Description
Alors qu’il sort à peine de la tournée de In rainbows avec Radiohead, le 2 octobre 2009, Thom Yorke se produit à l’Echoplex de Los Angeles accompagné d’un casting de rêve pour défendre son premier album solo, The Eraser, paru trois ans plus tôt.
Le groupe donne l’année suivante huit représentations aux Etats Unis, et joue pour la première fois un titre inédit, Judge Jury and Executioner en tant qu’Atoms For Peace. Le groupe constitué de Thom Yorke au chant, Flea (Red Hot Chilli Peppers) à la basse, du producteur Nigel Godrich à la guitare/basse/synthés, du percussionniste Mauro Refosco et du batteur de Beck et R.E.M, Joey Waroncker, fait couler beaucoup d’encre.
Medias et fans de Radiohead font courir de nombreuses rumeurs, souvent infondées, sur un éventuel album du groupe. Mais ce n’est que quatre ans plus tard que sortira le premier album d’Atoms For Peace intitulé Amok. Avant de rentrer en studio, le groupe n’avait pas de réelles compositions, il a commencé à improviser dix heures par jour avant qu’un embryon de chanson ne voit le jour. Atoms For Peace est bien plus qu’une superposition de talents, le groupe a écrit de véritables chansons faisant ainsi un bon compromis entre l’envie de Thom Yorke de sortir un album de musique électronique et celle de ses fans souhaitant eux l’entendre chanter.
Amok est le résultat de trois jours de sessions enregistrées chez Flea. Sur cet album, le groupe brouille les pistes, devenant difficile pour l’auditeur de dissocier les instruments joués par le groupe des compositions purement digitales. Souvent comparé à The Eraser, ce nouvel album est bien plus mélodieux et devrait fédérer tous les fans de Radiohead.





