Visionnaires, loyaux, frais, brillants et surtout « positifs », ces héros tranquilles ont introduit une nouvelle dimension dans le hip-hop, celle de la poésie abstraite, de la tendresse et de la vulnérabilité une école dont Pharcyde et Hieroglyphics auront retenu les leçons tout en accomplissant le miracle du rap universel. Un rap capable de séduire le plus grand nombre tout en conservant le respect de la rue.
Sur la deuxième sortie de Balmorhea avec Deutsche Grammophon, ils retournent travailler avec le producteur et ingénieur triple lauréat d’un Grammy Jonathan Low pour sculpter une douzaine de morceaux dans une ferme dans le Vermont rural. Les œuvres insinuent une immédiateté lumineuse et succincte. Des éléments rythmiques complexes, des cuivres, des cordes et des voix superposées se succèdent vivement avec des guitares et un piano dans une palette nouvellement élargie pour l’ensemble.
Version vinyle blanc translucide de Left Hand, le troisième album de Becca Mancari, artiste et guitariste originaire de Nashville. Un disque qui prône l’acceptation radicale de soi et la communauté parmi les étrangers. Co-produit par Juan Solorzano et avec la participation de Brittany Howard (Alabama Shakes), Julien Baker (boygenius) et Zac Farro (Paramore).
Version vinyle orange de When Horses Would Run, le premier album du groupe garage/psyché/outsider pop texan Being Dead. Fusionnant surf rock, freak pop et punk frénétique, le disque fait transparaître l’imprévisibilité musicale du groupe qui passe du rock garage à la pop et au folk façon Laurel Canyon.
Le premier album de Beirut depuis Gallipoli (2019) et le premier sur Pompeii Records, le propre label de Zach Condon. Enregistré en Norvège en isolement après une période de crise physique et mentale, le disque reflète magnifiquement cette vulnérabilité et la beauté des paysages impressionnants dont il s’est imprégnés pendant son séjour.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants – vinyle ice breaker
Homecoming Live nous fait revivre la performance historique au festival Coachella en 2018, qui rendait hommage aux universités américaines traditionnelles Noires (HBCUs).
Cet album immersif et méticuleusement conçu est l’expression d’une cohésion persistante que Blonde Redhead a affinée au cours de ses trois décennies d’existence.Son titre est un clin d’œil au rituel, souvent sacré, du partage d’un repas avec ceux que l’on aime.
Cet album immersif et méticuleusement conçu est l’expression d’une cohésion persistante que Blonde Redhead a affinée au cours de ses trois décennies d’existence. Son titre est un clin d’œil au rituel, souvent sacré, du partage d’un repas avec ceux que l’on aime.
Tout au long des dix titres de leur nouvel album « Let There Be Music », vous pouvez entendre l’espace que Bonny Doon s’est accordé depuis « Longwave », leur album culte qui a fait l’effet d’une traînée de poudre en 2018.
Version vinyle rouge de Bright New Disease, l’album collaboratif entre le groupe de sludge doom japonais Boris et les américains d’Uniform. Un disque qui capture l’exploration intrépide et la puissance débridée de leurs performances live.
En juillet 2022, un mois seulement avant que la mort de Jaimie Branch ne provoque une onde de choc dans le monde entier, la trompettiste et compositrice se trouvait à Chicago, dans les studios d’International Anthem (IARC), où elle mettait la dernière main à un album. Il s’agit d’une suite musicale qu’elle a composée et enregistrée avec son ensemble phare, Fly or Die, au cours d’une résidence au Bemis Center for Contemporary Arts d’Omaha, dans le Nebraska. Dans son sillage, l’album était presque terminé, il ne restait plus qu’à peaufiner le mixage, les titres définitifs et la pochette.
Buddy Guy était une légende de la guitare des décennies avant la sortie de « Damn Right I’ve Got The Blues » (il a joué avec Muddy Waters en tant que guitariste attitré chez Chess Records dans les années 60), mais lorsque ce grand disque est sorti en 1990, il est resté au premier plan du blues depuis lors.
L’album contient une superbe version de plus de huit minutes du standard du blues de 1952 d’Eddie Boyd « Five Long Years », « Where Is The Next One Coming From » de John Hiatt (avec Mark Knopfler), « Early In The Morning » avec Eric Clapton et Jeff Beck, et l’hommage poignant à son ami Stevie Ray Vaughn, « Remembering Stevie », qui prouve que Buddy Guy n’a rien perdu et qu’il a encore beaucoup de choses à apprendre aux plus jeunes.
