Description
BIO:
Le quatrième album de Moriarty commence là où « The Missing Room » s’est terminé : au seuil d’un autre monde – le royaume des esprits, des fantômes et des âmes errantes. Il ne s’agit cependant pas d’un album sur la mort, mais plutôt d’un voyage à travers un pays connu sous le nom de « Underworld », ou « Afterworld ».
«En 2014, après quelques années de tournées, nous avons ouvert nos archives, nos valises et cahiers remplis de fragments inachevés, d’instrumentaux oubliés et de paroles obscures. Nous avons trouvé de vieux morceaux enregistrés sur cassettes (et dictaphones), capturés dans les coulisses de théâtres, d’hôtels et de cachettes isolées. des chansons que nous avions autrefois improvisées, puis perdues et oubliées (« G.I. Jesus », « Reverse/Anger », « Long Is The Night »…). Des histoires d’amour et de perte que nous avions écrites et enregistrées dans le grenier d’une ferme (« Milena », « Peut-être un petit mensonge »…). A bicyclette sous la pluie d’été à Kyoto, nous avons chanté à haute voix l’histoire d’un homme tombé (« Ginger Joe »)… quelques années plus tard nous avons enregistré une première version de la chanson avec les sorciers du cajun, Mama Rosin.
Il y avait aussi un feuilleton radiophonique inspiré du « Maître et Marguerite » de Boulgakov, pour lequel nous avons écrit des chansons sur les démons, les sorcières et les dissidents (« Long Live The (D)evil », « When I Ride », « Across From My Windows », « Fire Fire »…) de retour dans notre ville natale, nous nous sommes installés et avons laissé émerger quelques histoires dans la froide lumière de décembre, des chansons sur le destin, l’amitié et les secrets cachés (« Diamonds Never Die », « History of violence »)… »
