« Les Wallflowers ont toujours été un moyen pour moi de faire de grands disques de rock’n’roll » Jakob Dylan (chanteur des Wallflowers)
Le rock’n’roll est souvent difficile à définir, ou même à trouver, en ces temps de fracture musicale. Mais pour paraphraser un vieux dicton, on le reconnaît quand on l’entend. Et on l’entend toujours avec The Wallflowers. Au cours des 30 dernières années, le groupe dirigé par Jakob Dylan s’est imposé comme l’un des groupes les plus dynamiques et les plus déterminés du rock. « Exit Wounds », fidèle à son titre, est une ode aux personnes – individuelles et collectives – qui ont, pour le moins, traversé des épreuves. « Je pense que tout le monde – quel que soit le côté de l’allée où l’on se trouve – où que l’on aille ensuite, nous emportons tous beaucoup de blessures de sortie avec nous », dit Dylan.
Trois ans après avoir bouleversé la planète avec son épique Lost in the Dream, Adam Granduciel revient avec un nouvel album qui creuse le même sillon fertile, mais avec d’autres outils.
Adam Granduciel et ses compères redorent le blason d’un le rock à tendance 1980 avec leurs compositions rêveuses et intemporelles convoquant aussi bien Bob Dylan que Bruce Springsteen en passant par Neil Young et Townes van Zandt et Tom Petty.
Vous pensez que Lost In The Dream n’était pas assez ? Voilà que le groupe renchérit avec son petit frère intitulé A Deeper Understanding, premier album signé sur la major Atlantic Records.
La réédition du premier album de M. Ward, singer-songwriter et guitariste de Portland sorti à l’origine en 1999. Un album magnifique qui ne manquera pas de faire pâmer les aficionados de lo-fi et d’americana, sans parler des fans de M. Ward, anciens et nouveaux.
Le nouvel album de l’une des voix les plus uniques et les plus polyvalentes de la musique américaine moderne. Une pépite ! Auteur, producteur et interprète prolifique, M. Ward s’est imposé comme l’une des voix les plus uniques et les plus polyvalentes de la musique américaine moderne. Le nouvel album de…
Le cinquième album de M. Ward sorti à l’origine en 2006. Ses chansons racontent des histoires de la vie, de l’amour et de la bonté humaine avec une grâce innée et particulière, aidée en partie par les amis très talentueux qui le rejoignent sur ce disque, comme Neko Case et Mike Mogis, ainsi que Jim James (My Morning Jacket), un vieux copain de tournée des Monsters of Folk.
L’un des albums les plus appréciés de la discographie de Merge, Transfiguration of Vincent est à la fois un excellent point de départ pour s’initier à M. Ward et une œuvre profonde et étonnamment réalisée à laquelle les auditeurs reviennent sans cesse depuis 20 ans.
Le quatrième album de M. Ward sorti à l’origine en 2005. Écouter l’ode de M. Ward aux beaux jours oubliés de la radio, c’est un peu comme prendre une grande bouffée d’air poussiéreux du Dust Bowl, mais son charme est ancré dans le sirotage d’une limonade d’été plutôt que dans l’obsession de la Grande Dépression.