Evil Empire est le deuxième album de Rage Against the Machine, sorti en 1996. Le nom Evil Empire vient de l’appellation de l’Union soviétique pendant le mandat de Ronald Reagan. Dans le cas du disque de Rage Against the Machine, fidèle à ses convictions, l’Empire du Mal désigne les États-Unis.
Un album composé entièrement de reprises jouées par RATM, qui l’aurait cru ? C’est pourtant bel et bien le cas ! « Renegades » est une vraie boule de nerfs.
Réédition vinyle : Avec RATM, le rock fusion jusque-là mijoté aux petits oignons par les Red Hot Chili Peppers change de ton et prend des allures encore nettement plus épicées. En mixant rudement un rap incisif aux textes très politiques (dont une violente diatribe contre la guerre du Golfe, premier épisode !) avec les riffs d’un métal tétanisé (hérité des grands maîtres du genre) et les rythmiques d’un funk de tranchée, le chanteur Zack de la Rocha et le guitariste Tom Morello enregistrent en 1992 le manifeste d’un rock extrême qui va faire école et développer bien des avatars. Des années plus tard, ce disque incandescent reste une référence !
Avec la voix inimitable de Zack de la Rocha et la puissance des guitares de Tom Morello, le quatuor de Los Angeles gravit les échelons du crossover depuis 1992.
Abordant des thèmes comme le nazisme, la violence, la prostitution masculine, la drogue ou encore l’amour avec dérision et sarcasme, les Ramones sont considérés comme ayant popularisé la culture punk rock avec une musique minimaliste et rapide sur trois accords. L’album influence de nombreux groupes comme les Sex Pistols et le groupe The Clash, mais aussi des genres musicaux tels que le heavy metal, le thrash metal, l’indie pop, le grunge et le post-punk.
Rocket to Russia est le troisième album du groupe new-yorkais Ramones, sorti en novembre 1977. Ce disque offre la quintessence du style Ramones, mélange explosif de mélodies empruntées aux débuts du rock ‘n’ roll, à la surf music, et d’un son brutal, enragé, typiquement punk.
Percussionniste guadeloupéen, maître es-percussions, Roger Raspail a servi de son talent plusieurs générations d’artistes, de Pierre Akendengue à Cesaria Evora, de Chico Freeman à Papa Wemba, de Kassav à Anthony Joseph. Donnant de nouvelles couleurs sonores à l’épopée des musiques noires sans jamais altérer son identité musicale, il s’est rarement mis en avant. C’est donc autour de ce projet que le Chantier le sollicite : celui d’une variation autour du « Ka ». Ka qui est autant tambours, que réunion, fête, rite, mémoire collective. Tant savoir manier les tambours renvoie à un patrimoine et se veut appartenance à une aventure humaine qui débuta dans la douleur de l’esclavage pour parvenir à l’émancipation et l’épanouissement expressif des populations de la Caraïbe.
Enfin de nouveau disponible, le deuxième album de Ratatat, sorti en 2006 et ou le duo continue de créer des vignettes instrumentales à coup de synthés 8bit et de riffs imparables.