L’ ex-leader des Screaming Trees, ami de Kurt Cobain, muse masculine pour bon nombres de rockeurs en herbe, mais aussi passionné de blues et de folk, s’ illustre ici dans l’ un de ses plus beaux habits : celui d’ un poète écorché mais jamais à court d’ idées subtiles et lumineuses.
Straight Songs of Sorrow est le douzième et dernier album studio du chanteur américain Mark Lanegan.Il est sorti via Heavenly Recordings le 8 mai 2020.
Avec Straight Songs Of Sorrow, Mark Lanegan tente de sauver son âme dans un exercice d’équilibre entre clarté et obscurité. Un aveu sur sa quête de la décadence, de dépravation, du tout et du rien. (Benzine mag)
Réédition de cet album en quartet de Yusef Lateef, paru en 1965 sur le label Impulse. pMastering analogique à partir des bandes originales, pressage vinyl 180 grammes chez Third Man records.
Sur ce disque Lateef joue du saxophone d’une manière vraiment magistrale, tantôt avec un ton vif et impulsif et maintenant avec une élégance raffinée avec des harmoniques orientales.
The Miseducation of Lauryn Hill est le premier et le seul album studio de Lauryn Hill sorti le 25 août 1998 sur le label Ruffhouse. L’album fut nommé dix fois aux Grammy Awards en 1999 et gagna cinq prix, dont celui du meilleur album de l’année. En date de 2008, l’album s’est vendu à plus de 18 millions de copies à travers le monde.
Décrit comme un mélange de dance-punk, new wave, post-punk, synthpop et art rock, American Dream est un album abouti qui a été salué par la presse spécialisée à sa sortie.
Il s’agit d’un excellent faux album live, avec le groupe live, joué en direct, mais pas devant des gens ou quoi que ce soit d’autre. Dans l’esprit de « Peel Sessions », on y retrouve de nombreuses chansons favorites du LCD comme All My Friends, Us V. Them, I Can Change, et Daft Punk Is Playing At My House.
Après une poignée de singles dance-punk qui ont fait parler d’eux sur DFA Records, le producteur et cofondateur du label James Murphy a sorti le premier album complet éponyme sous la bannière LCD Soundsystem en 2005.
Deux ans après le premier album éponyme de LCD Soundsystem, qui a fait se ruer les indie-scenesters sur le dancefloor, le groupe dirigé par le producteur de dance-rock James Murphy sert un nouveau cocktail de punk, de dance et de funk avec Sound of Silver. Les synthés analogiques, les lignes de basse, les guitares et les excursions de falsetto de Murphy constituent une fois de plus la base à laquelle s’ajoutent des éléments nouveaux et étranges, comme les voix fortement chorales qui suggèrent un masquage à l’envers dans le morceau d’ouverture « Get Innocuous » et les harmoniques captivantes que la claviériste Nancy Whang fait rebondir sur les voix de Murphy sur « Someone Great ». Si cet album a sa propre version de « Daft Punk Is Playing at My House », c’est bien « North American Scum », une tempête contagieuse qui rejette l’Europe comme un endroit où « les bâtiments sont vieux et où il y a beaucoup de mimes ». De telles lignes sont la preuve que la musique de LCD préfère se ridiculiser elle-même plutôt que de tomber dans le genre de prétention et de nostalgie qu’elle ne cesse de dénoncer.
Il y a quelques termes qui sont jetés librement, dont deux sont légende et rétro-soul. L’un d’eux convient à la main et au gant de Lee Fields, l’un d’entre eux ne convient pas du tout. Très peu de gens dans la musique ont à la fois gagné le statut de légendaire et continuent de le solidifier. 50 ans dans le jeu et ne faisant que s’améliorer, gagner plus de fans et faire évoluer son son sur chaque album, Lee est en fait une légende vivante. Cela nous amène à l’utilisation abusive du terme « soul rétro » quand on parle de M. Fields. Vous n’avez pas besoin de chercher bien loin pour trouver une jeune génération imitant l’essence et les styles d’une époque qu’elle n’a connue qu’à travers la musique et les films. Il semble injuste de taguer Lee avec un terme qui implique l’imitation alors qu’il fait partie de la génération qui a réellement défini le genre. Simple et clair, ce n’est pas ça. « Special Night » est une masterclass sur la musique soul d’hier et d’aujourd’hui.
Songs for the General Public est le troisième album studio du groupe de rock américain The Lemon Twigs. Il est sorti le 21 août 2020 par 4AD. Il a été coproduit par Jonathan Rado du groupe de rock indépendant Foxygen.
