The Black Keys reviennent avec un 10ème album studio intitulé Delta Kream. Retour aux sources du Blues le long des rives du Mississipi pour le duo auréolé de 6 Grammys. Composé de 11 titres il puise dans l’héritage blues laissé par John Lee Hooker, Junior Kimbrough et propose un hommage appuyé à travers 11 titres à ces artistes qui ont fait l’histoire de ce genre musical et qui ont accompagné Dan Auerbach et Patrick Carney depuis leurs débuts.
Rubber Factory a été enregistré par les Black Keys eux-mêmes, dans une ancienne usine de pneus qu’ils louaient dans leur ville natale d’Akron, OH, sur un magnétophone à bobines avec des bandes recyclées. Il capture parfaitement le son puissant de ce duo batterie-guitare.
Le deuxième album des Black Keys est une incursion continue et énergique dans le blues dépouillé du Delta. Les mélodies simultanées de la guitare et de la voix mettent en valeur le grognement parfait de bluesman de Dan Auerbach et les rythmes traînants de Patrick Carney.
SORTIE INITIALEMENT PREVUE LE 11.03.22 REPORTEE LE 18.03
Sorti initialement en 2005. Blackalicious a produit un disque d’une telle profondeur sonore et d’une telle ambition lyrique qu’il se place fièrement aux côtés des travaux des pères du funk de la Bay Area, Sly Stone et Shuggie Otis, ou des classiques du hip-hop comme « Aquemini » d’Outkast et « Things Fall Apart » de The Roots. The Craft inclus des featurings de George Clinton, Floerty, Lateef The Truthspeeker et Pigean John. Pour les fans de The Roots, Jill Scott, Eryka Badu, Mos Def, Talib Kweli.
Enregistré entre New York, Florence, Copenhague, Los Angeles, Tokyo et Osaka, « Negro Swan » mêle R&B et influences jazz. L’album accueille de prestigieuses collaborations comme celles de Puff Daddy et A$AP Rocky, il traite de problématiques actuelles qui touchent personnellement Blood Orange : l’existence noire et les difficultés au quotidien des personnes queer.
Bon Iver revient avec un troisième album majestueux et avant-gardiste et confirme une nouvelle fois qu’il est un des groupes les plus importants de sa génération. Les dix morceaux de 22, A MILLION se révèlent comme une collection de moments sacrés, de souffrance amoureuse et finalement de salut, entremêlant des souvenirs intenses et des signes révélateurs pour tout ce qui nous semblait n’être que des coïncidences. Si avec son précédent album Bon Iver avait construit une capsule enracinée dans des espaces physiques, avec 22, A MILLION il apprend à se détourner de toute attache matérielle. L’essentiel de l’album a été enregistré et produit à l’April Base Studio à Fall Creek (Wisconsin). Certains morceaux ont été enregistrés à Londres, et d’autres près de Lisbonne, par Justin Vernon et ses plus proches amis, qu’ils soient partenaires de longue date, ou nouveaux collaborateurs.
Bon Iver revient avec ce second opus éponyme, aux titres atmosphériques moins teintés de folk et plus impressionnistes que sur le précédent, et servis par des arrangements plus riches et plus complexes.
A la fin de l’année 2006, Justin Vernon (aka Bon Iver) se retire dans le nord du Wisconsin pour passer trois mois à se ressourcer au coeur de la forêt. De cette période d’isolation et de contemplation, des mélodies commencent à émerger. Le résultat, aussi inattendu que brillant est un disque à la beauté singulière. Vernon se décide à sortir « For Emma, Forever Ago » à compte d’auteur courant 2007. N’attendant pas grand chose, il pressera 500 copies, qui partiront aussi vite que le bouche à oreille le concernant. Aujourd’hui, c’est Jagjaguwar qui prend le relais aux Etats-Unis et 4AD en Europe. « Je reconnais que l’album est assez énigmatique et étrange. J’en prends l’entière responsabilité, vu que je l’ai fait tout seul » assume Vernon.
Trois ans après le virage musical de 22, A Million, Bon Iver aka Justin Vernon revient avec un quatrième opus, i,i. Un titre assez mystérieux pour un album censé clôturer un cycle de saisons. For Emma, Long Ago symbolisait l’hiver, Bon Iver le printemps, 22, A Million l’été (ah bon ?) et ce i,i l’automne. Autant les deux premiers ont donné un renouveau à la folk atmosphérique, autant les deux derniers servent une saveur électronique.
Perdu dans des contrées indéfinies en quête de rédemption, Will Oldham conte l’amour jamais rencontré. L’homme est-il si imparfait pour ne pas mériter l’attention de son adorée ? Son mal-être de ce monde est-il si grand qu’il effraie ?
