Le premier album de Beirut depuis Gallipoli (2019) et le premier sur Pompeii Records, le propre label de Zach Condon. Enregistré en Norvège en isolement après une période de crise physique et mentale, le disque reflète magnifiquement cette vulnérabilité et la beauté des paysages impressionnants dont il s’est imprégnés pendant son séjour.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants – vinyle ice breaker
Homecoming Live nous fait revivre la performance historique au festival Coachella en 2018, qui rendait hommage aux universités américaines traditionnelles Noires (HBCUs).
Cet album immersif et méticuleusement conçu est l’expression d’une cohésion persistante que Blonde Redhead a affinée au cours de ses trois décennies d’existence.Son titre est un clin d’œil au rituel, souvent sacré, du partage d’un repas avec ceux que l’on aime.
Cet album immersif et méticuleusement conçu est l’expression d’une cohésion persistante que Blonde Redhead a affinée au cours de ses trois décennies d’existence. Son titre est un clin d’œil au rituel, souvent sacré, du partage d’un repas avec ceux que l’on aime.
Tout au long des dix titres de leur nouvel album « Let There Be Music », vous pouvez entendre l’espace que Bonny Doon s’est accordé depuis « Longwave », leur album culte qui a fait l’effet d’une traînée de poudre en 2018.
Version vinyle rouge de Bright New Disease, l’album collaboratif entre le groupe de sludge doom japonais Boris et les américains d’Uniform. Un disque qui capture l’exploration intrépide et la puissance débridée de leurs performances live.
En juillet 2022, un mois seulement avant que la mort de Jaimie Branch ne provoque une onde de choc dans le monde entier, la trompettiste et compositrice se trouvait à Chicago, dans les studios d’International Anthem (IARC), où elle mettait la dernière main à un album. Il s’agit d’une suite musicale qu’elle a composée et enregistrée avec son ensemble phare, Fly or Die, au cours d’une résidence au Bemis Center for Contemporary Arts d’Omaha, dans le Nebraska. Dans son sillage, l’album était presque terminé, il ne restait plus qu’à peaufiner le mixage, les titres définitifs et la pochette.
Buddy Guy était une légende de la guitare des décennies avant la sortie de « Damn Right I’ve Got The Blues » (il a joué avec Muddy Waters en tant que guitariste attitré chez Chess Records dans les années 60), mais lorsque ce grand disque est sorti en 1990, il est resté au premier plan du blues depuis lors.
L’album contient une superbe version de plus de huit minutes du standard du blues de 1952 d’Eddie Boyd « Five Long Years », « Where Is The Next One Coming From » de John Hiatt (avec Mark Knopfler), « Early In The Morning » avec Eric Clapton et Jeff Beck, et l’hommage poignant à son ami Stevie Ray Vaughn, « Remembering Stevie », qui prouve que Buddy Guy n’a rien perdu et qu’il a encore beaucoup de choses à apprendre aux plus jeunes.
Version vinyle vert de Frontier’s Edge, le nouvel EP de l’énergique Budos Band. Première sortie du groupe depuis qu’ils ont quitté Daptone Records pour rejoindre Diamond West Records, fondé par les membres du groupe Thomas Brenneck et Jared Tankel.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Version vinyle couleur barbe à papa (+ poster et sticker) de Daydreamer, le quatrième album de l’artiste californienne Molly Burch qui fait le lien entre l’adolescente de treize ans qu’elle était et la femme qu’elle est devenue. Grâce au producteur Jack Tatum (Wild Nothing), le disque se targue d’une production plus limpide et pop que jamais.
‘Dear Departed’, le deuxième album de Sam Burton, est né d’une période de renaissance. Après avoir quitté la vie qu’il avait construite à Los Angeles, il rentre quelques mois en Utah pour aider un ami à construire sa maison. Et ce fut une véritable métaphore de vie pour l’artiste : « C’était un retour à la maison.
l’ex-membre fondateur d’arcade fire s’entoure d’un quatuor pour un nouvel album puissant. Des paysages émotionnels à grande échelle, avec des harmonies à la fois belles et dissonantes, avec Miles Francis (antibalas, sharon jones, angélique kidjo…).
Enregistré en 1967 au mythique Van Gelder Studio, ‘Soul Drag’ sort en décembre 1968. Pour cet opus, l’artiste est entouré d’un quintet sur lequel on retrouve quelques sommités tels que Sonny Red (saxophone), Cedar Walton (piano), Walter Booker (contrebasse) et Billy Higgins (batterie). Les influences blues de cet album en font une œuvre d’une modernité absolue.
