Les Angevins de Cut The Navel String, acteurs au sein de la grande écurie Roadrunner Records dans les années 90 (Sepultura, Machine Head, Type O Negative), ressortent un 6 titres inédits (enregistrés en 1993 !) intitulé The black box session by Peter Deimel .
Ce disque est une exclusivité Disquaire Day 2024 et n’est pas disponible en précommande.
Pour acheter en magasin : à partir de 10h le Samedi 20/04/2024 (Disquaire Day) dans l’une de nos deux boutiques. Pour acheter en ligne : à partir de 10h00 le 21/04/2024 (Sous réserve de disponibilité).
Voici 14 nouveaux titres qui font la part belle à l’écriture, où le flow inégalable de Dany Dan glisse subtilement sur les productions sur mesure de Kyo Itachi.
Late Music et Disciples ont le plaisir de présenter les premier et deuxième volumes d’une série d’archives d’œuvres électroniques et acoustiques sélectionnées de Sarah Davachi, toutes inédites en format vinyle. Il s’agit (en quelque sorte) d’un back catalogue de divers CD, cassettes et EP, de singles et de bandes originales de films, ainsi que de divers enregistrements en direct et en studio.
Ce disque est une exclusivité Disquaire Day 2024 et n’est pas disponible en précommande.
Pour acheter en magasin : à partir de 10h le Samedi 20/04/2024 (Disquaire Day) dans l’une de nos deux boutiques. Pour acheter en ligne : à partir de 10h00 le 21/04/2024 (Sous réserve de disponibilité).
En 1960 à Copenhague, alors qu’il débarqua pour une nouvelle tournée avec son quintet incluant le saxophoniste John Coltrane et le pianiste Wynton Kelly, Miles Davis se fait particulièrement désagréable ce qui se ressent dans le public et la musique donnant un cachet particulier à ces enregistrements très recherchés.
L’intégralité du concert du 8 avril 1960 au Kongresshaus de Zurich, en Suisse, du splendide Miles Davis Quintet avec John Coltrane au saxophone ténor, Wynton Kelly au piano, Paul Chambers à la basse et Jimmy Cobb à la batterie.
Outre les titres « All Blues » et « So What », souvent entendus, le concert de Zurich contient des versions de « Fran Dance » et « If I Were a Bell ». « If I Were a Bell » a été enregistré pour la première fois par Miles et Coltrane en quintette lors de la célèbre séance studio du 26 octobre 1956 pour Prestige, et la version zurichoise entendue ici est la seule apparition de cette chanson qui subsiste de la tournée européenne de 1960.
Milieu des années 1960 à Rio, Brésil. Baden Powell, guitariste métis de talent et Vinìcius de Moraes, Blanc à l’écriture acérée, collaborent. Un symbole fort dans un pays encore traversé par de très fortes tensions raciales à l’époque tout comme aujourd’hui. Powell parle de son acolyte comme du « Blanc le plus noir du Brésil ». Vinìcius de Moraes, poète, privilégié tout droit sorti des quartiers chics, et Powell, issu d’une famille démunie, produisent ensemble plusieurs titres, dont l’un des plus beaux standards de la musique brésilienne : « Berimbau ».
Comme un album du Saint Graal perdu depuis longtemps, le dernier projet de Kirk Degiorgio explore à la fois le jazz modal et le jazz fusion des années soixante-dix dans le format de l’album Library.
Quand Demon sort « You Are My High » fin 1999, c’est l’effervescence. Nommé au Victoires et MTV Awards, le titre est sur les lèvres de tous.tes les français.es et du CSA. 25 ans plus tard, le « You », indissociable de la French Touch, est plus beau que jamais. Il fêtera cet été son anniversaire sur vinyle dans une édition collector.
EDITION LIMITEE A 1500 EXEMPLAIRES NUMEROTES A LA MAIN
Dans cette autobiographie, se côtoient l’insouciante jeune fille assoiffée de nouvelles expériences et la femme qui s’est construite par l’affirmation de ses libertés ; deux facettes qui font d’elle aujourd’hui une pionnière de la libération sexuelle et du féminisme décomplexé.
Everything Sucks est le cinquième album studio du groupe punk rock américain Descendents, sorti le 24 septembre 1996 chez Epitaph Records. C’était leur premier album de nouveau matériel studio depuis All de 1987, après quoi le chanteur Milo Aukerman avait quitté le groupe pour poursuivre une carrière en biochimie.
L’ouvrage analyse la discographie de Can, son parcours sur les scènes d’Europe et son impact dans le monde de la musique. Il replace ainsi dans leur contexte d’enregistrement les albums cultes d’un des groupes essentiels de la scène krautrock.
Dirty three est un groupe de rock instrumental australien composé de warren ellis, collaborateur fréquent de nick cave et musicien emblématique, du guitariste mick turner et du batteur jim white. connu pour ses concerts, le groupe est retourné en studio fin 2023 pour enregistrer ‘love changes everything’ – leur premier album depuis 12 ans…
Un album magnifique et brut qui capture l’énergie et l’émotion des performances live du groupe, ‘love changes everything’ sortira chez bella union le 28 juin 2024.
