Il s’agit du troisième volume de la série World Spirituality Classics de Luaka Bop, acclamée par la critique, qui éclaire la relation entre la musique et la croyance.
Ernest Djédjé Blé Loué, alias ERNESTO DJEDJE est un chanteur ivoirien né de mère bété en 1947 (près de Daloa, centre-ouest de la C. I.) et de père sénégalais (Touré), décédé prématurément en 1983 (il n’avait que 35 ans) à Yamoussoukro, capitale de la Côte d’Ivoire dans des circonstances douteuses. Chanteur, poète-fabuliste, danseur, arrangeur et guitariste, DJEDJE est une icône de la musique ivoirienne. Il est notamment le créateur du ziglibithy, danse et style musical duquel dériveront le zouglou des années 90 puis le coupé-décalé en 2003.
Le nouveau Triple-Album vinyle de l’infatigable Musicien/Dj français. Sous la conduite de GUTS, Dakar devient l’épicentre créatif d’une rencontre exceptionnelle entre des musiciens “All Stars“ de Cuba, d’Afrique et de France : les ESTRELLAS.
Derrière ce nom, cinq Hollandais et un électrochoc sonore : Des percussions, une basse indécemment groovy, des injonctions à la danse et un certain goût pour le psychédélisme.
En compagnie des maîtres Vincent Segal au violoncelle, Ballaké Sissoko à la kora et Roger Raspail aux percussions, le chanteur-guitariste, aventurier de la créolité, David Walters livre ‘Nocturne’ : une méditation en clair-obscur, un voyage teinté de mélancolie, un feu sacré à l’infinie douceur.
Version double vinyle blanc de Mil Coisas Invisiveis, le deuxième album solo de l’auteur, compositeur, interprète, musicien et producteur brésilien Tim Bernardes (O Terno). Reliant les points cosmiques de la samba et du tropicalia avec l’indie folk contemporain, l’artiste livre un moment généreux et intime ancré dans l’héritage de la musique brésilienne. Édition limitée en exclusivité pour les disquaires indépendants.
Les Funkees étaient un groupe afro-rock nigérian formé à la fin des années 1960. Ils ont déménagé à Londres en 1973 et ont rapidement pris de l’importance sur la scène musicale des expatriés d’Afrique de l’Ouest et des Antilles, mais se sont séparés quatre ans plus tard.
Le talentueux musicien/producteur brésilien Leonardo Marques de retour avec un quatrième disque, faisant suite à l’excellent « Early Bird » paru en 2019 sur le label 180GR.
Les irrésistibles musiciennes béninoises qui mettent le feu aux scènes européennes reviennent avec un disque enregistré à Paris en 2022, toujours sur le label Born Bad Records.
Audacieux mais fidèle aux racines de Fatoumata, l’album FENFO n’a pas de frontières. Enregistré entre le Mali, le Burkina Faso, Barcelone et Paris, il est coréalisé par Fatoumata elle-même et Matthieu Chedid, mêlant modernité et tradition.
BIO : Fortuna reissues an incredible Greek belly dance scorcher by little known artist Koko. Following the Israeli Greek-craze of the ’60s and ’70s, Moroccan singer Koko learned how to sing in Greek and delivered this tavern-style party masterpiece. Organs seer through hard drums and pounding bass while Koko’s deep…
Alors que la contribution des continents au canon mondial du funk, du boogie et du disco est bien documentée depuis des décennies, la forte présence du rock et du psychédélisme dans la musique africaine des années 1970 a évolué plus lentement au fil des ans. Des groupes de jeunes Africains, excités par Hendrix, les Doors, Santana et bien d’autres, ont commencé à ajouter des riffs de guitare lourds au funk grondant et toujours présent, et ont construit une scène afro psych qui continue de produire des joyaux à ce jour.
Avec Lagos comme épicentre de la scène émergente, en 1972, le label local Afrodisia est né près de l’oeil du cyclone et fournit de nombreux morceaux de cette dernière tentative de capturer un peu de magie afro-psych. Les jumelles emblématiques de Lagos, « Bayi L’ense » (1977) des Lijadu Sisters, ouvrent les débats dans un style définissant le LP : la voix yoruba, les percussions crépitantes et la ligne de basse funk cool sont finalement rejointes par une guitare fuzz planante et scything, et nous partons sur un voyage de tête de six minutes et demie.
C’est presque un pléonasme de dire que Bruno « Patchworks » Hovart cumule projets sur projets. Il n’y a même pas un an, on l’avait retrouvé sous son pseudonyme Taggy Matcher avec un album reggae-dub Singasong. Maintenant, il rebascule dans la funk avec son nouveau projet Voilaaa et un album qui va avec: On te l’avait dit.