Cette fois encore au travers de Bonnie ‘Prince’ Billy, l’homme de Palace nous invite à partager ses peines avec pudeur et nonchalance. Point de fureur ici, si ce n’est celle des mots et de sentiments enfouis. Une guitare et une voix suffisent même si Marty Slayton lui fait magnifiquement écho tout au long de Master & Everyone. Déroulant paisiblement son country folk, l’ami Oldham exhume les douleurs secrètes que l’on n’ose affronter par simple peur, celle de se voir tels que nous sommes.
Le groupe de rock’n’roll le plus dangereux de New York, Boss Hog, est de retour avec Brood Star, un MAXI-DISCO de 12 pouces de 12 pouces de quatre chansons, distillé, vivisé, altéré chirurgicalement, lié, dérobé, remixé et mutilé en une amusentable aléatoire Bouche pour leur prochain album complet, Brood X.
Boy Harsher, la révélation minimale-wave de l’année 2017, présente son nouvel album Careful Après deux premiers albums et une série d’EP (épuisés en quelques semaines), le duo Darkwave du Massachusetts, BOY HARSHER a créé un véritable buzz dans la scène indie américaine. Notamment, le single PAIN est devenu un nouveau…
Le tout nouvel album 3 du grand chanteur de soul Charles Bradley, contient son interprétation de Changes de Black Sabbath, acclamée par la critique. L’étoile du chanteur soul Charles Bradley est en pleine ascension depuis la sortie de son premier album très acclamé No Time For Dreaming en 2011, et son ascension s’est poursuivie bien après la sortie de son deuxième album triomphal Victim of Love (2013). Le chanteur, également surnommé The Screaming Eagle of Soul, présente son troisième album très attendu, Changes. L’album porte le nom de sa reprise populaire et fulgurante (SPIN) de la chanson de Black Sabbath.
Charles Bradley a traversé les Etats-Unis du Maine à l’Alaska, enchaînant les petits boulots, chantant et se produisant pendant son temps libre sur plusieurs décennies. Ce n’est qu’en revenant récemment à Brooklyn en 2011, qu’il enregsitre enfin à 62 ans un premier album pour Daptone records. Son timbre se distingue par son côté rugueux et sincère, celui d’un grand bluesman, quelques part entre Wilson Pickett, James Brown et Lee Dorsey ! Magique et intemporel !
Le dernier album vinyle de Charles Bradley, Victim Of Love est sorti il y plus de trois semaines. Une éternité pour le monde de la soul music ? Pas tellement quand on sait que « Black Velvet » a attendu 63 ans pour sortir son premier album, No Time For Dreaming en 2011. Parler d’un album de la maturité pour Charles Bradley serait indécent envers cet homme à l’âge et, désormais, la réputation avancée.
Le sixième album de Bright Eyes sorti en 2005. Les chansons véhiculent la polarité et l’agitation de l’époque. L’album fait l’objet d’une réédition dans le cadre du projet du groupe de ressortir ses neufs albums accompagnés d’EP “compagnons”.
Le cinquième album de Bright Eyes sorti en 2005. Des morceaux à la douceur analogique passée à travers un filtre de nihilisme et de détachement propre à l’époque agitée à laquelle il correspond. L’album fait l’objet d’une réédition dans le cadre du projet du groupe de ressortir ses neufs albums accompagnés d’EP « compagnons ».
Version double vinyle de Lifted Or The Story Is In The Soil, Keep Your Ear To The Ground, le quatrième album du projet Bright Eyes de Conor Oberst. Paru originellement chez Saddle Creek en 2002, l’album fait l’objet d’une réédition dans le cadre du projet du groupe de ressortir ses neufs albums accompagnés d’EP « compagnons ».
Live at the Apollo est un album live de James Brown and the Famous Flames, enregistré à l’Apollo Theater de Harlem et sorti en 1963. La légende raconte que c’est cette performance qui a fait de lui une star du R&B ! Live at the Apollo a été enregistré dans la nuit du 24 octobre 1962 aux frais de Brown. Bien qu’il ne soit pas crédité sur la pochette de l’album ni sur le label, le groupe vocal de Brown, The Famous Flames (Bobby Byrd, Bobby Bennett et Lloyd Stallworth), a joué un rôle important dans le succès de l’album. Visuel original, pochette gatefold et pressage 180 gr.
Pour son 6éme album studio en 1982, Springsteen laisse ses potes du E Street Band, et sort un album intimiste enregistré en 4 pistes en solo acoustique à la maison. En résulte son album le plus profond et intense, un chef d’oeuvre ou les textes sont à pleurer de réalisme
Réédition en vinyle 180 gr de l’unique album studio de Jeff Buckley, décédé tragiquement par noyade à l’âge de 30 ans en novembre 1997 à Memphis. Fils de Tim Buckley, Jeff Buckley après avoir conquis la France, s’apprêtait à faire de même avec les Etats Unis. Le destin en a voulu autrement.
Le premier album de ce groupe soul de Staten Island. Le son du Budos Band penche définitivement vers le funk ouest-africain, mais ils le font en mettant l’accent sur le funk plus que sur l’africain.