Un volume très à part de la collection Discogonie, qui marque un double 10e anniversaire (celui de la collection et du disque) Music For Museum est le récit de la création de la toute première « musique originale de musée » créée par le groupe AIR à l’invitation du Palais des beaux-arts de Lille en 2014, et gravée sur vinyle en tirage limité.
« Pierre Lemarchand capte dans cet ouvrage toutes les subtilités, les nuances, jusqu’à la pochette de l’album. Très documenté, ce livre hommage participe à l’élévation au rang de « cultissime » ce huitième album d’Alain Bashung, vingt ans après sa sortie. Il ne donne envie que d’une chose, poser le saphir sur l’acétate édité pour la première fois en mai 2009, deux mois après sa mort. »
Cédric Rouquette – Magic
Des années Palace à la naissance de Bonnie ‘Prince’ Billy en 1998, Will Oldham aura changé autant de fois d’identité d’artiste qu’il aura signé d’albums. Difficile à pister dans ces conditions, il ne verra le suivre qu’un quarteron de fans, motivé par cette country dégagée de son folklore, et une écriture souvent hissée parmi les plus grands noms de la chanson américaine. Avec I See A Darkness, l’alias se fixe enfin, à l’occasion d’un album ténébreux et lumineux à la fois.
En 1982, paraît Nebraska de Bruce Springsteen. Enregistré à la maison, sur un coin de table, avec une guitare et un harmonica, ce qui ne devait être au départ qu’une maquette préparatoire à un album studio devient bientôt un de ses albums majeurs. Peut-être son plus grand disque ? Nebraska rompt avec l’univers électrisé des précédentes réalisations et contraste avec la rage rock de Born in the USA qui le révélera au très grand public deux ans plus tard.
Dans la discographie de Depeche Mode, Violator est l’album qui fait l’unanimité. Ce disque referme la décennie 80 avec son atmosphère sombre et électronique comme celui qui l’avait inaugurée : Closer de Joy Division.
« Fourmillant d’anecdotes, autopsiant avec une rare acuité ce disque en forme de manifeste sentimental, le livre de Pierre Lemarchand et Thierry Jourdain, publié dans la si belle collection DIscogonie aux éditions Densité, s’avère aussi précieux qu’indispensable. » Hugues Blineau, POP NEWS
Pour The No Comprendo, Catherine Ringer et Fred Chichin changent la dimension qui était la leur jusqu’au succès de Marcia Baïla. En travaillant une charpente rock-funk tirant vers des sons plus ronds, plus massifs aussi, mais sans tomber dans le piège de l’emphase pop.Une machine à danser intelligente, qui sait envelopper le funk d’atours un peu « crashés » et syncopés ; une boule d’énergie, fulgurante et chic à la fois où l’écriture soignée tient le premier rôle avec, en second degré, une dance-music agitant pieds, bassin et mollets pendant quatre minutes de pur plaisir.
Broken English (1979) constitue une renaissance et un tournant pour Marianne Faithfull, l’égérie britannique des années 1960. La voix abimée par des années d’excès pose une nouvelle atmosphère tournée vers la décennie des années 1980.
« Un ouvrage passionnant qui va aux sources du son de My Bloody Valentine et de la personnalité de Kevin Shields. Un must qui ravira tous les passionnés du genre et du groupe. Un livre court à dévorer sans modération. » Damien, Électrophone
Accaparé par l’écriture de son premier roman et quelques projets annexes, Nick Cave n’a pratiquement rien à proposer aux Bad Seeds lorsqu’il s’agit d’enregistrer leur cinquième album en 1987. II parvient pourtant à donner du sens à son désordre intérieur a travers la collection de dix chansons a priori hétérogènes qui paraissent l’année suivante. Enregistré dans huit studios a travers le monde, et malgré le chaos qui règne alors dans la vie du groupe, Tender Prey possède à la fois la beauté brute et animale de From Her to Eternity, l’esprit blues fantasmé de The First Born Is Dead, la maturité et la clarté de Kicking Against the Pricks, la poésie et la noirceur de Your Funeral… My Trial. L’album chéri des fans est la synthèse parfaite de son oeuvre passée et un écrin de choix pour l’hymne imparable qu’est » The Mercy Seat « , joué lors de chaque concert du groupe depuis trente ans.
Il aura fallu trois décennies à Five Leaves Left pour être redécouvert par un large public, suscitant un véritable phénomène de culte autour de Nick Drake disparu quatre ans après l’achèvement de cet album.
« In Utero » a souvent été réduit à une note testamentaire du leader de Nirvana, Kurt Cobain, qui exorcise une dernière fois ses démons sur le bûcher grunge avant de lui-même « brûler franchement plutôt que de s’éteindre à petit feu ». Ayant pour mission de recouvrer une virginité indé perdue avec le succès planétaire de « Smells Like Teen Spirit », cet album va pourtant bien au-delà d’une simple mise au point. Hostile et direct, il se déploie comme un fabuleux traité d’anatomie artistique où se croisent une irrépressible…
Dotée d’une aura, d’une présence scénique de derviche tourneur, Patti Smith libère une liturgie orale incendiaire de sa voix magnétique, ample, au timbre tour à tour rugueux, hypnotique, velouté.