Nouvelle sortie chez le génial label suisse Bongo Joe Records. Le duo belge The Ångströmers et le groupe haïtien Chouk Bwa s’étaient associés en 2016 pour combiner le son électro de la scène alternative de Brussels à la force brute du style musical aux influences vaudoues de Chouk Bwa. Revoici un nouvel E.P. 3 titres.
* »En grandissant au Ghana, nous avons énormément apprécié le reggae et la musique dancehall. On a beaucoup appris sur la culture jamaïcaine. Le titre MAD UP est un mélange lyrique de Pidgin et de rap qui exprime comment les choses peuvent devenir folles et incontrôlables dans une scène de danse. La musique originale a été écrite par Kweku Sackey (K.O.G), David Nicholas et Tom Excell. C’est la fusion entre le funk et le dancehall africain agrémenté par le flow du MC Franz Von qui fout le feu. Ce titre signifie beaucoup de choses pour nous car il montre l’énergie et la connection que nous avons avec le public. »
Le premier album tant attendu du super groupe de Londres Kokoroko ! Après l’énorme succès de “Kokoroko EP” en 2018 et du sensationnel “Abusey Junction” (plus de 100 millions de streams à ce jour), “Could We Be More” est un premier album qui confirme tout le talent de Kokoroko. En 2022, ils viendront présenter ce nouvel album lors d’une tournée française à ne pas rater.
BIO : Vinyl LP pressing. 2018 release. Mr. Bongo brings another Brazilian rarity to the masses with this sublime reissue of Tim Maia’s Disco Club. Recorded in 1978, it’s a latter-period gem from the larger than life legend, combining the glitz and glamor of disco’s heyday with Maia’s raw funk…
Le label Habibi Funk a retrouvé le chanteur du trio libanais des années 70 pour rééditer ce disque unique aux influences brésiliennes initialement sorti en 1978 ! une pépite de plus dans le catalogue de cet excellent label !
Le 1er album du collectif de rock psyché qui livre un mélange de grooves arabes, de psychedelia et de transe nord-africaine baptisé “arabian fuzz”. Un album électrique avec Lee Ranaldo (Sonic Youth), Jello Biafra (Dead Kennedys), Hend Elrawy, Mehdi Haddab (Speed Caravan) et Alsarah (Alsarah & The Nubatones) / mixé par Alain Johannes (Queen of the Stone Age, PJ Harvey) et mastérisé par Dave Collins. (label Glitterbeat)
Enregistré au Studio Ferber à Paris, accompagné par le violoncelliste Clément Petit, le tromboniste Johan Blanc, le trompettiste et claviériste Alexis Anerilles, avec la contribution du producteur Renaud Letang (Philippe Katherine, Chilly Gonzales, Feist etc…), 1958 est un retour en arrière qui a le don d’illuminer le futur. C’est aussi le plus abouti et le plus personnel des albums de Blick Bassy, artiste dont la démarche découle d’un parcours très singulier.
Produit par l’inépuisable Shawn Lee, cette petite merveille est une rencontre musicale entre la musique brésilienne et un certain classicisme Pop Britannique !
Est-ce pour retrouver ses propres racines, est-ce pour lutter contre l’amnésie des peuples colonisés sur leurs passés, est-ce pour sauvegarder un pan de la culture philippine, est-ce tout simplement pour se donner l’occasion de sortir un album vraiment top… ou est-ce un peu tout ça qu’a voulu incarner avec son dernier album le musicien et producteur américain Chris Alfaro, officiant ici avec son projet Free The Robots.
En tout cas la réponse se trouve dans l’album, Datu ! Un disque palpitant, vraiment, qui voit se croiser de grands ensembles de percussions indigènes et un orchestre de gongs philippins qui peut par moment rappeler les gamelans des voisins balinais et sundanais. Un disque dressé comme un grand tourbillon percussif qui fait la course avec une machinerie électronique, et où les ombres du jazz et du hip-hop s’agitent sous le regard de samples qui convoquent un autre siècle.
Free The Robots se tient ici en grand Datu, en grand chef, menant une cérémonie musicale riche et puissante qui le reconnecte avec ses racines, et nous embarque dans le voyage par la même occasion… Et en plus, il y a de la flûte de nez et de la guimbarde… non du kubing ! (Source DJOLO.net)
Les chiens ne faisant pas des chats, Bebel Gilberto a hérité de la finesse et de la légèreté musicale de son père, João Gilberto. Elle réussit à intégrer son héritage Bossa dans le nouveau siècle en modernisant le genre tout en lui conservant sa grâce originelle.