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33,50€
Caught Up est le quatrième album de la musicienne R&B Millie Jackson. Il comprend les singles à succès « (If Loving You Is Wrong) I Don’t Want to Be Right », « The Rap » et « I’m Through Trying to Prove My Love to You ». Album concept, Caught Up suit l’histoire d’une femme ayant une liaison avec un homme marié. La face A présente Jackson chantant du point de vue de la maîtresse et la face B est racontée du point de vue de la femme.
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31,90€
The Köln Concert est un album de Keith Jarrett publié en 1975. Il s’agit de l’enregistrement en direct d’un concert entièrement improvisé par Jarrett qui constitue depuis lors l’un de ses travaux les plus importants et reconnus, voire selon certains critiques l’un des albums de jazz les plus importants.
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23,50€
La première session studio de Jeff Buckley pour le label Columbia, You and I, sortira chez Columbia/Legacy.
Récemment découverte dans les archives de Sony Music, l’ouvre fondatrice de Jeff Buckley totalement inédite comprendra des reprises de Bob Dylan, Sly & the Family Stone, les Smiths, Led Zeppelin et bien d’autres.
Ces 10 titres (pour la plupart enregistrés dans le Studio Shelter Island de Steve Addabbo en février 1993) n’ont pas été entendus pendant plus de deux décennies. Découverts pendant les recherches effectuées pour le 20ème anniversaire de l’album Grace, les enregistrements de You and I sont une révélation, un portrait intime de l’artiste interprétant des reprises et des créations originales et nous laissant entendre toute sa sensibilité. Les chansons de You and I révèlent l’éclectisme du talent extraordinaire et des goûts musicaux de Jeff Buckley.
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25,90€
1971 Dix ans après avoir été la figure de proue de la soul pop et du R&B, Syl Johnson fait une improbable volte-face et réalise son album le plus inspirant et le plus puissant. Quand il a appris que Martin Luther King avait été assassiné, il a eu besoin d’écrire une chanson. La chanson-titre, “Is It Because I’m Black”, couplée au morceau politiquement chargé « I’m Talking About Freedom » et au titre ghetto conscient « Concrete Reservation », scelle les qualités politiques de l’album. « Right On », « Together Forever », « Come Together » et « Black Balloons » sont positivement édifiants, un trésor au bout d’un arc-en-ciel en nuances de gris.
Cinquante ans plus tard, Is It Because I’m Black est toujours aussi pertinent que le jour de sa sortie. Pas de notes de pochette. Pas de titres supplémentaires. Juste le meilleur album conceptuel soul de tous les temps.
EDITION LP Vinyle 180gr
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24,50€
« Private Space », le troisième album du groupe, est une vibration encore inexploitée au cœur de The Indications. Poussant au-delà des limites du funk et de la soul de leurs précédents albums, « Private Space » ouvre la porte à
un plus large éventail de sons et se lance audacieusement dans un monde de soul moderne synthétique et de rythmes disco. -
24,90€
Groupe majeur de la scène rock, The Kills, délivre depuis plus de deux décennies une déclaration artistique captivante, brute et mystérieuse. Duo composé par l’américaine Alison Moss-hart et l’anglais Jamie Hince, The Kills a publié 5 albums studio et 4 EPs et traversé le monde, déver-sant un rock garage magnétique sans pareil, aux influences punk et blues.
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28,50€
Le duo de rock anglo-américain, The Kills, annonce la réédition de son deuxième album culte, le fondamental No Wow à l’occasion du 17ème anniversaire du disque. Cette réédition comprend le nouveau mix réalisé par Tchad Blake (The Black Keys, Fiona Apple, Arctic Monkeys), producteur émérite et lauréat de plusieurs Grammy Awards, qui apporte une nouvelle perspective aux 11 titres.
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32,50€
L’histoire de Kings Go Forth commence avec Andy Noble. Il est né, a grandi et vit toujours à Milwaukee, et en sait probablement plus sur la soul classique, le funk et le R&B que n’importe qui d’autre. C’est un collectionneur de disques passionné, un entrepreneur de labels indépendants et le propriétaire du légendaire magasin de disques Lotus Land.
