Le sixième album de la talentueuse artiste américaine Sharon Van Etten. On y voit les ténèbres, mais aussi la lumière, et cet équilibre est maintenu par l’étrange capacité de Sharon Van Etten à percer le cœur de ses auditeurs tout en le raccommodant.
La bande originale officielle du documentaire, compilée par le réalisateur lui même Todd Haynes. Un passionnant documentaire consacré au Velvet Underground, le groupe le plus emblématique de New-York des sixties.
« Alluvion », son septième opus (sortie le 25.03.22), aborde avec grâce et gravité la question du deuil : perte de vies humaines et disparition incessante du monde naturel.
Brian Wilson, le cofondateur des Beach Boys, revient aujourd’hui pour nous présenter son nouvel album ‘At My piano’. Sur cet opus, l’artiste revient sur ses pas et revisite les chansons les plus emblématiques de son catalogue dans leur forme la plus pure, lui seul au piano.
Le quatuor mancunien Working Men’s Club est de retour ! Adoubé par Baxter Dury et Fat White Family, le groupe a marqué l’année 2020 avec un premier album éponyme sidérant de maitrise, un cocktail détonnant de punk rock abrasif traversé d’acid house héritée de la Factory. Ils annoncent aujourd’hui la sortie de leur très attendu deuxième album : Fear Fear – à paraitre le 15 juillet via Heavenly Recordings/[PIAS].
Le quatuor mancunien Working Men’s Club est de retour ! Adoubé par Baxter Dury et Fat White Family, le groupe a marqué l’année 2020 avec un premier album éponyme sidérant de maitrise, un cocktail détonnant de punk rock abrasif traversé d’acid house héritée de la Factory. Ils annoncent aujourd’hui la sortie de leur très attendu deuxième album : Fear Fear – à paraitre le 15 juillet via Heavenly Recordings/[PIAS].
Le nouvel album de Zola Jesus, Arkhon, trouve de nouvelles façons de relâcher cette douleur submergée, bloquée. Sur ses précédents albums, elle avait largement joué le rôle d’auteure, façonnant méticuleusement chaque aspect du son et de l’aspect de Zola Jesus. Cette fois-ci, elle a réalisé que son habituel besoin de contrôle l’excluait de son art. Elle a donc demandé de l’aide, ce qu’elle n’avait jamais fait aussi tôt dans la vie d’un album.
ANNA c’est d’abord le projet solo de musique lo-fi sur cassette monté par le tourangeau Martin Vidy, inspiré par Anna Karina, Daniel Johnston ou Tim Presley, avant de devenir un quatuor en 2017 et d’élargir ses influences. « Guilt » leur nouvel album paru fin 2021 est particulièrement réussi.
C’est un deuxième album très personnel que nous délivre ici Victor Gobbé, alias Lesneu. Entre nostalgie des temps anciens et amours éphémères, ce disque aussi coloré que sa pochette nous invite au voyage.
Ca devait arriver. Ils sont allés trop loin. A force de digger à rebours dans les bacs italo-disco, ils ont fini par remonter jusqu’à l’antiquité. Résultat, ça chante en latin. Pas le latin de cuisine de l’abominable Era, non non, du bon vieux latin des familles, qu’ils sont allés pomper chez Erasme, en débauchant une néo-latiniste pour séquencer ses adages proprement.
Révélé au grand public aux côtés de Myth Syzer, Ichon et Bonnie Banane sur ‘Le Code’, Muddy Monk impose depuis sa Suisse natale un univers fin et synthétique qui participe grandement au renouveau de la chanson francophone.
Le label Turbo Recordings présente sa plus grande réalisation à ce jour, une relecture de l’album culte de Plastikman alias Richie Hawtin de 1998, Consumed, par le génie Chilly Gonzales. Transformé en une nouvelle composition collaborative entre les deux artistes canadiens, ce projet a mis trois décennies à se réaliser et il est désormais mis au monde par le producteur exécutif Tiga.
Universounds, HMV Record et le label 180g s’associent pour une sortie exceptionnelle : du hard bop flamboyant au free jazz, en passant par du spiritual Jazz avec des solos de saxophone introspectifs et les sons massifs des big bands. Le célèbre expert japonais du jazz Yusuke Ogawa présente une collection essentielle de 14 titres « WaJazz » tirés du richissime catalogue de “Nippon Columbia”. Avec Jiro Inagaki, Minoru Muraoka, Hiroshi Suzuki, Akira Ishikawa, Hozan Yamamoto, Takeshi Inomata, et bien plus encore !
The Jacket, le sixième album de Widowspeak, un disque actuel et nostalgique aux chaudes textures vocales, entre slowcore, dream-pop, indie rock et outlaw country.
Quelque part entre les ballades de Mazzy Star et la pop rêveuse de Beach House…
Soul Jazz Records réédite « Color Him Father », un superbe album de musique soul, funk, gospel et rhythm and blues qui a changé le cours de la musique au cours des cinquante dernières années !
