrie comme le batteur de fusion Alphonse Mouzon et le bassiste de session Chuck Rainey. De vieilles amies, Anita et Bonnie Pointer (The Pointer Sisters) et Patryce « Choc’let » Banks, ainsi que la légende de la Motown Martha Reeves, se joignent à Davis au chant. L’album qui en résulte, Crashin’ From Passion, est le plus diversifié musicalement, mélangeant des éléments de reggae et de calypso (« I’ve Danced Before »), de jazz (« Hangin’ Out in Hollywood », « Tell Me a Few Things »), de dark synth-pop (« She’s a Woman »), et même de disco (« All I Do Is Think of You »).
La voix de Davis est tout aussi exploratoire, puisqu’elle troque son sass et ses grognements caractéristiques pour des styles plus nuancés.
Le livret d’accompagnement comprend un trésor de photos rares de l’époque, des paroles et de nouvelles notes de l’écrivain, ethnomusicologue et amie proche de Betty, Danielle Maggio, qui intègre des entretiens qu’elle a menés avec Davis et qui sont les derniers qu’elle ait jamais eus.
L’un des nombreux chefs-d’œuvre que le compositeur et trompettiste américain Miles Davis a enregistrés au cours de sa vie. Il peut être considéré comme un album de transition, entre sa période « acoustique » et sa période « électrique ». Il a enregistré cette incroyable œuvre de jazz moderne en compagnie de grands noms de la musique tels que Wayne Shorter, Herbie Hancock et Chick Corea
En 1960 à Copenhague, alors qu’il débarqua pour une nouvelle tournée avec son quintet incluant le saxophoniste John Coltrane et le pianiste Wynton Kelly, Miles Davis se fait particulièrement désagréable ce qui se ressent dans le public et la musique donnant un cachet particulier à ces enregistrements très recherchés.
L’intégralité du concert du 8 avril 1960 au Kongresshaus de Zurich, en Suisse, du splendide Miles Davis Quintet avec John Coltrane au saxophone ténor, Wynton Kelly au piano, Paul Chambers à la basse et Jimmy Cobb à la batterie.
Outre les titres « All Blues » et « So What », souvent entendus, le concert de Zurich contient des versions de « Fran Dance » et « If I Were a Bell ». « If I Were a Bell » a été enregistré pour la première fois par Miles et Coltrane en quintette lors de la célèbre séance studio du 26 octobre 1956 pour Prestige, et la version zurichoise entendue ici est la seule apparition de cette chanson qui subsiste de la tournée européenne de 1960.