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En cours de réapprovisionnement
23,50€Le premier album de la tribu Followill n’a pas pris une ride et s’écoute comme s’il était sorti en 1973. Le chanteur Galeb pose une voix presque exagérément rauque sur des compositions millimétrées, admirablement produites par Ethan Johns. Certes on frôle parfois l’overdose de clichés américains, tant musicalement que dans les paroles qui citent le Montana, des trains qui rentrent à la maison, ou des travelos à la Lou Reed. C’est que le rock leur tient lieu de nouvelle religion.
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23,50€
Sonderlust est un album forgé par le chagrin. Après ses deux précédents albums studio (« 151a » & « Light »), Kishi Bashi était dans une impasse musicale. « Lorsque je me suis assis pour écrire des chansons l’été dernier, je suis allé dans tous mes canaux de création habituels : boucles de violon, guitare, piano, et j’ai trouvé l’équivalent musical des fumées », explique K Ishibashi. « J’ai essayé de créer des enregistrements pop orchestraux que je supposais être mon point fort, et à mon tour, je me suis retrouvé devant un mur créatif aux hauteurs effrayantes. »
À ce même moment d’incertitude musicale, la vie personnelle de K s’effondrait… Selon ses propres mots, « les tournées et le style de vie qui les accompagne ont pesé lourdement sur mon âme et ma famille ». Comme exutoire, K s’est plongé dans une nouvelle direction musicale. Sonderlust est le résultat direct de cette lutte personnelle qui se déroule à un carrefour artistique.
Avec l’aide du producteur Chris Taylor (Grizzly Bear), de l’ingénieur Pat Dillet (Angelique Kidjo, David Byrne) et du batteur Matt Chamberlain (Morrissey, Fiona Apple, de Montréal), Kishi Bashi a créé son œuvre la plus personnelle et artistiquement aventureuse à ce jour. « Cet album vient tout droit de mon âme. J’ai tout remis en question sur ce que signifie aimer et désirer. La différence entre aimer quelqu’un et être amoureux. »
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En cours de réapprovisionnement
22,50€« Showtunes reste toujours aussi grandiose au niveau des arrangements ciselés et gentiment trafiqués tandis que Kurt Wagner y voit des signes de fin des temps au niveau des textes. Il n’y a qu’à juger les écoutes des pièces beaucoup plus amples mais mélancoliques telles que « Papa A Rolling Stone Journalist » ou bien encore « Unknown Man » et « Blue Leo » qui sauront nous envoûter comme jamais. Après une intermède acoustique et cuivrée instrumentale du nom de « Impossible Meatballz », Lambchop viendra clôturer cette étrange marche funèbre avec un « The Last Benedict » faisant de ce Showtunes un essai expérimental et renversant. »(Les Oreilles Curieuses)
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35,90€
Honeymoon représente la lumière quand Ultraviolence reflétait la part sombre de Lana Del Rey. C’est également un rempart plus homogène bâti autour de sa voix, plus langoureuse que jamais, là où régnait précédemment une diversité de sept contributeurs partagés entre la composition et la production. Ce n’est pas seulement cette homogénéité qui fait d’Honeymoon une oeuvre consistante, car, au-delà du folklore conceptuel qui entoure la star d’un parfum de mystère, de fantasme et de la chromo hollywoodienne qui va avec, l’écriture de morceaux comme « Music to Watch Boys To », « Terrence Loves You », ou le morceau-titre d’ouverture parfait entre la nuage de cordes et son accompagnement de piano sobre, offre le bel écrin qui faisait jusqu’à présent défaut. La voix de sirène sortie comme dans un rêve, généreusement nourrie d’écho, n’est plus parasitée par des arrangements incongrus. En lieu et place la protègent et la portent un rythme ralenti ou une boîte à rythmes sourde (« Freak »), un saxophone discret, une guitare économe (« God Knows I Tried »), un voile orchestral léger, et une reprise fondante du « Don’t Let Me Be Misunderstood » de Nina Simone qui se mérite après quelques pièces plus faibles, soit tout pour faire d’Honeymoon l’album le plus langoureux jamais enregistré depuis Julie London. Le reste n’est que littérature.
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En cours de réapprovisionnement
33,90€Entre ballades, sonorités plus pop ou urbaines, Lana Del Rey a réussi au travers de sa discographie à nous plonger dans un univers aux teintes vintages et cinématographiques empreint du soleil Californien. Son nouvel album « Norman Fucking Rockwell ! » est décrit par la chanteuse comme un album » introspectif » et celui » d’une fille triste « .