Les Winstons se sont formés à partir des groupes de soutien d’Otis Redding, de Curtis Mayfield et des Impressions avant qu’ils ne soient sous les feux de la rampe et sortent leur 1er (et unique) album, « Color Him Father »en 1969 , sur Metromedia Records . L’album, épuisé depuis plus de 50 ans est réédité chez Soul Jazz en vinyle et en CD. Il inclut les hits : ‘Color Him Father’, ‘Amen, Brother’ et bien plus encore ! Le titre ‘Amen, Brother’ contient LE break de batterie le plus samplé de l’histoire de la musique (plus de 5000) et il a façonné l’histoire de la musique électronique depuis sa création en 1969. L’album entièrement remasterisé est présenté dans une pochette et un design d’origine reproduits à l’identique et est accompagné de 4 titres bonus supplémentaires que le groupe n’a sortis qu’en single.
Après ses déclarations d’amours à la vie citadine sur City Music, Kevin Morby a sorti deux albums empreints de spiritualité avec Oh My God en 2019 et Sundowner il y a deux ans. L’auteur et multi-instrumentiste se penche sur ses souvenirs de jeunesse au nord-est du Texas, questionne le temps qui passe, la famille et ses rêves perdus sur sa nouvelle œuvre This Is A Photograph attendue le 13 mai via Dead Oceans.
Après ses déclarations d’amours à la vie citadine sur City Music, Kevin Morby a sorti deux albums empreints de spiritualité avec Oh My God en 2019 et Sundowner il y a deux ans. L’auteur et multi-instrumentiste se penche sur ses souvenirs de jeunesse au nord-est du Texas, questionne le temps qui passe, la famille et ses rêves perdus sur sa nouvelle œuvre This Is A Photograph attendue le 13 mai via Dead Oceans.
Un nouveau mini-album du trio new-yorkais qui condense leur énergie et noirceur en se montrant plus vulnérable. Mixé par Claudius Mittendorfer (Tennis, Parquet Courts, Johnny Marr etc..)
Le premier disque contient une version remasterisée du chef-d’œuvre incontestable du groupe enregistré par Steve Albini: Discipline Through Sound. Le second disque contient des démos de l’album, des titres originellement sortis sur un split CD avec OXES pour la première fois disponibles sur vinyle ainsi que deux morceaux inédits. Cette anthologie est accompagnée d’un imposant livret 12 pages contenant des photographies d’époque, une préface rédigée par Steve Albini et des textes écrits par des collaborateurs et amis proches du groupe. Le tout est emballé dans un packaging en aluminium scellé, marque de fabrique du label Computer Students.
Des lueurs orientalistes au sein d’un film digne d’un polar noir : voici les bases de VTC, nouveau disque de Blundetto paru sur Les Rythmes Ruban, le label tout juste lancé par Max Guiguet et par Jérôme Caron.
Dans « La Chapelle », les guitares évoquent, non plus cette fois l’océan Pacifique, mais bien le sud de la Méditerranée (Blundetto, ces dernières années, avait souvent été aperçu en Jamaïque, avec Biga* Ranx ou Ken Boothe par exemple).
Produit par Brian Eno en 1978, The Pavilion Of Dreams fait jeu égal avec un autre chef-d’œuvre minimaliste également sorti cette année-là, Music For 18 Musicians de Steve Reich. Les superbes pièces de Budd révèlent une légèreté qui attire l’auditeur, tandis que des voix sublimes flottent comme dans un rêve récurrent. Avec la participation de la saxophoniste Marion Brown et des multi-instrumentistes Gavin Bryars et Michael Nyman, The Pavilion Of Dreams reste un cours magistral de timbre exquis et de texture chatoyante.
Joey Burns et John Convertino de Calexico reviennent en 2022 avec leur lumineux 10e album studio, El Mirador; un phare kaléidoscopique et plein d’espoir de rock, de ruminations bluesy et de sons latino-américains.
Au menu d’un disque hors-norme : fables déglinguées, aphorismes ubuesques et saillies effrontées sur fond de nostalgie pop. Les deux comparses de longue date promènent le rap français là où il n’a encore jamais mis les pieds. Ils sont cools. Trop cools.
Alliant la voix sublime de la chanteuse iranienne Sussan Deyhim avec la sorcellerie électronique du compositeur américain Richard Horowitz, Desert Equations mêle merveilleusement les sources diverses qui ont nourri le duo : leurs expériences à l’épicentre de la scène avant-gardiste new-yorkaise du début des années 80, la connaissance intime que Sussan avait acquise de la musique traditionnelle persane, et le riche background de Richard dans l’électronique, les musiques populaires du Maroc et le jazz (il a côtoyé le milieu des expats freejazz américain à Paris durant les seventies et y a joué avec Braxton, Alan Silva et Steve Lacy).