Le deuxième album des Black Keys est une incursion continue et énergique dans le blues dépouillé du Delta. Les mélodies simultanées de la guitare et de la voix mettent en valeur le grognement parfait de bluesman de Dan Auerbach et les rythmes traînants de Patrick Carney.
Même si leur côté excentrique et décalé reste toujours aussi présent, black midi surprendra son auditoire en empruntant ce virage beaucoup plus maîtrisé et calculé. Il en résulte une calvacade musicale où le groupe londonien mettra l’accent sur l’impact émotionnel des compositions et pour cela, ils méritent de marquer leur territoire un peu plus.
James Blake est un artiste anglais occupant une place unique dans le monde de la musique. Il faut connaître les règles pour pouvoir les enfreindre avec tant de conviction.
Vous vous souviendrez sans aucun doute de l’endroit où vous vous trouviez quand vous avez entendu des titres comme « Limit to Your Love » ou « I Never Learnt to Share » pour la première fois
Modern Life Is Rubbish est le deuxième album du groupe britannique de rock Blur, sorti le 10 mai 1993. C’est l’un des disques, sinon le disque, qui a lancé le mouvement Britpop des années 1990. En 2006, un Top 100 des meilleurs albums anglais, établi par le NME, classe Modern Life Is Rubbish à la 6ᵉ place
Parklife est le troisième album du groupe pop-rock britannique Blur, sorti le 25 avril 1994. C’est avec cet opus que le groupe parvient à affirmer sa notoriété, déjà croissante à l’époque. Le single Girls & Boys sera un des titres les plus souvent repris en concert, et surtout un des plus connus du groupe.
Geogaddi est le deuxième album du groupe écossais de musique électronique Boards of Canada. Il s’agit de leur plus important succès commercial à ce jour.
Bon Iver revient avec un troisième album majestueux et avant-gardiste et confirme une nouvelle fois qu’il est un des groupes les plus importants de sa génération. Les dix morceaux de 22, A MILLION se révèlent comme une collection de moments sacrés, de souffrance amoureuse et finalement de salut, entremêlant des souvenirs intenses et des signes révélateurs pour tout ce qui nous semblait n’être que des coïncidences. Si avec son précédent album Bon Iver avait construit une capsule enracinée dans des espaces physiques, avec 22, A MILLION il apprend à se détourner de toute attache matérielle. L’essentiel de l’album a été enregistré et produit à l’April Base Studio à Fall Creek (Wisconsin). Certains morceaux ont été enregistrés à Londres, et d’autres près de Lisbonne, par Justin Vernon et ses plus proches amis, qu’ils soient partenaires de longue date, ou nouveaux collaborateurs.
Bon Iver revient avec ce second opus éponyme, aux titres atmosphériques moins teintés de folk et plus impressionnistes que sur le précédent, et servis par des arrangements plus riches et plus complexes.
A la fin de l’année 2006, Justin Vernon (aka Bon Iver) se retire dans le nord du Wisconsin pour passer trois mois à se ressourcer au coeur de la forêt. De cette période d’isolation et de contemplation, des mélodies commencent à émerger. Le résultat, aussi inattendu que brillant est un disque à la beauté singulière. Vernon se décide à sortir « For Emma, Forever Ago » à compte d’auteur courant 2007. N’attendant pas grand chose, il pressera 500 copies, qui partiront aussi vite que le bouche à oreille le concernant. Aujourd’hui, c’est Jagjaguwar qui prend le relais aux Etats-Unis et 4AD en Europe. « Je reconnais que l’album est assez énigmatique et étrange. J’en prends l’entière responsabilité, vu que je l’ai fait tout seul » assume Vernon.
Trois ans après le virage musical de 22, A Million, Bon Iver aka Justin Vernon revient avec un quatrième opus, i,i. Un titre assez mystérieux pour un album censé clôturer un cycle de saisons. For Emma, Long Ago symbolisait l’hiver, Bon Iver le printemps, 22, A Million l’été (ah bon ?) et ce i,i l’automne. Autant les deux premiers ont donné un renouveau à la folk atmosphérique, autant les deux derniers servent une saveur électronique.
