Double album faisant partie de la série « World psychedelic classics » du label Luaka Bop (David Byrne). Compilation de morceaux de Tim Maia, artiste brésilien funk soul et psychédélique. Livret en anglais, avec les paroles.
MUSICFEARSATAN est très honoré de sortir le troisième album de MAJEURE (projet solo de Anthony Paterra, batteur de ZOMBI) « Termination Shock ». Décrivant cet opus comme son disque le plus froid et sombre, Paterra, natif de Pittsburgh, nous délivre une musique ambiant qui emprunte autant au kraut rock qu’au new age avec ces huit titres composés de nappes de synthétiseurs qui s’empilent à l’infini, évoquant tour à tour TANGERINE DREAM ou STEVE REICH.
Contrairement à STEVE MOORE (son acolyte de ZOMBI) qui lorgne plus vers les années 70 et 80 dans ses projets solo, la musique de MAJEURE puise son essence dans les années 90 et 2000 et leur esthétisme froid et numérique, le tout sonnant comme la BO d’un film oublié de David Lynch.
Makaya McCraven présente une nouvelle œuvre ambitieuse – Universal Beings -, point culminant des concepts conçus par In The Moment, et son travail le plus élégant et le plus articulé à ce jour.
Universal Beings E&F Sides présente quatorze nouveaux morceaux de beat music organique extraits des sessions originales, préparés et produits par Makaya comme bande sonore du film documentaire Universal Beings réalisé par Mark Pallman.
« Male Gaze, supergroupe de punk bizarre, est de retour avec neuf nouveaux morceaux d’abus de pédales d’octave et de crooners sulfureux avec King Leer, leur premier long-papier à proprement parler. Cette fois-ci, le trio composé de Matt Jones (ex-Blasted Canyons), Mark Kaiser (ex-Mayyors) et Adam Cimino (ex-The Mall) a ajouté Adam Finken, ancien membre de Blasted Canyons et Tiaras, à la seconde guitare et Chris Woodhouse, ingénieur résident de Castle Face, derrière les platines pour faire grimper la skuzz-pop de Gale Maze, sorti l’année dernière, en territoire de murs sonores brutaux. Sur King Leer, les garçons jouent avec leur côté plus pop, dosant les chansons avec des mélodies sirupeuses et une nouvelle introspection sincère, mais ils ne sont absolument pas tendres avec nous – ces morceaux, enterrés sous des montagnes de fuzz et martelés avec une fureur alimentée par l’Adderall, ont assez de punch sonore pour vous secouer le cerveau ». -Luca Cimarusti, Chicago Reader.