Le quatrième album de Moriarty commence là où « The Missing Room » s’est terminé : au seuil d’un autre monde – le royaume des esprits, des fantômes et des âmes errantes. Il ne s’agit cependant pas d’un album sur la mort, mais plutôt d’un voyage à travers un pays connu sous le nom de « Underworld », ou « Afterworld ».
Le 06 juin 2019, Nekfeu présentait un nouveau concept d’album présenté publiquement lors d’une séance exclusive au cinéma dans un peu plus de 150 salles à travers toute la France (métropole + Ile de La réunion), la Suisse, la Belgique, le Luxembourg. Au total, 100 000 personnes étaient rassemblées pour découvrir son nouvel album. En l’écoutant, des anomalies pouvaient se sentir dans les transitions des titres. La raison? L’album «Les étoiles vagabondes» à cet instant est incomplet. Depuis le 21 juin 2019, avec la sortie de «Expansion», Nekfeu présente enfin dans son intégralité son œuvre finale intitulée «Les étoiles vagabondes: expansion». Edités de façon limitée à 100 000 exemplaires chacun, les 2 albums dans leur version physique s’imbriquent pour former l’œuvre intégrale. Un objet précieux que tous les collectionneurs doivent se procurer avant leur épuisement total.
A l’occasion des 20 ans du groupe, nous sommes fiers de vous annoncer la réédition de cet album projet unique, qui, se réapproprie les chansons issues du répertoire punk et post punk sous forme electro, bossa nova ou folk. Enrichi de nombreux bonus, dont certains jamais publiés à ce jour.
EDITION LIMITEE DOUBLE ALBUM VINYLES
Le vinyle est pressé en 100 % BioVinyl de la meilleure qualité de Virgin Vinyl, avec une teneur réduite en pétrole et des économies significatives d’émissions de CO2.
Depuis 2015, le duo franco-chilien Caroline Chaspoul et Eduardo Henriquez, alias Nova Materia, collectent puis sculptent la musique du vivant pour composer des potions expérimentales au son industriel et à l’énergie post-punk, entre jeu de matières et transe électronique. Nova Materia est à l’écoute des murmures du monde, de ses langues et de ses mystères.
Après son premier album «Perdu D’Avance», « Le Chant Des Sirènes» l’album de la consécration. Inclus : Raelsan, Plus rien Ne M’Etonne, Double Vie, Suicide Social.
Perdu d’avance est le premier album studio du rappeur français Orelsan, sorti en 2009 sous le label 3ᵉ bureau et d’une durée de 61 minutes. Cet album est nommé au prix Constantin, et il est certifié disque de platine.
Wewantsounds réédite pour le Disquaire Day l’une des meilleures BO de Michel Legrand composées pour le film La Piscine de Jacques Deray, sorti en 1969. La BO complète n’était sortie à l’époque qu’au Japon et est désormais très rare.
La musique du film LES TONTONS FLINGUEURS, tout autant que celle de James Bond est reconnaissable dès les premières notes. Une petite ritournelle qui parvient même à trotter dans la tête des gamins du XXIe siècle. Les musicologues appellent monothématisme les variations stylistiques autour d’un seul thème musical que l’on retrouve dans Les Tontons : au banjo, lors des séances de « bourre pif », en gloria, en jazz, en blues ou en Hully Gully.
Justin Stivers (bassiste sur l’album « Hospice » de The Antlers, Pet Ghost Project), ainsi que les talents du multi-instrumentiste virtuose Justin Gonzales, vous proposent un mélange brut de morceaux cosmiques aux formes changeantes juste au bord de la danse.
La poésie politique mêlée aux musiques éclectiques (où la chanson française se mêle à la culture africaine) dégageant des ondes positives et à la production de Guts qui se fait ressentir aussi sur « Brigand » et sur « Président » fera de ce Hymne à la vie un second disque qui définira à coup sûr l’identité propre de Pat Kalla et de son Super Mojo qui nous offre un hymne à la vie authentique et essentiel.
Pour décrisper les nerfs qu’il aime se mettre en pelote au sein du très convulsif trio Papier Tigre, comme dans l’ébouriffant collectif ‘La Colonie de Vacances’, Éric Pasquereau aime à pérégriner dans l’histoire labyrinthique de la musique populaire, à la manière d’une chasse au trésor. Il se frotte à ses mythes, s’y mesure crânement, autant pour apprendre à les aimer toujours plus intensément que pour tâcher d’en tirer des sucs encore inédits, d’en dévoiler des territoires encore vierges.
Ce second opus propose un jazz moderne où s’égrainent de multiples influences, qui métisse un format hard bop avec des sonorités électroniques, afrobeat et groove. Les huit morceaux dégagent une énergie positive, une humeur dansante qui laissent aussi parfois la place à une douceur enivrante, comme sur le titre « Let it go ». Les compositions s’affranchissent du format classique, avec des prises de liberté qui se révèlent harmonieuses et d’une magie audacieuse. Un virage sonore réussi avec l’expertise de Benoit Corboz, ingénieur du son sur cet enregistrement et fidèle compagnon d’Eric Truffaz.
It’s Never Been Like That est le troisième album studio du groupe français Phoenix. Deux singles ont été extraits : Long Distance Call et Consolation Prizes. Il a été nommé au Prix Constantin 2006.
The first ten seconds of the album’s opening track, « I Found Out », were enough to convince me that I needed to release this record. A simply beautiful and pure janglepop song in the vein of Choo Choo Train or the first Posies album may start off the record, but soon afterwards you realize that this French band’s sound is much more varied than that. Popincourt is not only the name of the band, but also the pseudonym of its leader, who receives assistance from Hervé Bouétard (Bertrand Burgalat’s drummer) and (perhaps not coincidentally) Ken Stringfellow on bass, among others. Popincourt himself is admittedly very influenced by the Style Council (though my ears also hear a close similarity to Eggstone), with his songs exhibiting a classy sound filled with trumpets, subtle organs, female backing vocals and jazzy guitar chords. With twelve quality pop songs clocking in at nearly 35 minutes, this is a surefire hit for the much-anticipated summer!
Prophet est le projet de Florence Villeminot (Hold Your Horses) et Philippe Monthaye (Chicros). Ceux-ci citent Philip Glass, Moondog, Laurie Anderson, Robert Wyatt, les Kinks, les Boo Radleys ou My Bloody Valentine comme influences. « Phantom Pain » est le premier EP du groupe. Le « membre fantôme », c’est celui qui a été amputé mais dont on ressent toujours la présence. Ici, c’est une métaphore de la séparation — l’être aimé n’est plus là, mais on le ressent toujours. Voici pour le dossier de presse, passons maintenant au ressenti de cet EP.