Aux armes et cætera est le quatorzième album studio de Serge Gainsbourg, sorti le 13 mars 1979 chez le label Philips. Produit par Philippe Lerichomme et enregistré en douze jours en janvier 1979 au Dynamic Sounds Studio, à Kingston (Jamaïque) avec certains des meilleurs musiciens de reggae de l’île ainsi que les membres des I Threes, choristes de Bob Marley, marque une étape importante dans la carrière du chanteur. À l’époque de l’enregistrement, Gainsbourg avait une vingtaine d’années de métier derrière lui, mais son impact commercial s’avère limité, malgré l’énorme succès public de Je t’aime… moi non plus, en duo avec sa compagne de l’époque, Jane Birkin.
Bonnie and Clyde est le septième album de Serge Gainsbourg. Brigitte Bardot chante seule sur certains titres et en duo avec Serge Gainsbourg sur la chanson titre de l’album. C’est d’ailleurs le seul inédit du disque, les autres titres étant des reprises issues des répertoires respectifs des deux artistes.
Histoire de Melody Nelson est un album de Serge Gainsbourg paru en 1971. C’est son premier album-concept. Il a été écrit en collaboration avec le compositeur et arrangeur Jean-Claude Vannier.
Jane Birkin – Serge Gainsbourg est le titre du huitième album de Serge Gainsbourg alternant des chansons interprétées par Jane Birkin et Serge Gainsbourg. Il contient un unique duo, Je t’aime… moi non plus, et un titre chanté par Gainsbourg mais dont Birkin entonne le refrain, 69 année érotique.
Voici la déclinaison vinyle du coffret mythique Le Cinéma de Serge Gainsbourg.
Entre deux standards objectifs, disons L’Eau à la bouche et Requiem pour un con, c’est l’occasion de redécouvrir La Fille qui fait tchic-ti-tchic, joyau pop interprété par Michèle Mercier ou Les Chemins de Katmandou, Graal ultime de la période Jean-Claude Vannier, jamais publié en disque.
Le Cinéma de Serge Gainsbourg en 33 tours : un must indispensable à tous les aficionados gainsbouriens de la planète.
Il s’agit d’un album-concept consacré aux amours d’un homme d’âge mûr pour une jeune femme prénommée Samantha. Comme pour son précédent album Love on the Beat, le contenu est hautement sexuel, ainsi que le suggèrent les titres des chansons : Five Easy Pisseuses ou encore Suck Baby Suck, évoquant des amours avec de très jeunes filles (des « pisseuses » comme il les surnomme).
De ces albums dont on sait très pertinemment que, dès les premières notes, ils vont bouleverser à jamais toute vision quelle qu’elle fut de la musique. A ce titre, tout d’abord, on peut déjà lui donner nom de chef-d’oeuvre.