Chinese Fountain est le quatrième album studio du groupe de surf rock de Californie du Sud The Growlers, sorti le 23 septembre 2014 chez Everloving Records. L’album a reçu des critiques généralement positives de la part des critiques, qui l’ont qualifié de « l’un des meilleurs albums de guitare de l’année ».
Sur Miami, deuxième album du Gun Club, on entend toujours cette sorte de blues mais qui serait revu par un CAPTAIN BEEFHEART transposé dans les années 80. On sent aussi une nette influence du psychobilly déjanté des CRAMPS pour une approche malmené du rock’n’roll traditionnel. Mais surtout, des mélodies prenantes à tomber par terre… Ce qui en fait une œuvre, peut être même supérieure au premier opus qui était déjà phénoménal.
Le lien entre le jazz et le hip hop est souvent considéré comme une rue à sens unique. Les producteurs fouillent dans les caisses, échantillonnent des enregistrements de jazz et construisent des boucles pour que les rappeurs établissent leurs rimes. Keith Edward Elam, également connu sous le nom de Guru, a vraiment compris le lien puissant entre les deux genres avec Jazzmatazz. Guru était surtout connu pour être la moitié du duo rappeur-producteur Gang Starr. Offrant des paroles intelligentes et prêtes au combat avec une livraison fluide.
“In Harmony” chez Resonance records, offre un aperçu rare de Roy Hargrove et Mulgrew Miller, tous deux disparus. Leur duo est une orgie de lyrisme et de feeling, devant les publics du Merkin Hall de New York en 2006 et du Lafayette College d’Easton, Pennsylvanie, en 2007.
« Hot buttered soul » est un disque hors-norme, qui fait évoluer et redéfinit un genre. Tout dans ce disque est démesuré, à commencer par la longueur des titres, assez inhabituelle dans la musique soul. Quatre titres, deux par face sur le vinyle original de 1969, pour une durée totale de trois quarts d’heure … Avec une pochette totalement novatrice. Photo (en plongée sur la tête de Hayes) sur laquelle apparaissent tous les codes qui seront récupérés par les rappeurs, et notamment ceux du gangsta rap (le crâne rasé, le torse nu, les lunettes noires, le gigantesque collier en or).
Avec Shaft, la tension de ce décor urbain fait son entrée dans les oreilles du grand public. Et c’est une entrée (en majesté et…) par la grande porte. Une musique construite comme une mise en scène, avec Isaac Hayes aux manettes, pilier du label Stax, S.T.A.X.
Le 25 mars 1970 sortait “Band of Gypsys”, le dernier disque paru du vivant de Jimi Hendrix. « Montrant ce dont Hendrix est capable muni d’une pédale wah-wah, un Fuzz Face, l’Uni-Vibe et l’Octavia, le Band of Gypsys est l’album de la vérité guitaristique. » source : Régis Canselier (Jimi Hendrix, le rêve inachevé)
Sorti à l’origine en avril 1997, First Rays Of The New Rising Sun, fut le 1er album préparé sous la supervision directe de la famille Hendrix. le double album vinyle regroupe 17 chansons dont la création s’étendait de Mars 1968 jusqu’aux sessions finales de Jimi aux Electric Lady Studios en Aout 1970.
Un album qui respire la folk et la country. Piano, guitares, contrebasse, batterie et percussions : le musicien s’est occupé de la quasi-totalité de la mélodie. Pour l’épauler, il a fait appel à la chanteuse de country de Nashville Caitlin Rose, ainsi qu’à sa compagne Mayon Hanania pour les choeurs. Il s’aide aussi de Spencer Cullum III pour la pedal steel, un type de guitare hawaïenne, ainsi qu’à Jon Natchez pour des arrangements de cuivres.
2016 premier album solo du chanteur/guitariste de Blouse, produit par Jacob Portrait d’Unknown Mortal Orchestra. Mac Demarco prête également main forte aux percussions et aux chœurs.
Avec ce deuxième album, toujours chez Big Crown Records, ce son soul folk à la fois simple et éparse du groupe est de retour, mais actualisé avec de nouvelles influences et le challenge de créer de la musique en temps de pandémie mondiale. Le résultat est un nouvel album éponyme plus personnel.
L’un des bluesmen les plus prolifiques, Sam `Lightnin’ Hopkins était également l’un des plus vénérés – un musicien qui a su donner une touche très personnelle au country blues, mais qui pouvait également jouer du boogie à la guitare électrique, ce qui a fait de lui le favori des juke-boxes.
Enregistré à Houston en juillet 1961, Blues In My Bottle est un excellent exemple des talents de conteur d’Hopkins et de sa capacité illimitée à façonner le blues sous toutes ses formes.
Sur le quatrième album de How to Dress Well, Care, Tom Krell chante ce que cela signifie vraiment de se soucier des autres, du monde et de soi-même, avec une voix plus claire et plus profonde que jamais. L’album est un disque pop rayonnant, mais c’est une étape naturelle dans l’évolution de Krell.
Trompettiste iconique, Freddie Hubbard va jouer très tôt avec les plus grands comme Wes Montgomery, Eric Dolphy ou Ornette Coleman. Mais c’est aux côtés d’Art Blakey que ce virtuose va rencontrer le Hard Bop et deviendra l’un des représentants incarnés.
Enregistré entre 1965 et 1966, l’album ‘Blue Spirit’ met en lumière la maîtrise des harmonies de Freddie Hubbard ainsi que la complicité entre le trompettiste et James Spaulding (saxophone / flûte).
« Power fait sonner le punk comme un panier de chatons avant même que le phénomène n’advienne. En tout juste huit titres pour moins de trente-quatre minutes, Raw Power a, purement et simplement, arraché à coups de dents les testicules du punk avant même qu’ils ne poussent. » (Source Benzine Mag)