« Je commençais à me lasser des albums conceptuels. Je voulais faire un album avec une collection de courtes chansons sans rapport les unes avec les autres. Je voulais m’éloigner de la musique à la guitare électrique que j’avais l’impression d’avoir explorée assez largement sur les deux derniers albums. C’est ainsi que Paper Mâché Dream Balloon, l’album conceptuel sans concept, s’est doté d’un concept. Pas d’instruments électriques. Juste des guitares acoustiques, une flûte, une contrebasse, un violon, un harmonica, une batterie, une clarinette. Tout ce que nous pouvions trouver en fait. Nous l’avons enregistré en grande partie dans un conteneur d’expédition vide dans la ferme de mes parents, dans la campagne de Victoria. » – Stu
L’histoire de Kings Go Forth commence avec Andy Noble. Il est né, a grandi et vit toujours à Milwaukee, et en sait probablement plus sur la soul classique, le funk et le R&B que n’importe qui d’autre. C’est un collectionneur de disques passionné, un entrepreneur de labels indépendants et le propriétaire du légendaire magasin de disques Lotus Land.
Ce premier opus du délicat duo norvégien insuffle un vent nouveau sur la Pop indé des années 2000.Très proche des compositions envoûtantes du mythique duo Simon & Garfunkel, le duo livre un album de pop folk scandinave délicat et apaisant. Produit par Ken Nelson (Coldplay, Gomez, Badly Drawn Boy…).
Leur deuxième album, » Riot On An Empty Street « , reprend là où » Quiet Is The New Loud » s’est arrêté. Enregistré au cours des six derniers mois à Bergen, avec des visites périodiques de l’ex-patriote Erlend – Riot contient des arrangements plus complexes que ‘With You’, ‘Know How’, ‘Love Is No Big Truth’ ou le premier single ‘Misread’, chaque morceau sonne comme un vieil ami qui revient à la maison.
Le premier album de la tribu Followill n’a pas pris une ride et s’écoute comme s’il était sorti en 1973. Le chanteur Galeb pose une voix presque exagérément rauque sur des compositions millimétrées, admirablement produites par Ethan Johns. Certes on frôle parfois l’overdose de clichés américains, tant musicalement que dans les paroles qui citent le Montana, des trains qui rentrent à la maison, ou des travelos à la Lou Reed. C’est que le rock leur tient lieu de nouvelle religion.