Version vinyle bleu The Greater Wings, le quatrième album de l’auteure-compositrice américaine Julie Byrne et le premier en six ans. Des méditations folk orchestrales aux ballades au piano, en passant par l’euphorie lumineuse et synthétisée, le disque se penche sur des atmosphères à la fois expansives et intimes. Pour les fans de Weyes Blood, Perfume Genius, Jessica Pratt, Alex G, Aldous Harding, Lana Del Rey, Joni Mitchell, Joan Baez.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
C’est toujours avec le même plaisir qu’on écoute un nouvel opus de Cake, et ce n’est pas ce Comfort Eagle qui nous fera dire le contraire. Et comme d’habitude, un large sourire farceur plane au-dessus de cet album, emportant dans ses éclats les réminiscences folk ou hip-hop qui ont toujours accompagné la formation. Et s’il a toujours été difficile de trouver des filiations et autres influences applicables à cette étrange formation californienne, c’est justement parce ses influences viennent de partout en général et de nulle part en particulier. Synthétisant les mélopée funky de Sly & the Family Stone, les mélodies pop des Beach Boys, ou les guitares stridentes et déchirées de Weezer, Comfort Eagle est un album changeant, naviguant entre des atmosphères tantôt lourdes et tantôt légères, ne manquant cependant pas de balancer quelques titres accrocheurs comme « Short Skirt/Long Jacket », déjà paré pour faire un carton. Entre des arrangements de trompettes latines ou quelques pizzicati façon musique cubaine (« Comfort Eagle »), la musique de Cake, simple, harmonieuse et belle, résonne comme un souffle d’air frais face à un rock classique campé sur ses attitudes bruyantes et tapageuses.
En novembre 2022, Cat Power est montée sur la scène du Royal Albert Hall de Londres pour rejouer le légendaire concert « Royal Albert Hall » de Bob Dylan, durant lequel l’artiste « est passé à électrique », jouant la seconde moitié du spectacle avec une guitare électrique. Exaspérant de nombreux puristes du folk, dont l’un a même crié « Judas ! » à l’époque.
En novembre 2022, Cat Power est montée sur la scène du Royal Albert Hall de Londres pour rejouer le légendaire concert « Royal Albert Hall » de Bob Dylan, durant lequel l’artiste « est passé à électrique », jouant la seconde moitié du spectacle avec une guitare électrique. Exaspérant de nombreux puristes du folk, dont l’un a même crié « Judas ! » à l’époque.
Version vinyle transparent de I Don’t Want You Anymore, le quatrième album de Cherry Glazerr, groupe de rock de Los Angeles. Co-produit par Clementine Creevy et Yves Rothman (Yves Tumor), c’est un disque de rock qui expose cœur et âme et réimagine ce que le groupe est et peut être.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Obliques et Atmospheric sont très heureux de vous présenter leur nouvel album « Golden Apples of the Sun ». Il est le fruit d’une collaboration étroite entre Suzanne Ciani et Jonathan Fitoussi.
Version vinyle bleu splatter vert de Barely Real, l’EP de Codeine sorti en 1992. Six chansons qui comprennent les derniers enregistrements du batteur Chris Brokaw avec le groupe, la guitare bruyante de Jon Fine (Bitch Magnet) et un arrangement de piano solo de David Grubbs (Bastro).
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Version vinyle transparent splatter noir de Frigid Stars, le premier album de Codeine, groupe de rock indé new-yorkais culte, sorti en 1991. Un chef-d’œuvre déprimant de voix feutrées, de guitares noise et de batteries punitives, dans lequel on trouve les prémices du mouvement slowcore.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Version vinyle transparent splatter blanc de The White Birch, le deuxième et dernier album de Codeine sorti en 1994. La guitare de John Engle alterne entre le son cristallin et le sludge, et la basse distordue de Stephen Immerwhar flotte au-dessus de la batterie punitive du nouveau venu Doug Scharin (Rex, June of 44).
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Traneing In était le résultat d’une seule session enregistrée le 23 août 1957, qui a produit tous les airs de l’album et présente Coltrane dans un format de quatuor soutenu par Red Garland au piano, Paul Chambers à la basse et Art Taylor à la batterie.
A l’occasion de son 25ème anniversaire, la marque Staubgold est fière de présenter Velvet Serenade. Lee Ranaldo de Sonic Youth et le non-conformiste français Pascal Comelade font revivre The Velvet Underground – une réinvention non nostalgique d’un héritage musical qui emmène un passé influent dans le futur.
Live at the Harlem Square Club, 1963, est le 14ᵉ album, et second album live, du chanteur de soul Sam Cooke, enregistré lors d’un concert à Miami au début de l’année. Il fait figure de classique, dans sa tension et l’émotion que le chanteur, libre, dégage.
En association avec 180 Proof Records de DJ Amir, BBE Music réédite « Clap Clap ! The Joyful Noise’, un joyau inédit du fondateur de Strata Records, Kenny Cox. En 1974, Strata Records Inc. était bien connu à Détroit pour sa galerie d’art, sa salle de concert et son label, produisant des disques d’artistes comme Kenny Cox et Lyman Woodard.
Version vinyle seaglass wave de Cut Worms, le troisième album éponyme de Max Clarke, auteur-compositeur-interprète et musicien de Brooklyn, sur lequel il poursuit son exploration de l’essentialisme pop. Une collection compacte d’hymnes à la rêverie, qui présente la participation de The Lemon Twigs et Rick Spataro (Florist).
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.