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23,50€
Radio Ethiopia est le deuxième album studio du Patti Smith Group, sorti en octobre 1976, dédié à Arthur Rimbaud et Constantin Brâncuși.
Jack Douglas, qui a travaillé pour les New York Dolls, Alice Cooper, Blue Öyster Cult ou Aerosmith, est choisi comme producteur, avec la mission de lui donner un ton plus commercial que le précédent.
Le verso de la pochette contient les mots « Free Wayne Kramer », en soutien au guitariste du MC5 emprisonné pour possession de drogues.
Le disque surprend ses auditeurs. Les chansons Radio Ethiopia, enregistré live en août, et Abyssinia sont une longue cacophonie qui dure douze minutes. Ni l’album ni les trois singles qui en sont issus ne rencontrent le succès espéré.
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39,90€
SORTIE LE 24.11.2023
Cette nouvelle édition du 30e anniversaire comprendra le titre « Gz Up, Hoes Down », qui ne figurait pas sur l’album depuis son pressage en 1993. Pour les nouveaux et les anciens fans, il s’agit de la version définitive de l’album classique qui a lancé la carrière solo de Snoop et a contribué à définir le son de Los Angeles.
EDITION 30 eme ANNIVERSAIRE DOUBLE ALBUM VINYLE « CLEAR »
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En cours de réapprovisionnement
28,50€Enregistré en direct, dans son intégralité, par Steve Albini dans son studio Electrical Audio à Chicago, Illinois, avec le même groupe qui a joué sur l’album live Mi Sei Apparaso Come Un Fantasma Italian, c’est l’album où les fans de Songs : Ohia opère un changement radical par rapport à l’univers dominant de la chambre à coucher des jeunes hommes blancs, solitaires, sensibles et surqualifiés, et trouve refuge dans les masses en étant adopté par les chauffeurs routiers, les filles de sororité et les joueurs de hockey du monde entier. En effet, il s’agit du premier album de Songs : Ohia avec plus d’une chanson qui pourrait être jouée dans un club de strip-tease ou un spectacle de camions monstres. Au milieu des slow jams mid-tempo, on trouve quelques-uns des morceaux les plus entraînants que Songs : Ohia ont enregistré.
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27,00€
Un disque sublime, qu’on connaisse ou pas le contexte derrière l’album. C’est parfois mystique, cryptique, mais c’est surtout extrêmement doux et tendre. C’est un disque de deuil pas sordide pour un sou. Et il est tellement bien fait que si on écoute la première piste, on a toujours envie de l’écouter jusqu’au bout.
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33,90€
Composé comme un poème géographique, Michigan suit une expédition métaphysique à travers les idiosyncrasies de l’Amérique moyenne. S’inspirant d’anecdotes personnelles, de l’histoire régionale et de l’héritage de l’État, Stevens mélange les griefs sociaux et politiques avec des chansons sur les motoneiges, Henry Ford, les émeutes raciales de Détroit et l’amour.
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23,50€
Le premier album des Strokes est un vrai disque de rock’n’roll : fort en gueule, arrogant, teigneux et séducteur. En une douzaine de chansons brutes, conçues sur des bases pop archi-traditionnelles excédant rarement les trois minutes de temps, le gang se plaît à ressusciter le mythe du New York de 1977.
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33,50€
Avec plus d’assurance et de sérieux, le groupe a annoncé The New Abnormal comme un retour consistant, réel et bien dans ses baskets, qui plus est illustré par l’œuvre Birds on Money de Jean-Michel Basquiat. Pour le coup : la joie s’est mêlée à un peu d’inquiétude. Ok, les Strokes sont de retour, pour de bon avec Rick Rubin à la production.