Perdu dans des contrées indéfinies en quête de rédemption, Will Oldham conte l’amour jamais rencontré. L’homme est-il si imparfait pour ne pas mériter l’attention de son adorée ? Son mal-être de ce monde est-il si grand qu’il effraie ?
Cette fois encore au travers de Bonnie ‘Prince’ Billy, l’homme de Palace nous invite à partager ses peines avec pudeur et nonchalance. Point de fureur ici, si ce n’est celle des mots et de sentiments enfouis. Une guitare et une voix suffisent même si Marty Slayton lui fait magnifiquement écho tout au long de Master & Everyone. Déroulant paisiblement son country folk, l’ami Oldham exhume les douleurs secrètes que l’on n’ose affronter par simple peur, celle de se voir tels que nous sommes.
Boy Harsher, la révélation minimale-wave de l’année 2017, présente son nouvel album Careful Après deux premiers albums et une série d’EP (épuisés en quelques semaines), le duo Darkwave du Massachusetts, BOY HARSHER a créé un véritable buzz dans la scène indie américaine. Notamment, le single PAIN est devenu un nouveau…
Le sixième album de Bright Eyes sorti en 2005. Les chansons véhiculent la polarité et l’agitation de l’époque. L’album fait l’objet d’une réédition dans le cadre du projet du groupe de ressortir ses neufs albums accompagnés d’EP “compagnons”.
Le cinquième album de Bright Eyes sorti en 2005. Des morceaux à la douceur analogique passée à travers un filtre de nihilisme et de détachement propre à l’époque agitée à laquelle il correspond. L’album fait l’objet d’une réédition dans le cadre du projet du groupe de ressortir ses neufs albums accompagnés d’EP « compagnons ».
Inclassable et atypique mélange de sonorités rock, chanson et world, « Glück Auf ! » est le chapitre 2 de la collaboration entre Rodolphe Burger et Érik Marchand, qui fait suite au projet « Before Bach » (2004)
Pour célébrer les 20 ans de l’album, le groupe a annoncé une réédition spéciale deluxe et comprendra pour la première fois l’enregistrement studio de la version emblématique de Love « Alone Again Or », sortie lors de la campagne initiale, mais jamais en vinyle.
De plus, la réédition deluxe comprendra un album live bonus « More Cowboys in Sweden » comprenant dix chansons de « Feast of Wire » enregistrées en public au China Theatre de Stockholm en 2003.
Je m’appelle Alex Cameron et je ne vous ferai pas perdre votre temps. Lorsque vous parlez de moi et de mon partenaire commercial, Roy Molloy, vous parlez des cowboys en ligne à l’époque du Far West du World Wide Web. Et si vous voulez savoir ce que nous sommes vraiment, regardez toutes les choses que vous auriez aimé faire différemment. Toutes les choses que vous vous êtes empêché de faire par peur de l’échec ou du rejet. Mettez-les en regard de vos ambitions. Pensez à votre éthique de travail. Nous récupérons l’échec comme un acte de progrès. Un acte d’apprentissage. Quelque chose à célébrer.
Le sens d’un mot peut changer en fonction de la personne qui le prononce ; c’est pourquoi nous présentons des personnages – les formes se transforment et les histoires sont livrées. Il s’agit d’une collection d’histoires de 4 minutes écrites pour vous donner un aperçu des rouages des ambitions ratées et de l’autodestruction. Sans montage, sans censure et sans inhibition. J’ai appris à révéler ce que je veux désapprendre. Je jette une lumière sur les ténèbres et, ce faisant, je comprends l’amour et la compassion. La peur doit être affrontée, et pour apprendre strictement, il faut échouer – encore et encore.