Description
BIO :
Toujours très attachée à la culture japonaise, qui infuse l’univers visuel de son deuxième album « Iota« , Lous and the yakuza est l’héroïne de son propre manga. Elle élargit encore le spectre de ses influences musicales pour évoquer la Femme qu’elle est devenue depuis Gore, son premier album.
Lous and the Yakuza commence à peine à changer la face de la musique francophone. Elle a débarqué en 2020 avec son premier album Gore, et sa flopée de titres personnels, Dilemme (70 millions de streams), Tout est gore ou encore Solo (6 millions de streams), se voyant nommée dans la catégorie Révélation aux Victoires de la musique l’année suivante.
Son deuxième opus, que Lous appelle Iota, va plus loin dans sa volonté de proposer un son singulier. Elle y déploie une musique éclectique sans coquetterie, ni calcul. L’album est un statement sur l’amour dans une forme rare : ce qui reste, une fois que la passion a déserté. Les titres égrènent les effusions, les déceptions comme dans ce jeu enfantin où on arrache les pétales de fleurs pour décrire son état amoureux. (Je t’aime) Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, plus du tout… un Iota.Lous nous refait le film de ses relations dans un projet produit en partie par le fidèle El Guincho (Rosalía) dans toute l’incandescence où la mène les errements de son cœur. D’ores et déjà adoubée par la critique, on a récemment pu la retrouver en Une de Vogue France ou encore en interview dans les Inrocks.