Le groupe d’indie le plus célèbre de Baltimore est de retour après le parfait Teen Dream paru en 2010 et considéré par beaucoup comme l’un des albums majeurs du début de la décennie. Qualifiés tour à tour de duo shoe gaze, witch house ou dream pop, BEACH HOUSE a avant tout su inventer son propre style, quelque part entre les ambiances cotonneuses de MAZZY STAR ou des COCTEAU TWINS et NICO. Bloom, leur 4e album studio devrait voir le groupe s’installer définitivement comme une référence majeure de la musique indépendante auprès des médias spécialisés et culturels en général.
Teen Dream est le troisième album studio du duo de dream pop américain Beach House, sorti le 26 janvier 2010. Produit par Chris Coady, Teen Dream est le premier album de Beach House avec le label Sub Pop. L’album fut plutôt bien reçu par la critique musicale, qui le considéra comme l’un des meilleurs albums de 2010.
Thank Your Lucky Stars est le sixième album studio du groupe de dream-pop, Beach House. Il est sorti le 16 octobre 2015 sous le label Sub Pop et Bella Union. Co-produit par le groupe et Chris Coady, cet album a été réalisé moins de deux mois après leur cinquième album : Depression Cherry.
Un album classique de soul et de funk des Caraïbes. Émergeant de Nassau aux Bahamas en 1971, The Beginning of the End s’est formé autour des frères Munnings (Ray, Leroy et Frank) et la première chanson qu’ils ont enregistrée, ‘Funky Nassau’, est devenue n°1 du Billboard R’n’B. hit, vendu à plus d’un million d’exemplaires.
Gallipoli est le cinquième album studio du groupe indie folk Beirut. Il a été publié le 1er février 2019 par 4AD. L’album porte le nom de la ville italienne où la chanson titre a été écrite. Il est soutenu par les singles « Gallipoli », « Corfu » et « Landslide ».
Gulag Orkestar, sorti en 2006, est le premier album de Beirut, projet de Zach Condon. Obsédé par la musique de Balkans, Condon compose un disque festif entre violons et mandolines.
La fantastique collection de Betty Harris « The Lost Queen of New Orleans Soul » de Soul Jazz Records est disponible dans une nouvelle édition unique et limitée, un pressage spécial en vinyle vert avec gatefold et un code de téléchargement.
Lemonade est le sixième album studio de la chanteuse américaine Beyoncé, sorti en 2016. C’est un des albums les plus personnels de la chanteuse. Elle y raconte les phases par lesquelles elle est passée pour se reconstruire et reconstruire son couple après que Jay-Z, son mari et le père de ses enfants, l’a trompée.
4AD réédite ‘Masterpiece’ le superbe premier album du quatuor folk américain Big Thief. Sorti pour la première fois en 2016, l’album contient notamment le déjà classique ‘Paul’ en plus des incontournables des setlists du groupe : ‘Real Love’ et ‘Masterpiece’.
Quelques mois après la sortie de l’excellent U.F.O.F., le quatuor américain est de retour avec Two Hands, deuxième album cette année pour Big Thief.
Une fois de plus, le groupe produit une musique indie de toute beauté, entre folk et rock, aux textes poétiques à souhait, entre douleur et douceur.
U.F.O.F. a été enregistré dans l’ouest rural de Washington aux Bear Creek Studios. Dans une grande pièce ressemblant à une cabine, le groupe a installé son équipement pour enregistrer en direct avec l’ingénieur Dom Monks et le producteur Andrew Sarlo, qui était également à l’origine de leurs albums précédents. Ayant déjà vécu ces chansons en tournée, ils étaient détendus et prêts à expérimenter. La matière première est arrivée rapidement. Certaines chansons ont été écrites quelques heures seulement avant l’enregistrement et se sont étirées instantanément, première prise, voix et tout.
Avec son album de 2016, Are You Serious, Andrew Bird a élargi l’étendue de son art en reflétant directement sa propre expérience humaine. Avec les contributions clés de Fiona Apple et Blake Mills, Are You Serious atteint un niveau d’expression qui est un saut personnel et évolutif. Are You Serious est le deuxième disque que Bird a réalisé avec le producteur Tony Berg, après la percée de 2005, The Mysterious Production of Eggs. Andrew Bird était initialement connu pour son travail avec le groupe Squirrel Nut Zippers avant de former Bowl of Fire, et est maintenant surtout connu en tant que musicien solo. L’instrument principal de Bird est le violon, mais il maîtrise également divers autres instruments, notamment la guitare, la mandoline, le xylophone, le sifflement et le glockenspiel.
