‘Alice’ est l’un des album de Tom Waits les plus distinctifs. On y retrouve sa voix identifiable entre mille, des ballades jazz, des reflexions sur la mort et le désir ainsi que cette nouvelle forme de création – le tout forme un ensemble étrange et exotique.
Seize morceaux où l’on retrouve Marc Ribot à la guitare et Les Claypool de Primus à la basse, pour ne citer qu’eux. Déjanté mais sincère et fort comme un vieux bourbon 15 ans d’âge ! » . Tom Waits en grande forme à la fin des années 90 reprends gout à une certaine électricité ! Irresistible
Nighthawks at the Diner est le troisième album de Tom Waits, sorti en 1975 sous Asylum Records. Le titre est inspiré d’un tableau de 1942 du peintre américain Edward Hopper intitulé Nighthawks mais généralement appelé Nighthawks at the Diner.
Le titre éponyme de l’album, ‘Heart of Saturday Night’ ôde mélancolique aux rituels du samedi soir et l’hymne romantique ‘San Diego Serenad’ ont été érigés aux rangs de classique, de nombreuses fois repris, de Diana Krall à Nancy Griffith, en passant par le héros Folk Eric Anderson. L’album comprend également ‘Diamonds on My Windshield’, une chanson/poésie parlée, ce qui va devenir la signature de Waits. Il y livre ses paroles dans un pur beat Jazz dans le style de Kerouac, Langston Hughes ou encore Bob Kaufman.
Trois ans après avoir bouleversé la planète avec son épique Lost in the Dream, Adam Granduciel revient avec un nouvel album qui creuse le même sillon fertile, mais avec d’autres outils.
Adam Granduciel et ses compères redorent le blason d’un le rock à tendance 1980 avec leurs compositions rêveuses et intemporelles convoquant aussi bien Bob Dylan que Bruce Springsteen en passant par Neil Young et Townes van Zandt et Tom Petty.
Vous pensez que Lost In The Dream n’était pas assez ? Voilà que le groupe renchérit avec son petit frère intitulé A Deeper Understanding, premier album signé sur la major Atlantic Records.