L’album phare des Lemonheads, « It’s A Shame About Ray » est réédité avec amour pour son 30e anniversaire. Cette réédition, attendue depuis longtemps, comprend des titres supplémentaires avec, notamment, un morceau inédit de la session KCRW de 1992 intitulé « My Drug Buddy », avec Juliana Hatfield. Sur la face B, on retrouve des singles comme « It’s A Shame About Ray » et « Confetti », un morceau de l’EP « Mrs. Robinson/Being Round », ainsi que des démos publiées pour la première fois sur vinyle.
Deuxième album du collectif « B.M.E. » mené par le musicien/artiste multimédia Damon Locks paru sur International Anthems en 2021.
Conçu à l’origine comme un support pour le travail de collage sonore de Damon Locks, artiste/activiste multimédia basé à Chicago, le Black Monument Ensemble (BME) est passé d’une mission solo à un collectif dynamique d’artistes, de musiciens, de chanteurs et de danseurs travaillant avec des objectifs communs de joie, de compassion et d’intention.
Le BME est un collectif véritablement multi-générationnel, dont les membres ont entre 9 et 52 ans. Parmi les membres figurent des instrumentistes tels que Angel Bat Dawid et Ben LaMar Gay.
Da Capo est le deuxième album du groupe américain Love, sorti début 1967. Il est cité dans l’ouvrage de référence de Robert Dimery Les 1001 albums qu’il faut avoir écoutés dans sa vie.
Forts de leurs 25 ans d’existence, Low sortiront le 14 septembre ‘’Double Negative’’, leurs disque le plus audacieux et le plus abrasif (et paradoxalement le plus stimulant). En prélude de la sortie de l’album, Low partagent aujourd’hui une vidéo de 15 minutes en trois parties qui présente les trois premiers titres de l’album.
Le KID de Pittsburg commence à rapper dès 14 ans, avant de sortir ses 1ères mixtapes et vidéos qui le propulsent sur le devant de la scène dès 2010, pour devenir une des figures les plus intéressantes du rap US, combinant influences old-school et alternatives, avec succès de megastar du hip-hop.
Après son 1er album Blue Slide Park en 2011 (#1 Billboard), Watching Movies With The Sound Off en 2013 (#3 Billboard), GO:OD AM en 2015 (#4 Billboard), et The Divine Feminine (#2 billboard) en 2016, projet tout autant encensé par la critique, qui incluait en autres des collaborations avec Anderson .Paak, ou Kendrick Lamar, Mac Miller marque aujourd’hui son grand retour !
Rencontre pour un seul et unique album de Layne Staley d’Alice In Chains au chant, Mike McCready de Pearl Jam à la guitare, John Baker Saunders de The Walkabouts à la basse et Barrett Martin des Screaming Trees à la batterie, Mad Season était la main tendue de McCready à Staley pour l’éloigner de ses addictions le temps d’un disque. Si l’échec sanitaire de la manoeuvre sera total, « Above » obtiendra ses galons d’album culte à la force de titres mid-tempo ambiancés absolument sublimes.
Album remasterisé exclusivement pour cette édition.
Pressage double vinyle audiophile 180 grammes.
Inclus trois titres inédits.
Sorti en mars 2004, Madvillainy est issu de la collaboration entre le rappeur MF DOOM, personnage mystérieux et emblématique du rap underground, et le beatmaker prolifique Madlib. L’album s’impose rapidement comme un des meilleurs albums de rap US des années 2000 (voire de tous les temps). Focus sur cette pièce majeure du puzzle Hip Hop.
Makaya McCraven présente une nouvelle œuvre ambitieuse – Universal Beings -, point culminant des concepts conçus par In The Moment, et son travail le plus élégant et le plus articulé à ce jour.
Universal Beings E&F Sides présente quatorze nouveaux morceaux de beat music organique extraits des sessions originales, préparés et produits par Makaya comme bande sonore du film documentaire Universal Beings réalisé par Mark Pallman.
« Male Gaze, supergroupe de punk bizarre, est de retour avec neuf nouveaux morceaux d’abus de pédales d’octave et de crooners sulfureux avec King Leer, leur premier long-papier à proprement parler. Cette fois-ci, le trio composé de Matt Jones (ex-Blasted Canyons), Mark Kaiser (ex-Mayyors) et Adam Cimino (ex-The Mall) a ajouté Adam Finken, ancien membre de Blasted Canyons et Tiaras, à la seconde guitare et Chris Woodhouse, ingénieur résident de Castle Face, derrière les platines pour faire grimper la skuzz-pop de Gale Maze, sorti l’année dernière, en territoire de murs sonores brutaux. Sur King Leer, les garçons jouent avec leur côté plus pop, dosant les chansons avec des mélodies sirupeuses et une nouvelle introspection sincère, mais ils ne sont absolument pas tendres avec nous – ces morceaux, enterrés sous des montagnes de fuzz et martelés avec une fureur alimentée par l’Adderall, ont assez de punch sonore pour vous secouer le cerveau ». -Luca Cimarusti, Chicago Reader.