The Black Keys reviennent avec un 10ème album studio intitulé Delta Kream. Retour aux sources du Blues le long des rives du Mississipi pour le duo auréolé de 6 Grammys. Composé de 11 titres il puise dans l’héritage blues laissé par John Lee Hooker, Junior Kimbrough et propose un hommage appuyé à travers 11 titres à ces artistes qui ont fait l’histoire de ce genre musical et qui ont accompagné Dan Auerbach et Patrick Carney depuis leurs débuts.
SORTIE INITIALEMENT PREVUE LE 11.03.22 REPORTEE LE 18.03
Sorti initialement en 2005. Blackalicious a produit un disque d’une telle profondeur sonore et d’une telle ambition lyrique qu’il se place fièrement aux côtés des travaux des pères du funk de la Bay Area, Sly Stone et Shuggie Otis, ou des classiques du hip-hop comme « Aquemini » d’Outkast et « Things Fall Apart » de The Roots. The Craft inclus des featurings de George Clinton, Floerty, Lateef The Truthspeeker et Pigean John. Pour les fans de The Roots, Jill Scott, Eryka Badu, Mos Def, Talib Kweli.
Bon Iver revient avec un troisième album majestueux et avant-gardiste et confirme une nouvelle fois qu’il est un des groupes les plus importants de sa génération. Les dix morceaux de 22, A MILLION se révèlent comme une collection de moments sacrés, de souffrance amoureuse et finalement de salut, entremêlant des souvenirs intenses et des signes révélateurs pour tout ce qui nous semblait n’être que des coïncidences. Si avec son précédent album Bon Iver avait construit une capsule enracinée dans des espaces physiques, avec 22, A MILLION il apprend à se détourner de toute attache matérielle. L’essentiel de l’album a été enregistré et produit à l’April Base Studio à Fall Creek (Wisconsin). Certains morceaux ont été enregistrés à Londres, et d’autres près de Lisbonne, par Justin Vernon et ses plus proches amis, qu’ils soient partenaires de longue date, ou nouveaux collaborateurs.
Bon Iver revient avec ce second opus éponyme, aux titres atmosphériques moins teintés de folk et plus impressionnistes que sur le précédent, et servis par des arrangements plus riches et plus complexes.
A la fin de l’année 2006, Justin Vernon (aka Bon Iver) se retire dans le nord du Wisconsin pour passer trois mois à se ressourcer au coeur de la forêt. De cette période d’isolation et de contemplation, des mélodies commencent à émerger. Le résultat, aussi inattendu que brillant est un disque à la beauté singulière. Vernon se décide à sortir « For Emma, Forever Ago » à compte d’auteur courant 2007. N’attendant pas grand chose, il pressera 500 copies, qui partiront aussi vite que le bouche à oreille le concernant. Aujourd’hui, c’est Jagjaguwar qui prend le relais aux Etats-Unis et 4AD en Europe. « Je reconnais que l’album est assez énigmatique et étrange. J’en prends l’entière responsabilité, vu que je l’ai fait tout seul » assume Vernon.
Trois ans après le virage musical de 22, A Million, Bon Iver aka Justin Vernon revient avec un quatrième opus, i,i. Un titre assez mystérieux pour un album censé clôturer un cycle de saisons. For Emma, Long Ago symbolisait l’hiver, Bon Iver le printemps, 22, A Million l’été (ah bon ?) et ce i,i l’automne. Autant les deux premiers ont donné un renouveau à la folk atmosphérique, autant les deux derniers servent une saveur électronique.
Perdu dans des contrées indéfinies en quête de rédemption, Will Oldham conte l’amour jamais rencontré. L’homme est-il si imparfait pour ne pas mériter l’attention de son adorée ? Son mal-être de ce monde est-il si grand qu’il effraie ?
Cette fois encore au travers de Bonnie ‘Prince’ Billy, l’homme de Palace nous invite à partager ses peines avec pudeur et nonchalance. Point de fureur ici, si ce n’est celle des mots et de sentiments enfouis. Une guitare et une voix suffisent même si Marty Slayton lui fait magnifiquement écho tout au long de Master & Everyone. Déroulant paisiblement son country folk, l’ami Oldham exhume les douleurs secrètes que l’on n’ose affronter par simple peur, celle de se voir tels que nous sommes.
Le groupe de rock’n’roll le plus dangereux de New York, Boss Hog, est de retour avec Brood Star, un MAXI-DISCO de 12 pouces de 12 pouces de quatre chansons, distillé, vivisé, altéré chirurgicalement, lié, dérobé, remixé et mutilé en une amusentable aléatoire Bouche pour leur prochain album complet, Brood X.