Description
BIO :
Tasweerah’, une dreamfolk qui aurait pu venir d’Europe ou d’Amérique du Nord. On pense à Beach House, Mazzy Star, Mojave 3 (‘Malguit’) ou même à un Balthazar tamisé (‘Born Again’). Nick Drake, souvent évoqué par le passé, se balade aussi sur ce disque (‘El Mooja’) et personne ne vous traitera de fou si vous entendez un écho des Tindersticks sur ‘Dima Maak’. ‘
Tasweerah’ est une série de portraits, une tentative de Jawhar de se dessiner, de décrire sa personnalité, le monde qui l’entoure et la place qu’il y occupe. Tasweerah » n’est pas un disque joyeux, c’est un disque profond et obsédant, et ce, même si on en comprend pas un traître mot.
« Mêlant chant en arabe et folk à la Nick Drake, la musique de Jawhar est aussi unique que bouleversante. »
– Focus
« Exposée aux charmes d’un rock sombre et raffiné, la musique de Jawhar gagne en intensité, sans perdre son authenticité. »
– Larsen
« Il y a chez l’artiste un don pour la légèreté, dans la guitare et les compos aux accents folk, soulignés encore par la délicatesse de sa voix […] Beau et touchant, encore une fois. »
– Le MAD
« Winrah Marah touche au sublime via dix chanson folk-rock qui, en arabe, tirent un trait d’union entre la fragilité de Nick Drake et le charme ténébreux de Timber Timbre tout en s’inspirant des musiques traditionnelles africaines. Un grand disque qui mérite toute votre attention. »
– Moustique
« Le grain de guitare, les claviers nuageux, le timbre de voix hypnotique, les arrangements entre terre et ciel – l’était chaotique du monde arabe ? – signent d’ores et déjà l’un des plus beaux albums de l’année. »
– Focus Vif
Sur un troisième album, on ne peut plus compter sur l’effet de surprise. Et quand l’essai précédent est brillant, le risque de déception est grand. On n’aura pas à déplorer de baisse de régime cependant puisque Winrah Marah se permet de se placer dans la lignée de son prédécesseur en montrant une vraie évolution.
– Esprit Critique