Version vinyle vert de Frontier’s Edge, le nouvel EP de l’énergique Budos Band. Première sortie du groupe depuis qu’ils ont quitté Daptone Records pour rejoindre Diamond West Records, fondé par les membres du groupe Thomas Brenneck et Jared Tankel.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Version vinyle couleur barbe à papa (+ poster et sticker) de Daydreamer, le quatrième album de l’artiste californienne Molly Burch qui fait le lien entre l’adolescente de treize ans qu’elle était et la femme qu’elle est devenue. Grâce au producteur Jack Tatum (Wild Nothing), le disque se targue d’une production plus limpide et pop que jamais.
‘Dear Departed’, le deuxième album de Sam Burton, est né d’une période de renaissance. Après avoir quitté la vie qu’il avait construite à Los Angeles, il rentre quelques mois en Utah pour aider un ami à construire sa maison. Et ce fut une véritable métaphore de vie pour l’artiste : « C’était un retour à la maison.
l’ex-membre fondateur d’arcade fire s’entoure d’un quatuor pour un nouvel album puissant. Des paysages émotionnels à grande échelle, avec des harmonies à la fois belles et dissonantes, avec Miles Francis (antibalas, sharon jones, angélique kidjo…).
Enregistré en 1967 au mythique Van Gelder Studio, ‘Soul Drag’ sort en décembre 1968. Pour cet opus, l’artiste est entouré d’un quintet sur lequel on retrouve quelques sommités tels que Sonny Red (saxophone), Cedar Walton (piano), Walter Booker (contrebasse) et Billy Higgins (batterie). Les influences blues de cet album en font une œuvre d’une modernité absolue.
Version vinyle bleu The Greater Wings, le quatrième album de l’auteure-compositrice américaine Julie Byrne et le premier en six ans. Des méditations folk orchestrales aux ballades au piano, en passant par l’euphorie lumineuse et synthétisée, le disque se penche sur des atmosphères à la fois expansives et intimes. Pour les fans de Weyes Blood, Perfume Genius, Jessica Pratt, Alex G, Aldous Harding, Lana Del Rey, Joni Mitchell, Joan Baez.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
C’est toujours avec le même plaisir qu’on écoute un nouvel opus de Cake, et ce n’est pas ce Comfort Eagle qui nous fera dire le contraire. Et comme d’habitude, un large sourire farceur plane au-dessus de cet album, emportant dans ses éclats les réminiscences folk ou hip-hop qui ont toujours accompagné la formation. Et s’il a toujours été difficile de trouver des filiations et autres influences applicables à cette étrange formation californienne, c’est justement parce ses influences viennent de partout en général et de nulle part en particulier. Synthétisant les mélopée funky de Sly & the Family Stone, les mélodies pop des Beach Boys, ou les guitares stridentes et déchirées de Weezer, Comfort Eagle est un album changeant, naviguant entre des atmosphères tantôt lourdes et tantôt légères, ne manquant cependant pas de balancer quelques titres accrocheurs comme « Short Skirt/Long Jacket », déjà paré pour faire un carton. Entre des arrangements de trompettes latines ou quelques pizzicati façon musique cubaine (« Comfort Eagle »), la musique de Cake, simple, harmonieuse et belle, résonne comme un souffle d’air frais face à un rock classique campé sur ses attitudes bruyantes et tapageuses.
En novembre 2022, Cat Power est montée sur la scène du Royal Albert Hall de Londres pour rejouer le légendaire concert « Royal Albert Hall » de Bob Dylan, durant lequel l’artiste « est passé à électrique », jouant la seconde moitié du spectacle avec une guitare électrique. Exaspérant de nombreux puristes du folk, dont l’un a même crié « Judas ! » à l’époque.
En novembre 2022, Cat Power est montée sur la scène du Royal Albert Hall de Londres pour rejouer le légendaire concert « Royal Albert Hall » de Bob Dylan, durant lequel l’artiste « est passé à électrique », jouant la seconde moitié du spectacle avec une guitare électrique. Exaspérant de nombreux puristes du folk, dont l’un a même crié « Judas ! » à l’époque.
Version vinyle transparent de I Don’t Want You Anymore, le quatrième album de Cherry Glazerr, groupe de rock de Los Angeles. Co-produit par Clementine Creevy et Yves Rothman (Yves Tumor), c’est un disque de rock qui expose cœur et âme et réimagine ce que le groupe est et peut être.
Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.