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27,00€
Un disque sublime, qu’on connaisse ou pas le contexte derrière l’album. C’est parfois mystique, cryptique, mais c’est surtout extrêmement doux et tendre. C’est un disque de deuil pas sordide pour un sou. Et il est tellement bien fait que si on écoute la première piste, on a toujours envie de l’écouter jusqu’au bout.
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33,90€
Composé comme un poème géographique, Michigan suit une expédition métaphysique à travers les idiosyncrasies de l’Amérique moyenne. S’inspirant d’anecdotes personnelles, de l’histoire régionale et de l’héritage de l’État, Stevens mélange les griefs sociaux et politiques avec des chansons sur les motoneiges, Henry Ford, les émeutes raciales de Détroit et l’amour.
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23,50€
Le premier album des Strokes est un vrai disque de rock’n’roll : fort en gueule, arrogant, teigneux et séducteur. En une douzaine de chansons brutes, conçues sur des bases pop archi-traditionnelles excédant rarement les trois minutes de temps, le gang se plaît à ressusciter le mythe du New York de 1977.
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33,50€
Avec plus d’assurance et de sérieux, le groupe a annoncé The New Abnormal comme un retour consistant, réel et bien dans ses baskets, qui plus est illustré par l’œuvre Birds on Money de Jean-Michel Basquiat. Pour le coup : la joie s’est mêlée à un peu d’inquiétude. Ok, les Strokes sont de retour, pour de bon avec Rick Rubin à la production.
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23,90€
Wewantsounds réédite sur vinyle l’un de ses albums les plus recherchés des années 70 et de rendre hommage à l’une des figures clés de la musique noire américaine. Sylvia Robinson a commencé (très fort) sa carrière dans les années 60 avec le guitariste Mickey Baker au sein du duo Mickey & Sylvia. Leur tube « love is strange » est une pépite rythm’n’blues intemporelle.
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29,90€
Première signature féminine du label Top Dawg Entertainment de l’artiste américain le plus en vue du moment, Kendrick Lamar, SZA fait parler d’elle pour la première fois en 2012 avec son premier EP acclamé par la critique, «See.SZA.Run.». Son nouvel album «Ctrl» sur lequel on retrouve les titres «Drew Barrymore» et «Love Galore ft. Travis Scott» s’annonce comme une perle R&B à côté de laquelle il ne faudra pas passer !
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25,90€
Intégrant des rythmes africains funky, cet album a influencé les courants post-punk, world music et new wave. Remain in Light mélange des formes musicales afro-américaine, africaine et américaine. Ken Tucker du magazine Rolling Stone note à l’époque qu’il y a rarement eu « si peu d’écart entre ce qu’écoutent les noirs et les blancs ». Dans une critique de l’album, l’écrivain Gavin Edwards note dans Rolling Stone que « Talking Heads a déjà maîtrisé un funk minimaliste, mais qu’ici ils ont construit de l’improvisation autour d’une rythmique lourde ».
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28,90€
Speaking in Tongues est le cinquième album studio du groupe de rock américain Talking Heads, sorti le 1er juin 1983 chez Sire Records. Après leur séparation avec le producteur Brian Eno et une courte pause, qui a permis aux membres individuels de poursuivre des projets parallèles, l’enregistrement a commencé en 1982. Il est devenu la percée commerciale du groupe et a produit le seul hit américain du groupe, » Burning Down the House « . , qui a atteint la 9e place du Billboard Chart.
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20,50€
Depuis l’époque où il faisait partie du Bud Powell Trio, le batteur Art Taylor était un membre inestimable de la famille Blue Note. A.T.’s Delight est le seul album réalisé sous son propre nom pour le label et il est remarquable. En choisissant de grandes compositions de Coltrane, Monk, Denzil Best et Kenny Dorham, Taylor a réuni un grand quintette dirigé par Dave Burns et Stanley Turrentine, ajoutant souvent les congas de Potato aux procédures. Les arrangements uniques et variés ainsi que la qualité du jeu rendent hommage à l’exceptionnelle sélection de morceaux du batteur.